Ghost of tale ( En Pause En Attendant L Inspiration )

Terre Natale

Il était une fois, ou jamais aucune étoile n'embellit de son mystérieux scintillement poétique cet univers et les chauds rayons porteur de vie du soleil n'y parviennent pas. Nous sommes en outreteterre, le domaine secret situé sous la surface grouillante des royaumes de Fiara. Ici un plafond de roche de pierre froide, tient lieu de ciel, et les torches des malheureux égaré venues de la surface n'éclairent que les parois ou s'étale le vide gris de la mort. Ce n'est pas le monde de la lumière,

rare sont ceux qui, entré en ce lieu sans invitation en reviennent un jour !
C'est dans l une de ces caverne, large comme un ciel étoilé, était bâti menzoberran, témoignage monumental de la grâce prodigieuse et souvent mortelle des elfes noirs. Ils règnent sur ce monde anarchique, les drows, les plus dangereux de tous, et les autres peuples prennent garde à leur approche !

Même la grande beauté d'un elfes noir devient moins fascinante quand il vous menace de la pointe de son épée. Les drows survivent ici, en outreteterre, dans la vallée de la mort une terre de cauchemars indicible.

C'est dans menzoberran que vie le jour, l un des elfe qui compta les personnages les plus géniaux malgré lui, c est son histoire qu il agit de conter ici.
C'est dans un marché que vit le jour, rizzen dans l un des camps d esclavage ou la pauvreté, s'y tassait comme des rats chargés de puces. Dans un étal de roroths, une créature semblable aux chèvre, qui donnait un lait riche, et leur viande grasse comme un bison.

La mère de rizzen, quand les douleurs lui virent, était debout derrière son étal de roroths, était en train de vider un roroths, prétendument vide il y a quelques heures, elle avait mal dans tout le milieu du corps, et la douleur la tuait à toutes sensibilités extérieures. Elle n avait qu une envie, c est que cette douleur cessât, elle voulait s acquitter le plus vite possible de cet enfantement. C'étaient cinquièmes. Tout les autres avait eu lieu derrière cet étal, et à tout les coup, ça avait été un enfant mort-né, ou à peu prêt, car cette chair sanguinolente qui sortait ne se distinguait guère des déchet de viande qui gisait au sol, et en vivait d ailleurs davantage, et le soir venu tout cela était balayé pèle mêle et partait dans les carriole vers le cimtiere ou vers le fleuve d acide.

C est ce qui allait se passer une fois de plus, et la mère de rizzen était encore une jeune femme. Qui faisait vingt-cinq ans tout juste, qui était tout à fait jolie, et espérait vivre longtemps, peut être se marier un jour, et avoir de vrai enfants en étant respectable, épouse d'un haut gradé. La mère de rizzen voulait que cela se finisse au plus vite, et lorsque les douleurs se précisèrent, elle s'accroupit et accoucha sous son étal, tout comme les autres fois, et trancha le cordon avec son couteau à viande.
Elle tourna de l œil et bascula sur le côté, pâle comme un linge. On accourt, les badauds font cercle, on va chercher les autorités.

La femme est toujours là, couchée par terre, le couteau à la main, elle revenait lentement à elle. Ont demande ce qui s est passé " rien " qu est ce qu elle fait avec ce couteau " rien " et qu est ce que c est le sang sur ses jupes. " C est le sang des bêtes " elle se lève et jette son couteau et s en va, pour aller se laver.

Mais voilà que, contre tout attente, la chose sous l'étal se met à crier. On va y voir, et sous un essaim de mouches, au milieu des entrailles de roroths, on découvre le nouveau-né. On le dégage. Elle n avait qu une envie, c est que cette douleur cessât, elle voulait s acquitter le plus vite possible de cet enfantement. Et comme elle ne fait aucune difficulté, à avouer qu'elle aurait sûrement laissé crever le marmot, comme le reste des quatre précédent, on l'a traduit en justice, on la condamne pour infanticide réitérer et quelques semaines, plus tard, ont lui coupe la tête sur la place publique.