« L’amour au delà du handicape »
CINQUIEME PARTIE. « Chaque blessure laisse une cicatrice et chaque cicatrice raconte une histoire. Une histoire qui dit : j’ai survécu ».
- Moi : Je les rencontré il y à bientôt 3 ans, mais sa faisait seulement moins d’un an qu’on était ensemble. Il habite Marseille, et moi Paris. Je les rencontré lors d’un manège à sensation. Moi j’avais peur, lui était très détendu, et pendant tout le manège il ma parler, il ma fait rigoler. Puis un jour il ma demander de venir chez lui à Marseille car il voulais me parler : Il voulais qu’on se pose ensemble. Pendant ces quelques mois j’ai été la femme la plus heureuse de toute ma vie, mais malheureusement le bonheur n’a pas duré. Je suis arrivé un jour chez lui pour lui faire une surprise, et je les vu, dans les bras de cet femme .. C’Est-ce même jour ou l’accident à eu lieu. J’aurais préféré mourir que d’être ici.
- Dalil : Ne dit pas sa, ta de la chance d’être en vie. Non sérieux j’aurais tout fait à l’époque pour l’avoir une dernière fois dans mes bras …
- Moi : toi-même tu dit que c’était une garce.
- Dalil : Un garce dont j’était fou amoureux. Mais c’est la vie. Aujourd’hui j’suis la, j’attend le grand amour krkrk. Et, peut être que c’est toi krkrkrkr
Je sourie seulement. Je ne pourrais remplacer Émir pour le moment. Même si je sais qu’il dit sa sur le ton de la rigolade.
- Dalil : je préfère voir se sourire sur t’es lèvre princesse. Aller on continue.
E regarde à droite à gauche, je suis fasciné par son talent. Il m’explique chaque peinture, chaque instant passer avec la personne représenté.
- Dalil : Et t’imagine je te prend comme muse ?
- Moi : Je ne serais pas un beau modèle.
- Dalil : Et pourquoi sa ?
- Moi : regarde moi, je suis défigurée, je suis détruite.
- Dalil : même avec toute ces marques, tu reste magnifique.
Il baisse la tête. Je me sens bien avec lui, il arrive à me changer les idées.
- Moi : Ont pourra essayer, le jour ou je serait plus en fauteuil ….
- Dalil : Non.
Je baisse la tête à mon tour, déçu de sa réponse.
- Dalil : je te veux la, avec ce fauteuil. Je veut te représenté telle que tu es aujourd’hui, et non celle que tu étais avant.
- Moi : Je ….
- Dalil : allez on y va. C’est décidé, on fera sa ! Ouais, cette semaine.
Je ne répondit pas, je garde la tête baisser.
Il me ramène dans ma chambre d’hôpital, m’installe sur le lit puis embrasse le front.
- Dalil : Aller repose toi princesse, je revient dans la soirée. Ils vont m’installer un lit à coté du tien.
- Moi : Pourquoi tu fais tout sa ? T’es pas obliger tu sais ? Je sais que j’suis u n poids avec ce fauteuil.
- Dalil: Parce que j’en ai envie, et tu as besoin d’être protéger. Aller laisse moi faire d’accord ?