« L’amour au delà du handicape »
Deuxième PARTIE. « Certains ont peur des araignées, des serpents, des fantômes, du noir ou même des clowns. Moi la seule chose dont j’ai vraiment peur, c’est de te perdre. »
Allongée sur ce lit d’hôpital, je repense à tout ce qui c’est passer. Non je ne suis pas morte lors de cet accident, mais j’ai perdu pratiquement la totalité de mon corp : Ma colonne à été fracturé, mes jambes ont étés casser, mes bras on étés foulés. En gros je suis un légume. Dorénavant je devrais me déplacer en fauteuil roulant. Peut être un jour, avec de la kiné j’arriverais à remarcher, mais j’en ai pas le courage. J’ai perdu toute joie de vivre au moment même ou j’suis rentrée dans son appartement. Je ne parle plus, je ne mange plus, je passe mon temps à pleurée.
Mes parents sont inquiets, je les comprends, mais c’est vraiment au dessus de mes forces de faire semblant que tout vas bien. Mes parents & Aïden était au courrant bien sur pour ma relation avec Émir, mais il ne savent pas que c’est lui la cause de cet accident : Bah oui, si je n’aurais rien découvert je n’aurais pas pris cette foutu route, je ne serait pas ici aujourd’hui. Peut être que je suis dur mais il ne mérite aucune pitié : C’est lui et lui seul le responsable.
Je n’en veux même pas au conducteur du camion, car ce n’est pas sa faute si ces freins ont lacher. Suite à sa il à perdu le contrôle de son véhicule et le camion à traversé la route en travers pour finir dans ma voiture.
Je ne suis pas tomber dans le coma, non la vie à voulu que je souffre un peu plus.
Le médecin entre dans ma chambre, le sourire au lèvre. Je le regarde 30 secondes puis tourne la tête vers la fenêtre.
- Médecin : Nous avons d’excellent résultat pour vos derniers examens.
- Maman : Sa veut dire que ?
- Médecin : Oui madame, votre fille retrouvera l’usage de ces jambes.
- Papa : Mais c’est magnifique !
- Médecin : Avec plein de courage, et de persévérance vous allez y arriver mademoiselle ****. Pour cela je vais vous présenté votre kiné a titré. Dalil peut tu venir s’il te plais.
Ma tête toujours tournée j’entend des bruits de pas entrée dans la chambre. Sa me rappelle à quel point j’aurais préféré mourir plutôt que retrouver l’usage de mes jambes.
- Médecin : C’est mon fils, et pour une jeune femme aussi charmante je voulais que mon fils s’en occupe.
- Le fameux Dalil : Bonjour madame, monsieur.
- Papa : Enchanté mon garçon. Eïlleen dit bonjour s’il te plais.
Je lève simplement la main, en signe de bonjour, toujours en gardant ma tête vers la fenêtre.