- Ne lui faite pas de mal ! c'est un humain, euh, un monstre, euh... elle a atterrit dans l'Underground et elle était blessé alors Frisk la ramené pour-, lâcha t-il paniqué
- Papyrus calme toi, on ne va rien lui faire, c'est moi qu'il l'ait amené ici, dit le grand sage
- NYEH?! cria le jeune Papyrus
- Hein? Vous? Lâchai-je
- Qu'est que ça veut dire, Gaster? Tu laisses entrer des ennemis de la surface chez nous, Dit le squelette au sourire narquois
- Jamais je ne mettrai vos vies en danger, Sans, dit-il calmement le vieux
- Mphft! soupira t-il
- Sans es tu sûr que ça va? Car ce matin, tu agissais bizarrement après ce cauchemar, dit son frère inquiet
- Ca ne vous regarde pas! Est ce clair?! S'énerva t-il repartant là d'où il venait
- Calme toi! Écoute, je sais que ce sont des souvenirs douloureux et ça l'est pour nous aussi! S'écria Gaster
- ..., Sans laissant un blanc
- Mon enfant, peux-tu venir ici, stp? me demanda Gaster
Je m'avance vers eux craintivement.
- Montre-moi tes bras, demanda t-il doucement
Je n'ose pas levé mes manches, de honte a montré ma peau meurtrit. Gaster attrape mon bras d'un geste agile et relève avec douceur ma manche. Je lâche une grimace de douleur car certaines cicatrices sont encore récentes.
- J'avais vu juste... Ils n'ont fait que te torturer et te persécuter, ma pauvre, dit le vieux tristement
Tout le monde était horrifié surtout Frisk. Ayant des ressemblances avec celle-ci.
- Tu as été maltraité à la surface? Comment est ce possible? Tu as leurs gênes non?
- Ce qui sort de l'ordinaire, c'est-à-dire, ces cornes et sa queue, est craint par les humains sauf dans des cas et des mentalités différentes, mais ils sont minoritaires. Je l'ai amené dans notre monde pour la protéger car c'est une vieille amie, dit le vieux sage en posant une main sur son épaule.
- Une vieille amie?! s'écria tout le monde
- Hein?! lâchai-je moi-même de ce que j'apprends sur moi
- Sache que je suis très heureux de te revoir, dit il en me souriant
- J'en perd mes os, dit le revenant d'un air détaché
- Pfffft, pouffa Frisk
- SANS!! ARRÊTE AVEC TES JEUX DE MOTS!! Cria Papyrus
- hehehe..., tu sais bien que je ne peux pas m'empêcher, se moqua t-il voyant son frère s'énervé
- Mmh? lâchai-je surprise du rire que je viens d'entendre
- Sorry bro, c'est pour détendre l'atmosphère, lâcha t-il détaché de la situation
- Ce rire..., dis-je perplexe
- Mmh? S'étonna Sans
- Je l'ai déjà entendu quelque part, dis-je en le fixant pour me rappeler
- Oh— Cria Papyrus
- Ssssssss, continua Sans
- SANS!!! S'écria Papyrus furax
- Pfffft, gloussai-je de rire à mon tour.
Je ne pus pas retenir mon fou rire. Il fut communicatif et on ria tous de bon cœur. Cette sensation met familière. Cette douce chaleur naissant au creux de mon ventre, je l'ai déjà ressentis auparavant. C'est comme ci...
GRLRLRLRLRL~~~
- ..., Sans regarda la fille en silence
- J-je... euuuuh, dis-je gênée
- Tourné spaghettis pour tout le monde! Cria le chef Papyrus
- Des SPAGHETTIS!!!!! lâchai-je aux anges
Mon inquiétude s'était comme évaporé. Je me sens plus comme chez moi ici. Je suivis Papyrus de près car j'étais trop impatiente de manger, surtout ça! J'ai mangé avec un énorme appétit.
- Woowie, tu n'as plus mangé depuis combien de temps? s'étonna t-il
- Je n'ai pas souvenir d'avoir mangé quoi se soit dernièrement, disons que je fuguais beaucoup du labo alors il me punissait en me privant de nourriture, dis-je attristée.
- Tu voudras bien venir faire un ou deux tests pour m'assurer que ta santé ne soit pas en danger
Rien qu'à l'évocation du mot test, je me suis de nouveau crispé de partout et mes sens étaient en alertes. Mes pupilles se sont dilatés d'un coup.
- Ne t'inquiète pas, Sans t'accompagnera durant les tests si tu n'es pas bien, dit Frisk
- Hé, gamin, j'ai du boulot ailleurs, dis le squelette en question
- ..., le fixe avec un regard plein de détermination
- Arf, très bien, si tu insistes, soupire t—il en se grattant l'arrière du crâne
- D-d'accord, dis je d'une petite voix
- Je suis fière de toi, dit il en s'approchant pour caresser ma tête.
Prise de peur, je recule en prenant une posture défensive et sorti les griffes et montrant les crocs.
- Tu gardes de bons réflexes! dit-il
- Le vieil homme m'a dit pareil que vous, dis-je étonné de réentendre ces mots
- Ahahah, ce bon vieux Alfred, lâcha t-il comme nostalgique
- Gaster, il faudra qu'on parle, dit-il avec un regard insistant
- N'oublie pas que je suis ton père, tu me dois du respect, jeune homme! dit-il irrité
Mon regard croise celui de Sans mais il le détourna et monta en lâchant un bonne nuit.
- Il n'est pas ainsi d'habitude, tu l'excuseras, dit-il un peu mal à l'aise
- Je peux comprendre que cela puisse paraître si soudain que quelqu'un comme moi débarque chez vous, sachant que je viens de la surface, lâchai-je naturellement
- Tu fais aussi partit de ce monde, tu sais, dit le vieux sage
- Si vous me connaissez si bien, ai je un nom? Dis je en m'avançant vers Gaster
- Tu ne te souviens absolument de rien? Dit-il un peu inquiet
- Non... juste des expériences qu'on a faites sur moi au labo, dis-je l'air grave
- Arf, ça va être un travail de dur labeur, dit il en massant les tempes de crâne. Car je n'ai que très peu d'informations conservé à ton sujet, vu comment le labo a terminé, dit-il perdu
Pendant les quelques secondes de blanc, on a entendu une porte se fermer.
- ... bien sûr que non, tu ne l'as pas oublié, dit-il tout bas et en souriant
- Hein? entendai-je avec mon ouïe
- Ce n'est rien, bon, je vous laisse, les enfants, nous salua t-il
- Je ne suis plus une enfant! Dis je impulsivement puis plaquant mes mains sur ma bouche. *Mais pourquoi ai-je dis ça, me suis dis dans ma tête*
-Pffft, gloussa t-il en se dirigeant vers sa chambre
- Qu'est qui m'a prit de dire ça? m'étonnai-je
- Il ne peut pas s'empêcher de nous parler comme si on l'était encore, enfin bref, c'est pas tout mais moi aussi je vais aller reposer, la journée fut rude et la soirée remplit d'émotions, dit-il en s'étirant.
Au moment où, il termine sa phrase, la porte du placard s'ouvre et deux billes blanches scintillantes apparues. Je penche la tête sur le côté, perplexe, mais Papyrus s'est mit a paniquer, me prit dans ces bras et Frisk vit la scène de loin étant assis dans le canapé pour regarder la télé. Papyrus monta les escaliers comme une flèche en criant après Sans :
- Il est de retour, il va me manger! Cria Papyrus paniqué
Il ouvrit la porte de Sans, dans un grand fracas.
- Bro qu'est qui se passe-
Il n'eut pas le temps de terminé sa phrase que Papyrus embarqua tout le monde sous la couette.
- Mais qu'est qui se passe? dis-je paniqué pensant réellement qu'on est menacés
- Désolé, ahahah, mais j'arrive pas à me ravoir ahahah, ria Frisk aux éclats
La couverture se souleva et se mis à flotter dans les airs et on vit les fameuses billes blanches dans l'encadrement de la porte.
- Vous allez m'expliquer ce qui se passe, à la fin?! S'énerva Sans ayant son œil activé.
Pauvre Sans, on était tellement prit dans l'incompréhension, nous même, et la panique, sauf pour Frisk qui rigola, qu'on a pas entendu ces questionnements. Papyrus est tellement effrayé, qu'il tomba dans les pommes.
- Papyrus! S'écria Sans et moi
Je descend du lit et me met en position de défense. Sans active son emprise sur le monstre en question et l'amène près de lui. Je le menace de nous laisser tranquille. N'ayant aucune réponses, je me précipite sur la lumière et le monstre apparu.
- Waouf Waouf! S'exclama t-il en léchant le bout du nez de Sans
- Un chien? Nahahahah, tu as peur d'un chien, riai-je aux éclats.
Frisk était plié en deux, il tenait son ventre tellement qu'il faisait mal.
- Comment tu peux avoir peur d'un boule de poil aussi adorable ! dis-je en prenant le chien à bras et le laissant te lécher.
- Arf ce n'était que toi... Pap' réveille toi, dit il en le secouant un peu
Papyrus était toujours dans les pommes. On a attendu quelques minutes avant qu'il se réveille.
- Ahahah, riai je, toujours le chien dans mes bras.
- Ce n'est pas drôle, depuis quelques jours, il cherche à me manger, et je ne sais comment, i la réussit à rentrer dans la maison, dit-il toujours effrayé caché derrière Sans
- Il aurait compliqué de pas trouvé son bonheur ahahah, ria Frisk
- héhéhé surtout qu'on manque pas d'os, lâcha Sans
- NAHAHAHAH, riai-je de plus belle
- Aaaarf, bailla Sans
- Oh, je vais te laisser dormir, je vais prendre cette petite canaille avec moi, comme ça on est sûr qu'il vous embêtera pas, souriai-je
- Wouarf! aboya t-il heureux
- Bones nuit, dis je en descendant au salon
- Elle était bones celle-là, lâcha t-il gaiement
- ...., Papyrus regarde Sans tristement
- Pas maintenant, dit il d'une petite voix en se retournant sous la couette
- Très bien, quand tu seras prêt dis le moi, Frisk et moi on t'aidera, s'attrista de voir son frère ainsi
- Ca va aller, bro, il me faut juste... un peu de temps, dit-il tristement
~~Dans le salon~~
Après m'être installé confortablement avec le chien, j'entends les marches grincer et des pas venir dans ma direction.
- Est ce qu'on peut rester avec toi cette nuit? dit la petite voix d'un enfant.
Je me retourne et voit Papyrus et Frisk avec un petit sourire. J'acquiesce et laisse Papyrus s'installer et on s'installe au dessus comme un coussin.
- Tu le laisses tranquille d'accord? Dis je au chien
- Warf!
- Je prends ça pour un oui, dis-je contente de lui
On s'est tous endormis paisiblement.
Mais voilà que je me réveille le front en sueur. Ma vision ayant du mal à se faire à la lumière, je ne vois pas encore clair et papillonne des yeux. Le visage endormi de Frisk m'apparu enfin. Puis des poils et quelque chose d'humide vinrent me chatouiller la joue. J'ai caressé le sommet du crâne de celui qui nous avait «attaqué» la veille. Je sentis Frisk se réveiller à côté de moi en s'étirant.
- Bien dormi? Demanda l'enfant
- Comme une-
- Tombe!
Effrayé de voir le crâne de Sans avec ces yeux tout noir, je donnais des petites tapes sur son nez, comme les chats quand ils sont pas contents. Il choppa ma main pour que j'arrête.
- SANS! Pourquoi leur faire peur dès le matin, dis Papyrus avec sa toque de cuistot
- Rien ne vaut une bonne blague à TOMB—ER de rire héhéhé, ria t-il
- SAAAAANS!! s'écria son frère énervé de pas le prendre au sérieux
- pffffft, pouffa t-on de rire, Frisk et moi
- Tu vois, Frisk et la nouvelle trouvent ça drôle, dit-il avec un sourire et son oeil fermé
- Arf, très bien ... le petit dejeuner est prêt, venez à table, dit la grand Papyrus
- Un p'tit dèj' MORTEL!! lâchai-je en même temps Sans et moi avant de nous regarder.
Je me suis rendu compte que Papyrus a été très discret pour partir sans nous réveiller. Il est si gentil, par contre, en ce moment même, il a des signes d'agacements qui se forment sur son crâne, je trouve cela mignon. Il tape une crise de nerfs sur Sans et moi. Il trouve que Sans devrait me montrer le bon exemple de comment bien se tenir.
- Je vois que tout le monde est de bonne humeur, dit un arrivant sage en souriant
Le calme est vite revenu après que Gaster nous a rejoint et tout le monde déjeuna dans la joie. J'ai remarqué qu'il y en avait un qui se nourrissait et buvait principalement du ketchup. Je regardais un peu tout le monde discrètement pour un peu analyser leur manière de fonctionner. Puis l'heure fatidique fut venu. Gaster me sorti de ma torpeur, et captiva notre attention à Sans et moi. Nous débarrassions la table avant de nous dirigé vers le sous sol. Durant notre descente, j'ai repensé à la découverte des photos de ce matin, je me rendis compte que Sans était plus grand que Frisk et moi. Pourtant...
~~ Flashback de la veille~~Grâce a Papyrus, les murs étaient remplis de photos souvenirs. Je les ai toutes regardées, attendris.
- Qu'est que tu fais? demanda Frisk
- Oh ! tu m'as fais peur! Et bien j'admire vos belles photos, m'apaisai je devant celles-ci
- Hihi j'avoue qu'elles sont inoubliables... les années passent trop vite, lâcha Frisk
- Cela fait combien de temps que tu es ici? lui demandai-je
- Je ne saurais dire, quelques années peut être ? se questionna t-il
- Et la surface ne te manque pas? le questionnai-je
- Oui et non, à la fois, dit il d'une petite voix
- ... *regarde à nouveau les photos* oh! Et c'est qui, elle? demandai-je surpris de la voir pour la première fois
- Euh... je ne sais pas si je peux..., dit-il un peu mal à l'aise
- Que se passe-t-il? Demanda Papyrus montant les escaliers
- Elle voudrait savoir c'est qui la fille sur la photo... (Chara : dit lui, vas y)
- Sauf si c'est déplacé de ma part, dis-je
- (Chara : vas-y !) NON! cria Frisk
Papyrus et moi fut surpris de l'exclamation de Frisk.
- P-pardon... je vais aller me recoucher, je ne me sens pas trop bien depuis le petit déjeuner
- D'accord... dis-je un peu inquiète
Un silence s'installe mais Pap's le rompa.
- Honnêtement, je ne pense que pas que c'est à moi de te le dire... il me faut encore du temps avant que j'avale la pilule également.
- Oh... je suis désolé, je n'aurais peut être pas dû aborder ce sujet, surtout si je remue le passé... toutes mes condoléances, dis-je attristé
Pap's me prend soudainement dans ces bras. Surprise de cette étreinte si soudaine, je poussai un petit cri d'étonnement.
- Oh désolé, je suis parfois trop impulsif ! J-je voulais te réconforter car je trouvais que tu te forçais à sourire tout a l'heure, dit-il un peu gêné
- Oh... c'est que... je ne ressens plus d'émotions, je fais comme on m'a appris, c'est à dire rester neutre ahah, riai-je pour cacher ma tristesse
- Sache que... si un jour tu veux te confier, je suis là... enfin, on est tous là, souria t-il
- Merci, souriai-je sincèrement
~~Retour au présent~~
Je suivais Gaster de près, Sans était non loin de moi. Je décide de briser le silence.
- J'aimerais en savoir plus sur moi, je pense que vous êtes le mieux placé pour m'en dire plus, m'adressai au squelette plus âgé.
A cette instant, je crois que tout le monde fut prit au dépourvu. Je ne sais pourquoi mais j'ai senti Sans tressaillir à côté de moi.
- Je sens qu'il y a quelque chose que vous ne me dites pas depuis hier, je m'en excuse d'avance si je remue votre passé, qui plus est, si il est douloureux, je ne veux que savoir qui je suis, et pourquoi je me retrouve avec cette apparence qui un mélange d'humain et de monstre, dis-je sincèrement
- Très bien, mais je tiens à te dire que je n'ai qu'une infime parti de souvenirs t'appartenant dans nos données, la plupart, ont été perdues. Suis moi, dit-il insérant le code pour ouvrir la porte.
J'avançais mais pas Sans. Je me suis retournée pour capter son attention, avec insistance, il avait la tête baissée vers le sol. J'ai attendu une réponse de sa part, puis il lâcha un long soupir et se résigna et se gratta l'arrière de la tête. Il s'avança vers moi, je levai un peu la tête, étonné qu'il s'arrête devant moi, pour croiser ces pupilles. Et il me dit doucement et rassurant.
- Je serai toujours à tes côtés, si tu viens à perdre pied.
Il agrippa doucement mon poignet et me tira à l'intérieur du labo. Je restai bouche bée devant les paroles qui venaient de me dire, et me laissa entraîné par sa grande main squelettique. Elle avait beau être froide, je trouvais qu'elle avait quelque chose de rassurant et réconfortant.
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QUESTALE
FanfikceIl y a de cela quelques décennies, les monstres et les humains vivèrent sur la même terre mais un jour, une bataille mirent fin à cette harmonie. Certaines personnes ont eut l'idée de les emprisonner sous terre et cette majorité l'emporta. Les oppos...