Lorsque la vie rencontre la mort

Chapitre 11

Oberon acquiesça avec une mine grave ma requête. Il sortie de l'enclos et s'installa.
- Bon, par où commencer... Comme tu sais pendant plusieurs siècle, les dieux se réincarnent sur cette terre, et bien il en est de même que pour ton père. C'est durant une mission qu'il rencontra ta mère, il tomba amoureux au premier coup d'oeil. Chaque fois que l'occasion se présentait, il essaya de passer beaucoup de temps avec elle mais il y avait également cet homme qui convoitait ta mère...
- Apollon...
- Mais ta mère a toujours refusé ses avances. Ton père la protégea lorsqu'il commençait à s'emporter. Je pense que Apollon détestait Peter car il réussissait là où lui échouait.
- Donc par jalousie, il détestait mon père.
- Pas que, après que tes parents se sont mariés il se jura de faire payer à Peter et à tous ceux à qui il tenait de l'affront qu'il lui a fait subvenir.
- Je savais que les dieux avaient des égaux surdimensionner mais Apollon bat les records.
- Il est très susceptible, rajouta Titania.
- Heureusement que tes parents étaient des créatures divines sinon il les auraient tué il y a bien longtemps, respira-t-il un grand coup, j'espère que j'ai pu t'éclaircir un peu plus.
- Oui beaucoup Obe merci, répondis-je en souriant ainsi qu'une petite larme du coin de l'oeil.
Je les remercia de m'avoir accueilli et repartis en direction du sanctuaire.

Plusieurs mois ont passé et de plus en plus de spectres fit surface. Aujourd'hui, Tenma allait passer le tournoi pour obtenir son armure. Il combattit durement et avec beaucoup d'acharnement sans jamais abandonner. Il réussi enfin à battre son dernier adversaire et s'approcha du Grand Pope. L'armure de Pégase le revêtit et posa son regard vers Sasha. Je m'empressa de le félicité pour son armure or j'appris aussi que Yatô avait obtenu également son armure, la licorne. Alors que je discutais avec d'autres chevaliers, je sentis que qu'on me tirait vers l'arrière.
- Allez ! On y va, la petite !
- Qu'est-ce-que... !? Manigoldo !? Où tu m'emmène !?
- En mission, et tu viens avec nous.
- Nous ?
Je regarda derrière moi et vit Albafica un peu éloigné de Mani. J'avais oublier qu'il n'aimait pas trop être proche des gens à cause de son sang.
- Eh ! 2min je suis pas en tenu de civil !
- Et alors ?
- Laisse moi 5 min, le temps de me changée. Tu me préviens à la dernière minute !
- T' a 5 min ! Pas une de plus !
Je courra à toute vitesse vers le 1er Temple, et pris le premier vêtement civil que je trouva. Finalement, je remis ma petite robe verte. Je mis la caisse de mon armure sur le dos et partis avec eux. Lui et la délicatesse...

Nous arrivâmes enfin à Venise. D'après Albafica, le grand Pope nous envoyâmes enquêter sur une organisation criminelle du nom de Nero. Il craint que ceux-ci est un rapport avec les spectres. Nous décidâmes de dormir à l'auberge cette nuit, puis enquêter demain. Lorsque nous entrâmes à l'intérieur, nous vîmes beaucoup de monde au bar ainsi que sur les tables aux alentours.
- Excusez moi, Monsieur reste-t-il encore des chambres de libre pour se soir, questionna Albafica.
- Je vais regarder
Il se dirigea vers le comptoir et nous tendis une clé de chambre.
- Malheureusement, il ne me reste qu'il seule chambre de disponible.
- Ne vous en faîtes pas, on s'arrangera.
Manigoldo pris la clé, et monta à l'étage. Arrivé à la chambre, elle n'était composé que d'un lit double, d'une salle de bain, une table de bureau, une bibliothèque ainsi que d'un canapé.
- Je prends le canapé !, criâmes tous les 3 en même temps.
- C'est hors de question ! Toi, tu prends le lit !, me désigna le crabe
- Je vais pas prendre un lit pour moi toute seul !
- Non, effectivement, c'est pour ça que Manigoldo va dormir avec toi, annonça Albafica
- Quoi ! hurlâmes Mani et Moi avec les joues rouges.
- Et pourquoi pas toi Alba, hein ?, grogna-t-il
- Tu sais très bien pourquoi !, fronça le chevalier de poisson
Vu à la mine désespéré de Manigoldo, je dois en conclure qu'on va partager le même lit cette nuit.
Vu qu'il faisait encore jour, je décide de sortir pour découvrir la ville des amoureux. En sortant de l'auberge, je me dirigea vers le centre de la ville, là où se trouvait une grande place pour les commerçants. Il y a avait de tout, de l'alimentaire, des épices, les bijoux et beaucoup d'autres articles. Dans la foulé, un jeune garçon me bouscula sans s'arrêté suivis d'un homme musclé essayant de l'attraper. Malheureusement pour le garçon, il se fit attraper par la brute et l'emmena à l'écart de la foule. Je les suivis discrètement mais je vis le garçon qui commençait à pleuré. Voyant l'homme hurlé sur l'enfant et commencé à lever la main, je m'interposa et retint sa main.
- Qu'est-ce que ...!?
- Vous n'avez pas honte de frapper un enfant !?
- Ca te regarde pas, gamine !, dit-il en se libérant, le gamin aura du bien travailler si il ne voulait en subir les conséquences.
Il retenti une nouvelle fois son geste, mais cette fois je l'envoya valser avec un coup de pieds avant qu'il ne le touche. Le petit se précipita derrière mois pour se cacher et la brute se releva encore.
- Tu vas me le payer !
- Quand tu veux mon gros.
Celui-ci fonça sur moi à grande vitesse, je commença à parer mais l'enfant était toujours à côté de moi et risquait d'être blesser également. Je le poussa légèrement pour qu'il ne prenne aucun coup mais je pris de plein fouet celui de mon adversaire. Je me releva et attaqua.
- L'envol du Paon !
Je leva mes bras en l'air et poings liés et déferla une bourrasque d'air en plein dans le mille. Il retomba dans un mur, assommé. Je me retourna vers le jeune garçon encore apeuré.
- N'est pas peur, je ne vais pas te faire de mal, lui dis-je en souriant malgré mon masque
- Merci, mademoiselle, dit-il en séchant ses larmes, mais vous êtes qui ?
- Je m'appelle Eileen, je suis un chevalier d'Athéna.
- Moi c'est Tino, vous êtes blessé, demanda-t-il en voyant mes bleus
- Ne t'inquiète pas pour ça, l'important c'est que tu n'as rien mais pourquoi cette homme s'en est pris à toi ?
- Parce que je n'es pas bien fait mon travail.
- Quel travail ?
Il n'osa répondre. Je n'ai pas insisté.
- Et où sont tes parents ?
- Je... n'en ai pas..., souffla-t-il
- Je vois, c'est pour ça que tu travailles malgré ton jeune âge.
Il hocha la tête. Soudain, j'entendis un gargouillement provenant d'un ventre affamé.
- Tu as faim ?
- Oui, dit-il timidement
Le lui pris la main, et nous dirigeâmes vers une boulangerie. J'acheta 10 petites brioches.
- Tiens prends-les, lui dis-je en tendant le sac.
- Je peux pas accepter !
- Ecoute, je ne sais pas combien vous êtes d'orphelin à Venise mais je refuse de vous laissez mourir de faim. Partage-les avec tes amis.
- Merci beaucoup, vous êtes trop gentille, dit-il les larmes aux yeux.
Je le vis partir avec le sourire au lèvre. Le soleil commença à se coucher, je me dirigea donc vers l'auberge pour rentrer. Arriver dans la chambre, je pus voir Albafica entrain de lire sur le canapé et Manigoldo qui essayait de tuer le temps.
- Où tu étais ?, demanda le crabe
- Faire une tour en ville et accessoirement apporter le repas, dis-je en déposant le carton sur la table, j'espère que vous aimez les peperonnis
Le visage de Mani s'illumina lorsqu'il vit la pizza. On découpâmes chacune notre part et mangeons même si le chevalier d'or des Poissons restait toujours distant, se qui me fit un peu mal au coeur. Malheureusement, le moment que je redoutais arriva, passer la nuit avec Manigoldo.
Je me changea pour une simple chemise de nuit et me dirigea vers le lit où Manigoldo se trouvait déjà tors nue et portant un slip. Encore heureux. En le voyant de plus près, je vis sa musculature bien formé me faisant rougir au passage. Je chassa les mauvaises vison que mon esprit s'imagine puis m'allongea du côté droit à ces côtés.
- Tu comptes dormir avec ton masque ?
- Si je l'enlève tu risque de voir mon visage, retorquais-je
- Dans ce cas, on dormira dos à dos, dit-il en se tournant vers la gauche.
Je me tourna du côté droit et y déposa mon masque sur le chevet non-loin puis j'attendis que le sommeil m'emporta.