Marseille.

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« L’amour au delà du handicape »

Quatrième PARTIE. « Que sur ton chemin tu trouve suffisamment de bonheur pour rester douce, suffisamment d’épreuve pour devenir forte, suffisamment de peine pour rester humaine et suffisamment d’espoir pour être heureuse ».

- Dalil : Wech pourquoi tu pleure ?

- Moi : je veux pas, je veux pas !

- Dalil : De quoi ?

- Moi: Je veux pas, je veux pas !

- Dalil : Mais de quoi ?

- Moi : Non, je veux pas, je veux pas !

- Dalil : Attend, calme toi, je vais chercher mon père.

Ils reviennent 5 minutes après.

- Dalil : Elle c’est mis à déliré et à dire « Non je veux pas » sans cesse.

- Médecin : Mademoiselle **** Vous allez bien ?

- Moi : Svp je veux pas SVP

- Médecin : Mais de quoi ?

- Moi : Aller à Marseille.

Un blanc c’est installer, ils me regardent avec le l’incompréhension. Ils doivent ce dire mais elle est taré elle !

- Médecin : Ce n’est pas sur ! Aller, séchez vos larmes, Dalil va bien s’occuper de vous.

- Moi : …..

Mes larmes coulent de plus en plus, j’ai peur, je ne veux pas y aller. Qui dit Marseille dit Émir et qui dit Émir dit : Je ne pourrais pas supporter de le voir dans ces bras encore une fois.

- Dalil : Allez, j’appelle l’infirmière pour qu’elle t’aide à t’habiller parce que c’est pas moi qui va le faire un ah ah. Et après je t’emmène visité un musé.

Je le regarde les yeux grand ouvert.

- Dalil : Oui oui mademoiselle, vous avez bien entendu, mon musé ! Ouais j’fait de la peinture, bon c’est pas du Picasso ou du De Vinci mais j’me démerde. Aller fait toi belle.

Il sort de la chambre et une infirmière m’aide à me préparé. 30 minutes plus tard il rentre dans la chambre.

- Dalil : prête pour une chevaucher fantastique ?

Je lui fait oui de la tête. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai vraiment envie d’aller visité son musée, avec lui ….

1 heures de route plus tard nous arrivons dans une sorte d’entrepôt ou est exposer plein de peinture. Je regard tout autour de moi, mais un tableau m’attire. Dalil le voit bien.

- Dalil : Ce tableau la, c’est ma première peinture. C’était la femme que j’aimais. Elle nous à quitté il y à maintenant 5 ans, d’un accident de la route.

Mes larmes n’ont pu empêcher de couler. Il s’accroupie devant moi.

- Dalil : Ne pleure pas princesse, pense à toute les personnes qui aurons pu être à ta place, avoir la chance de survivre, avoir la chance d’un jour pouvoir marché de nouveau. C’est une étape difficile mais c’est la vie n’Est-ce pas ?

- Moi : Je suis désolé.

- Dalil : Le soit pas, c’était une garce. Elle ma tromper avec mon meilleur ami.

Mes larmes roulent sur ma joue, j’éclate en sanglot.

- Dalil : Et, pourquoi tu pleure ?

- Moi : ton histoire est si similaire à la mienne…

L'amour au delà de l'handicape.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant