Chap 28

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PDV Rose
Ça faisait du bien de passer du temps seule. Surtout après tout les événements qui se sont dérouler ces derniers jours. Je n'avais pas revue Laure depuis qu'elle m'a annoncer sa déclaration. Ce qui veut dire que nous ne sommes pas vu depuis trois jours. Bien sûr, nous nous parlons cependant matin/midi/soir. Je ne vous le cacherais pas; elle me manque énormément.Je ne suis pas amoureuse d'elle  mais je l'aime. Je l'aime plus qu'une simple amie mais je ne l'aime pas d'une façon à en être amoureuse. J'étais également frustrée qu'elle ne m'ait pas embrasser quand elle est venu chez moi. Elle a fait exprès, je le sais. Mais bon.Elle m'appelle chaque soir pour me dire bonne nuit et pour me demander comment c'est passer ma journée. Le matin, elle texte pour me dire "bonne journée" et nous parlâmes comme ça, de tout et de rien, dans nos temps libre. Mais nous restons distant, sachant que l'un et l'autre à besoin d'un peu d'espace pour penser.Ce qui m'étonna le plus de Laure c'est qu'elle se trouve à être une femme chaleureuse, attentionnée et gentille. Je savais déjà qu'il y avait de la gentillesse en elle, mais jamais je n'aurais pensée qu'elle est autant attentionnée. Elle prend soins de moi, même si c'est seulement par messages textes. Quand elle m'appelle, juste entendre le sons de sa voix rauque m'apaise. Elle a un don pour savoir comment je vais. Si je suis trop fatiguée, elle me laisse, compréhensif.J'ai aussi eu des nouvelles de mes frères et soeur. Clara veut peut-être revenir avec Elena mais Émile et Jack ce sont fait des copines et ils aimeraient rester là-bas. Ça fait du bien également d'avoir eu congé d'eux.Je souffla un bon coup et sortit de mon bain moussant. J'enroula une serviette autour de mon corps et sortit de la salle de bain, entrant directement dans ma chambre. Je sortit de mon placard une paire de jeans bleu pâles, un pull mauve et j'attachais mes cheveux en queue de cheval lâche je me mis un peu de mascara et descendit dîner. Émilie m'a préparer des pâtes blanches avec du beurre fondus et des demis-olives avec un peu de sel. J'adorais ça.Je m'assis sur le banc et commença à manger. C'est excellent. Émilie me sourit avant de sortir de la cuisine en chantonnant. Quand j'eus fini, je rangeai ma vaisselle et sortit de la pièce.Le désavantage d'être une fille de riche, est que on a pas d'amis. Enfin... Pas moi. À part Jay, j'en avais qu'une seule; Mélanie. Elle me manque tellement. Mélanie et moi nous nous connaissions quand j'avais 5ans. Elle 7. Elle était devenue orpheline dans la même année, ayant perdue ses parents dans un accident de la route. Alors nous l'avons héberger. Elle était devenus ma soeur. Mais quand j'ai eu 13ans... Ma mère à décider de s'en débarrasser comme un vulgaire animal. Elle l'a envoyer je-ne-sais où. Ça été attroce... Soudain, une petite ampoule clignota au dessus de ma tête(sens figuré, hein.) j'eus une idée.Sans attendre, je monta les marche quatre par quatre et entra dans ma chambre. Je prit mon ordinateur et me jeta sur mon lit, ouvrant ma page Facebook.Je cliqua sur la bar de recherche et retins ma respiration avant de me décider. Facebook était fait en partie pour retrouver des amis, non?Je tapais lentement: Mélanie... Mais j'eu un blanc. Son nom de famille... Ah oui! :Mélanie Riverside. Je fit défiler les nom et les photos de profil et soudain, là. C'était elle. Je cliquait sur son profil pour voir sa photo et je manqua m'étouffer.Elle sourait, et semblait heureuse. Elle était avec une femme qui a la peau brune. De longs cheveux noirs et des yeux autant foncé. Elles se trouvaient sur une colline et en fond, d'autre collines. Je dirigeait mon curseur vers "Message" et cliquait dessus...<Salut, Mélanie!... Je ne sais pas si tu te rappelles encore de moi... Tu sais, ça fait 5ans que nous nous sommes perdue de vue. Tu sais de quoi je parle, n'est-ce pas? Je ne sais pas où tu es mais saches que je penses souvent à toi. Je ne sais pas quoi te dire, ahah... Mais bon... Tu vas bien? Moi pas trop. Tu sais, je ne savais pas que j'allais te retrouver ici, sur Facebook. Ça ma fait un choc de voir combien tu as changer... Tu es tellement belle! Dire que la dernière fois que je t'aie vue, tu avais seulement 15ans... Maintenant tu en a 20? 21? Moi j'ai atteint mes 18ans, ça fait quatre jours de cela... Sur ce, je vais te laisser... J'espère tout de même recevoir une réponse de ta pars... À bientôt.>J'hésita avant d'envoyer le message que je relus une dizaine de fois. Je finit par l'envoyer et tout de suite après avoir fermer mon ordinateur, j'éclatait en sanglot. Je venais de lui parler. Et si elle m'avait oublier? Ho mon dieu...À travers mes larmes, je prit mon téléphone qui sonna. Je prit une dernière inspiration et décrocha en voyant le nom de Laure à l'écran. À travers un hoquet, je répondis."-Allô?"
"-Rose, ça va?" demande Laure d'une voix inquiète.
"-On peu dire."
"-Qu'est-ce que t'as?"Je lui répondis en lui racontant toute l'histoire de Mélanie et moi et le message. Tout le long, elle m'écoutait sans m'interrompre. Quand j'eus finit, elle me dit simplement:"-Tu veux que je viennes?"
"-Pas ici... Cinéma, ça te dis?"
"-Je suis partante!"
"-Dans 30minutes devant le cinéma?"
"-Ouaip. À tantôt, Rose."
"-À tantôt."Je souris et raccrochait. Je me leva et partit dans la salle de bain m'arranger le mascara qui avait couler. Ensuite, je sortis de ma chambre, descendis, mit mes souliers blanc et sortit de la maison en direction du cinéma.Ça me prit exactement 30minutes me rendre. Je vis Laure à l'entré payer les tickets et je lui dit bonjour.Elle se retourna vers moi et je manqua un battement de coeur. Trois jours m'avait sembler une éternité et voilà qu'elle  était là, devant moi. Elle me sourit et me salua. Nous entrâmes dans le cinéma et nous avons opter pour un film d'action.On était une dizaine dans la salle quand le film commença. C'était bien.Soudain, je sentis quelque chose se glisser dans ma main. Quand je baissa les yeux, la main de Laure était dans la mienne. Je sourit et leva les yeux vers elle. Ses yeux brillait et doucement, elle caressa ma paume avec son pouce.

Le Mariage forcé [ en correction ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant