Il était une fois... ( FanFiction RanTaku ou autres )

L'annonce

Je vérifiais à 4 fois que tout était dans ma valise. Ce week-end je partais avec la famille de Riccardo à leur habituelle réunion de famille chez le grand-père partenelle de ce dernier, non pas que fasse partie directement de la famille , enfin ils n'étaient pas encore au courant que Riccardo et moi étions plus que des meilleurs amis. Ce n'était pas la première fois que j'y allais mais la première fois que j'y allais en tant que petite-amie secrète de mon meilleur-ami...

Un coup de klaxon me tira de mes pensées. J'attrapa mes affaires et descendis les escaliers. Le chauffeur m'attendais dehors, il prit ma valise et la mis dans le coffre. J'entra dans la voiture et dis bonjour à Riccardo, le chauffeur ne pouvant pas nous voir, il m'embrassa. Quand ses lèvres rencontrèrent les miennes toute mes inquiétudes s'évanouirent et je savais que je ne serais comblée que quand Riccardo et moi seront ensemble au su et à la vue de tous.
Le reste du trajet passa vite, nous parlions de tout et de rien .

Nous arrivâmes là-bas en début d'après-midi, les parents de Riccardo y étant déjà, ils nous accueillirent à bras ouvert .
Nous prétextâmes d'être fatigué du trajet et prîmes congé. Dans la chambre, nos bagages avaient été installés, il y avait 2 lits doubles, inutiles de préciser que seulement l'un d'eux nous servirait.
Je sortis de ma réflexion quand Riccardo demanda :
-Ça va ? Il s'approcha de moi et passa ses bras et ses mains autour de ma taille.
-Oui.
-Tu as l'air tendue.
-Non.
-Gabi... Je te connais par cœur...
-Ça va je t'assure. Je me retournais et l'embrassa.
En voulant prolonger notre baiser, il se colla contre moi, je perdis l'équilibre et tomba sur le lit. En voulant me rattraper je m'étais accroché à lui mais il est tombé et atterrit sur moi. Il se redressa en s'appuyant sur ses coudes, toujours au dessus de moi. Nous nous regardâmes et explosâmes de rire. Il me regarda dans les yeux. Je me perdis dans les siens.
Nous fûmes interrompus quand quelqu'un toqua à la porte, je retins ma respiration...
-Je suis venu annoncer que le repas est prévu pour 18h30.
Et la servante qui n'avait pas ouvert la porte reparti sans rien dire de plus.
Cela allait vraiment être compliqué se week-end.
Riccardo me tira de mes pensées quand il se releva et me dit:
-Nous devrions commencez à nous préparer.
-Je vais à la douche.
Répondis-Je simplement.
L'eau chaude de la douche me détendit un peu. Une fois ma douche finie je m'enveloppais dans une serviette et sortie. J'attendis que Riccardo soit sous la douche pour commencer à me préparer. Je choisis un haut en dentelle blanc et un jeans noir de noir. Je me regarda dans la classe et commença à me coiffer quand je senti ses lèvres chaudes dans mon cou.
-Prépares-toi. Lui dis-je en recommençant à me brosser les cheveux. Quand nous fûmes prêt nous descendîmes après un baiser, la soirée s'annonçait longue.

Le repas se passait bien je discutais avec les parents de mon copain, eux non plus ne sont pas au courant de notre relation.
Nous fûmes interrompus quand le grand-père de Riccardo interpella ce dernier avec une boîte dans la main:
-Mon grand, cette année tu as 15 ans et je voulais profiter de cette réunion de famille annuelle pour te donner ça... Il lui tendis la boîte, L'élu de mon cœur l'ouvrit et dévoila une chevalière.
-Tu vois mon garçon, chaque homme de la famille a eu cette même bague, sa particularité est que elle renferme une autre bague que tu donneras à la femme de ta vie.
-Merci grand-père.
Ma tête commença à tournée, il fallait que cela tombe cette année...
-Excusez-moi...
-Gabi, ça va ??
-Oui je reviens, ne t en fais pas
Il lâcha la main par laquelle il m'avait retenue et je quitta la pièce.
Une fois au toilette, je me passa de l'eau sur le visage et me regarda dans la glace:
-Ça va aller, murmurai-je, ça va aller...
Et je sortis. Une fois dans le hall, je me fis attirée contre un mur et quand je rouvrais les yeux j'avais un mur dans mon dos et un autre sur ma gauche, son bras contre le mur à ma droit pour me bloquer le passage et lui en face de moi...
-Je n'aime pas quand tu mens .
Je repris mes esprits et répondit:
-Je ne ment pas.
-Alors dit moi ce qui ne vas pas.
-Je vais bien
-Donc cela ne dérange pas si je fais ça?
Il passa la deuxième partie de la chevalière à mon annulaire gauche.
-Hein... QUOI?!
-Je pense que c'est le moment parfait pour leur dire pour nous deux.
-...
-Je t'en prie...
-Bon... ok... Mais si ils réagissent mal, si ils ne veulent pas, et si ...
Je fût interrompue ( décidément) par ses lèvres et toute mes inquiétudes disparaissairent aussi vite qu elles étaient arrivées. Nous y retournâmes, Riccardo dans ses pensées et moi nerveuse . Nous nous assîmes à nos place et il me prit la main sous la table. Son grand-père ayant remarqué la disparition d'une partie de la bague en fit la remarque:
-Riccardo, où est passer l'anneau que...
-À sa place...
-Tu dois le garder jusqu'à ce que tu le donnes à quelqu'un...
-C'est ce que je dis, il est à sa place.
Il monta nos main et les déposa sur la table, puis il lâcha la mienne et la disposa de façon à montrer la bague qui trônait sur mon doigt, à tout le monde.
Le silence fut gênant. Je ne savais quitter cette fichue bague des yeux et comme personne ne dit rien je décidais de rester à fixer cette bague jusqu'à ce que quelqu'un réagisse. Comme personne réagit, Riccardo le fit, je me sentir tirée puis tournée et mes lèvres rencontrèrent les siennes dans un élan de douceur inégalé.
Je restais de marbre, non pas que ce fut désagréable mais j'étais pétrifiée, dans le vide, perdue. Mon cerveau s'est remît en marche ( je crois ) quand sa tante dit:
-Bon bah nous, nous allons vous laisser et coucher les enfants. Et son mari la suivie.
-Nous aussi...
Et petit à petit tout le monde trouva un prétexte pour quitter la table, il ne resta donc que Riccardo, les grands-parents de ce dernier, ses parents et moi. Moi, mais qu'est-ce que je foutais là ? J'avais juste envie de disparaître, de m'enfuir mais j'étais là, je ne bougeais pas. La mère de son père qui jusque là n'avait pas prononcé mot,décida d'intervenir:
-Riccardo, mon ange, tout cela n'est-il pas un peu précipité??
Exactement, avais-je envie de répondre mais pourtant je ne le fis pas, toujours dans l'incapacité de parler.
-Non. Répondît-il tout simplement.
-Mais cela fait même pas une heure que nous t'avons donner cette bague et tu n'as que 15 ans, comment peux-tu être sur que tu ne changeras pas d'avis...
-Il y a des choses qui ne se commende pas, je me suis toujours demandé comment Gabrielle et moi ( pouah, je détestais quand on m'appelait par mon nom entier ) étions si complémentaires, fusionnels, c'est vrai nous étions meilleurs amis mais il y avait une connexion entre nous et maintenant j'ai compris que le destin nous avait liés à jamais. On ne sais pas de quoi demain sera fais mais je suis sur d'une chose, je suis sur de nous.
Là, j'avoue j'étais touchée, j'essayais de retenir mes larmes mais impossible. Avec un sanglot dans la voix je murmurais:
-Je t'aime...
Miracle ma vois étais de retour et le mouvement par la même occasion, je me tourna vers lui et continua:
-Plus que tout au monde.
-Si c'est ce que tu veux mon garçon, nous l'acceptons. Dit son père.
-Et nous on ne peut plus content que tu aies choisis une personne comme Gabrielle, en qui nous avons confiance. Ajouta sa mère.
L'intervention de ses parents qui jusque là avaient été spectateurs me fit sourire.
J'appréhendais la réaction de ses grands-parents, mais à ma plus grande surprise son grand-père pris un verre et dit :
-Je porte un toast à nos deux tourtereaux qui auront trouvé leur moitié dans ce monde.
-À vous, ajouta sa grand-mère.

Note de l'auteur ( oui comme dans les livres )

Alors vous avez aimer?? Si vous avez des idées de sujet n'hésitez pas à me le dire dans les commentaires 😉😘