Il y a de cela quelque décennies, les monstres et les humains vivèrent en harmonie sur la même terre mais un jour, un conflit mirent fin à celle-ci. Certaines personnes ont eut l'idée de les emprisonner sous terre et cette majorité l'emporta. Les opposants furent réduits au silence en leur interdisant de transmettre quoi se soit, au sujet des monstres, aux générations suivantes. Seul le roi humain avait le droit de savoir. Mais avant qu'il ne perde la mémoire, suite à la maladie, il décida de garder des écrits dans un journal scellé.
*Elipse de plusieurs années*
- Ne la laissée pas s'échapper ! cria un premier homme
- Bien reçu! cria le second
Ma respiration saccadée, du sang coulait de ma tête, j'étais recouverte de saleté et mes pieds écorchés de la course. Je me suis cachée dans une petite ruelle entre deux bâtiments. Je vais essayé de m'enfuir vers la forêt, me suis-je dis. Je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas le droit d'être à l'extérieur? Je regarde mon reflet dans la flaque d'eau, pourquoi suis je... —
- ELLE EST LÀ!! Lâcha le troisième homme militaire
- C'est bon, on l'a, monsieur ! s'écria le chef dans le talkie walkie, rend toi sans faire d'histoires!
- Non, je n'y retournerai pas !! Je ne comprends pas qu'on ne puisse pas aller dehors ! c'est une prison votre endroit !! criais-je
J'entendis un sifflement dans l'air et je sentis quelque chose me piquer l'abdomen. Je vacille, j'essaye de me retenir au mur en vain. Juste avant que je ne perde connaissance, je sentis qu'ils m'ont ligoté bras et jambes et m'ont jeté dans une cage. Ils me traitent comme une bête sauvage.
- où suis—je? dis-je en me réveillant toujours dans le gaz
Je sens que mon corps flotte, mes yeux papillonnent mais on dû mal à s'habituer à cause d'un liquide? Je réalise que je suis dans un tube en verre avec masque à oxygène et attachée à des chaînes. Je commence à paniquer et essaye de me libérer. Je tape sur la vitre pour que quelqu'un me sorte de là.
- Désolé mais tu vas devoir rester là dedans, sur ordre de mr. Lorgan, dit la femme calmement
Cette femme était vêtue de blanc comme une infirmière, elle était munie d'une tablette numérique et portait des lunettes demi lune. Sur son visage, elle ne laissait apparaître aucune émotions. Mais notre conversation s'est interrompue par les portes qui se sont ouvertes.
- Ah monsieur Lorgan, le sujet s'est réveillé, lâcha l'infirmière avec nonchalance
- Merci Vendra, voici l'enfant dont je vous parlait, dit calmement monsieur Lorgan
- ooooh, s'exprima t—il émerveillé, très intéressant, cela fait des décennies qu'on en a plus vu
- Des décennies ? demanda le scientifique
- Ne vous en faites pas, n'écoutez pas les paroles d'un vieil homme sénile comme moi, ria-t-il
- Vous en avez trop dit et puis, ce n'est pas la première fois que je m'occupe d'enfants spéciaux, du moins, celle ci est un cas a part, Souria t-il de manière narquois
- Monsieur Lorgan, il y a beaucoup de choses que l'on ignore. Ce n'est certainement pas un hasard si certains enfants ont des capacités spécifiques, il s'est sûrement passé quelque chose pour en arrivé là, dit-il en reprenant son sérieux
- Qu'est ce que vous insinuez ?
- Allons, allons, patience, patience, cela sera bientôt découvert, mais en attendant, je vais procéder à mon expérience, étant donné que vous m'avez appelé pour son cas, dit il en déposant sa mallette à terre.
Complètement paniquée par cette conversation, je reste muette. Les deux scientifiques me regardent d'un drôle d'air.
- Sujet numéro 7, sache qu'on ne veut que ton bien, tu sais, après ceci tu vas pouvoir vivre une vie tranquille, me souria t-il
L'infirmière et scientifique se sourient et me laisse juste en compagnie du vieux monsieur.
- Ouf! très bien alors, voyons voir, dit en ouvrant un drôle de bouquin
Le vieil homme entreprit de débrancher de vider la machine de son contenu, de me sortir de celle-ci, de retirer le masque à oxygène et de me détaché. Il n'avait pas peur de moi mais moi n'ayant pas confiance, je me suis mise en position de défense, montrant les crocs et tapant de la queue au sol.
- Je vois que tu as garder de bons réflexes de survit, me souria sincèrement
- V-vous me connaissez? dis-je étonné ressentant sa sincérité
- Non mais mon vieil ami m'a beaucoup parlé de toi, donc oui, je te connais
- Un vieil ami? interrogiais-je curieuse
- Bon, procédons à l'expérience, dit-il ouvrant sa malette
Je refis claquer ma queue au sol et grogna un coup, pour montrer mon mécontentement, je ne me laisserai pas faire aussi facilement. Il n'a pas le choix que de m'injecter leur produit anesthésiant, au point où en est ma peau.
- inecta pravilera, ivera na incima claveri priverati, inuma ~~
Le vieil homme forma un triangle à l'aide de ces doigts et le dirigea vers moi. Il continua de débiter une sorte d'incantation dans un langage étrange et des marques violets se formèrent au sol. Je voulais m'en échapper mais un mur invisible m'encerclait.
- Arrêtez, je vous en supplie! Criai je.
- BLIVERA!!
Le sol se dérobe sous mes pieds et au dernier moment le vieil homme me lâche :
- Ce n'est qu'un au revoir.
- AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH!!!
La chute me fit perdre connaissance. J'ai commencé à avoir divers flashback dont je ne connaissais pas la provenance.
~~ Premier Flashback~~
- enfuis toi!! ENFUIS TOI!!
- Non!! Je reste avec toi, ~~ nom censuré~~!!
~~ Deuxième Flashback ~~
- Ne fais pas d'histoires, espèce d'enfants du diable et rends toi! cria t-il
~~ Troisième Flashback~~
- hehehe, ria t—il de bon cœur
- Je t'adore, jamais je ne voudrais être séparé de vous tous, l'entourai-je de mes bras
~~ Quatrième Flashback~~
- Voyons, j'en connais une qui n'a pas été gentille avec la gardienne de nuit, Lâche Lorgan avec un sourire narquois
- Non, svp, laissez moi tranquille ! Criai-je aux larmes
- Oh non, les méchants enfants doivent avoir la punition qu'ils méritent ! Allez-y !
- NOOOON!! AAAAAAAHHHHH !!
~~ Fin du flashback~~
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QUESTALE
FanfictionIl y a de cela quelques décennies, les monstres et les humains vivèrent sur la même terre mais un jour, une bataille mirent fin à cette harmonie. Certaines personnes ont eut l'idée de les emprisonner sous terre et cette majorité l'emporta. Les oppos...