Chap 31 part 1

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PDV Rose
Aujourd'hui, j'allais revoir Mélanie. Moi et Laure étions maintenant dans la voiture garer devant l'aréoport. Depuis ce matin, le sourire était coller sur mes lèvres. Je suis tellement heureuse!Nerveuse et impatiente, mes doigts tambourinaient sur mes cuisses. Mes pieds tapait sur le parquet de la voiture et ma tête ne cessais de tourner de tout les sens pour voir si elle allait apparaître un moment donner.Laure était derrière le volant et n'arrêtait pas de rire de moi."-Arrête Laure!" Dis-je en riant. "J'ai vraiment hâte de la voir. C'est pas drôle.""-Si c'est drôle! Tu serais de mon avis si tu verrais à quoi tu ressemble!"J'éclate de rire et soudain, ma tète s'arrêta et mes yeux se posèrent sur elle. Mélanie regardait devant elle, ayant l'air à chercher quelque chose. Sa valise et ses sacs étaient poser sur le sol. Elle avait énormement bronzée."-C'est-elle!" Criais-je en sortant de la voiture.Je courus vers elle et quand elle m'apperçus, elle ouvrit grand ses bras et je sautait sur elle en la serrant fermemant.Son parfum remplit mon nez et j'inspira grandement. Soudain, un boule me monta dans l'estomac jusqu'à ma gorge. J'essayait de ravaler ce sanglot mais les larmes étaient déjà en train de couler. Évidemment que je pleurais de joie. Mais je pleurais de tristesse également. Mélanie m'avait trop manquer. Elle n'avait pas mériter de partir si tôt. Elle n'avait pas mériter de me quitter. Je n'avait pas mériter de la perdre.Je pleurais encore et davantage quand je remarqua qu'elle aussi pleurais. Elle me caressait les cheveux et je n'arrêtait pas de murmurer son nom et à qu'elle point elle me manquait.Ce fut la première à se décoller de moi. Elle prit mes joues entre ses mains et me dit entre un sanglot:"-Comme tu as grandit..."Je souris en hochant la tête en même temps de pleurer. Elle m'essuya mon mascara qui à couler et se pencha pour ramasser ses sacs."-allons-y." Dit-elle et me souriant tristement.J'aquiesca et je me retourna et ensemble, nous nous dirigions vers la voiture de Laure. Celle-ci ouvrit le coffre pour que Mélanie mette ses sacs .À la maison, je montrais la chambre dans laquelle Mélanie allait dormir. Elle ouvrit ses valises, plaça son linge dans les tiroir et me sourit.
"-Tu es ici pour combien de temps?" demandais-je en lui rendant son sourire.
"-Une ou deux semaines."
"-Seulement?"
"-J'ai une famille là-bas, tu sais..."
"-Ho... Ouais."Elle me sourit tristement et s'avança vers moi.
"-Je suis tellement contente de te revoir."
"-Moi aussi."Je la pris dans mes bras et nous restâmes ainsi pendant un bon moment quand Laure vint nous déranger.
"-J'ai commander du chinois. C'est prêt."
"-D'accord on arrive. Laisse nous deux minutes."Elle hocha la tête et redescendit en bas. Mélanie se retourna vers moi et me demanda:"-depuis combien de temps es-tu avec?"
"-Je ne suis pas avec elle... En tout cas, longue histoire que je vais te raconter plus tard. Viens, j'ai faim."Elle rit doucement et ensemble, nous descendions manger.Sur la table il y avait plusieurs plats chinois. Laure avait mit la table et nous invita à nous asseoir. Je la remerciait et Mélanie fit également.Nous commençâmes à nous servire et à manger. Je posais plusieurs question à Mélanie à propos de son pays et c'est à cet instant que je remarqua son accent prononcer. J'attendis plusieurs minutes avant de poser la question qui me trottait dans la tête depuis que j'ai 13ans."-ou es-tu aller... Quand tu es partit de notre famille? Où est-ce que ce camion t'as amener?"Elle me regarda un instant avant de baisser le tête. Le silence pesa sur la table pendant un bon cinq minutes. Jusqu'à ce qu'elle prit la parole."-Hé bien... Quand je suis partit et qu'ils mon mit dans ce camion, je savais où est-ce qu'ils allaient m'amener.""-comment ça?" la coupais-je. Elle leva les yeux vers moi."-tu te souviens? Une semaine avant mon départ, j'était deux fois plus proche de toi. Je faisait tout pour ton bonheur. Tu sais pourquoi? Parce que je savais qu'ils allaient m'amener.""-quoi?? Tu le savais? Et tu ne m'as rien dit?""-Laisse moi finir... Alors quand ils mon amener, c'est pour ça que je n'aie pas paniquer. J'étais préparer. Mais tu allais tellement me manquer! Quand je te regardais te débatre entre les mains des gardes, mon coeur s'est brisé. Je ne détachait pas mon regard de toi alors que tu rapetissait de plus en plus jusqu'à ce que tu disparaîsse de ma vue. Je voulais me souvenir de ton visage le plus longtemps possible. Mais j'avais seulement l'image de toi détruite parce que je l'étais aussi. Tu sais où le camion m'a amener? Il m'a amener dans un centre de pension pour jeunes. Ils m'ont mise là, sans raison valable. Ma chambre n'était pas plus grande que qu'une cellule de prison. Et pas plus large. J'étais malheureuse. Très malhereuse. Je dessinait tout le temps ton visage. Ton visage triste. Je m'ennuyait énormément. J'ai même fait une depression.À mes 16ans, une dame est venu dans ma chambre pour m'anoncer que j'allais être adopter. Par une famille. Du pérou. J'était sous le choque. J'allait quitter mon pays pour aller dans un pays totalement étranger pour moi! Je ne parlait même pas espagnol. J'ai tout fait pour ne pas y aller mais il était trop tard, les papiers étaient signer. Alors quelques semaines après, je prit l'avion pour aller là-bas. Le vol à été pénible. Chaque heures qui passaient, mon coeur se brisait de plus en plus. Arriver,la dame qui m'a accopagner pour être sûr que j'arrive saine et sauve, m'a aider à trouver ma nouvelle famille. Et quand je l'es ai vu, j'ai éclater en sanglot de soulagement. Ils avaient tellement l'air chalereux, gentils... Ma nouvelle mère se mis également à pleurer. Elle était belle, grande. Ses cheveux étaient long, énormément noirs et soyeux. Mon nouveau père semblait être un vieux bonhomme. Je me suis dit qu'ils avaient été forcer de se marier..."Moi et Laure nous nous regardâmes directement."... Alors je ne m'en fit pas avec ça et je m'approchais d'eux timidement avec ma valise. La dame nous a accompagner à la maison pour voir où allais-je être héberger. La maison était petite, mais chalereuse et belle. Ma chambre était confortable et ces à ce moment que je me suis dit que j'allais être heureuse pour une fois en un an."C'est après son histoire que je remarqua que ma main était dans celle de Laure.

Le Mariage forcé [ en correction ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant