ses grandes mains se baladaient sur le torse du plus jeune. elles dessinaient ses abdos, suivant les lignes fines déjà tracées sous le t-shirt du chinois.
yuta retira sa clope d'entre ses lèvres, l'écrasant contre le mur blanc se foutant bien du fait qu'il venait de ruiner le papier peint. il posa ses lèvres rosées dans le cou du plus jeune, tâchant sa peau de bleu et de violet, c'était les couleurs préférées de sicheng.
la musique chantait si fort dans l'appartement du voisin.
yuta soupira, et déposa ses lèvres sur une joue du châtain avant de se lever pour fermer la fenêtre.
il se retourna et s'alluma une nouvelle clope, observant son amant se lever pour prendre une autre gorgée de bière dans la bouteille en verre qui patientait sur le sol.
sicheng finit la boisson d'une traite, se saoulant un peu plus, et la reposa sur la table basse près du lit. son t-shirt lui collait à la peau, il mourrait de chaud.
yuta s'approcha du plus jeune, lui retira son haut posa ses lèvres sèches sur celles de son amants, l'embrassant dans un baiser à la fois doux et violent.
la musique changea chez johnny et leur langues entamèrent une dance dans laquelle les amants se perdirent.
l'ivresse causée par la chaleur et l'alcool les rendait fous, ils voulaient rire à en perdre haleine, s'embrasser jusqu'à ce que leurs salives ne fassent plus qu'unes, baiser jusqu'au bout de la nuit et recommencer le lendemain. encore et encore, ils voulaient juste s'enlacer, s'embrasser, s'enculer jusqu'à la fin de leurs jours.
leur échange s'arrêta brutalement et sans même prendre le temps de reprendre son souffle, le plus jeune retira la haut de son amant, laissait découvrir son torse musclé, couvert de suçons de la veille. sicheng sourit à son œuvre.
la cigarette de yuta se retrouva entre les lèvres du plus jeune qui se fit pousser sur le lit.
le brun s'installa sur son amant et sourit à son tour. il alla mordiller son oreille, lui murmurant des mots que seul sicheng put comprendre et il marqua, de nouveau, son amour de traces violacées semblables à celles qu'il avait sur le torse.
sicheng se laissa faire, fumant à s'en détruire les poumons puis il en eu marre, il utilisa toute la force qui lui restait pour retourner son amant et se positionner sur son corps.
il défit la boucle de sa ceinture et les deux amants commencèrent à rire à en perdre haleine, à s'embrasser jusqu'à ce que leurs salives ne fassent plus qu'unes. et ils baisèrent jusqu'au bout de la nuit.
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