𝑻𝒉𝒆 𝑨𝒘𝒂𝒌𝒆𝒏𝒊𝒏𝒈
Ashley, de son dernier nom attribué, est une adolescente de 17 ans. Elle vit une vie au jour le jour avec sa mère en Colombie. Sa vie lui plaisait, ce n'était pas toujours rose mais elle l'aimait cette vie... Mais elle se r...
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KaylaLionz
— Mademoiselle King ? Mademoiselle King ?
Des appels incessants m'atteignent. Le paysage s'était figé. Nous nous sommes arrêté.
Je lève les yeux de la vitre pour les poser sur le conducteur.
— Nous sommes arrivés, Mademoiselle King. Me prévient le chauffeur.
Il m'adresse un large sourire avant de sortir rapidement de la voiture. De la vitre du côté conducteur, je peux apercevoir qu'une partie de la maison. Le bruit de ma portière me prends par surprise. Monsieur Carter, le conducteur, venait d'ouvrir la portière.
Je sors du véhicule sans oublier de le remercier. Une fois sortie, mon regard se porte une nouvelle fois sur la bâtisse qui n'était pas qu'une simple maison. C'était une très grande maison. Une villa.
On trouve face à la voiture, une immense porte de garage vitrée où on pouvait y voir une voiture. À la droite de ce garage, deux mêmes garages avec sans doutes d'autres voitures.
— Monsieur King et sa famille viennent tout juste d'aménager.
Je continue de regarder autour. La propriété était entourée d'arbres et protégée par une assez haute barrière en fer forgé, de ce que j'ai pu voir en chemin.
L'allée frontale de la maison était en granite gris clair bordée par des luminaires au sol. Elle est bordée de magnifique chemin de fleures. Et même à cette distance on pouvait entendre le son harmonieux de la fontaine nouvelle.
Une légère brise souleva mes longs cheveux noir charbon. Les odeurs apaisantes de l'atmosphère m'envoya ailleurs. Un endroit inconnu où tout était calme, sans agitation, sans problème.
— La propriété est assez loin du trafic et est d'une distance correcte jusqu'au centre-ville, école et tout autre service.
Mes yeux se rouvrent. Je réarrange mes cheveux raides et me retourne vers Mr. Carter. Il me regardait avec toujours ce sourire accueillant avec mon unique petit sac à dos qu'il portait soigneusement de ses deux mains.
— Permettez que je vous ouvre la voie. Dit-il après s'être légèrement incliné. Il se met en marche.
Nous avons pris une allée qui longeait la maison et qui était bordée par de basses azalées principalement bleues.
Nous arrivons après deux minutes sur une place spacieuse en face de l'entrée principale. La maison étant surélevée, nous avons dû monter sept marches précisément.
Le porche, principalement boisé, était très chaleureusement décoré. Mais mon intention était porté par cette immense porte en verre et ces deux hautes fenêtres sur le côté. Cette porte était non seulement grande mais très imposante. Je vois du coin de l'œil l'homme très polis qui avait l'air très heureux en voyant mon « émerveillement ».