En écrivant cette nouvelle, je souhaitais traiter des violence faites aux femmes (le nombre de femmes qui au cours d'une année sont victimes de violences physique et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime est estimé à 219 000 !)*
J'ai nommé le personnage féminin Élisabeth, en faisant référence à Élisabeth Bousquet. Élisabeth Bousquet a été tuée et torturée par Hamida Djandoubi, le dernier condamné à mort français (guillotiné à Marseille, le 10 septembre 1977).
Je voulais ainsi lui rendre hommage, ainsi qu'à toutes les femmes victimes de violences. Dans mon histoire, je retourne la situation en lui offrant un rôle de bourreau façon Girl power sanglante ! Le personnage masculin se nomme Jean DOUBI (référence à Djandoubi) et sa mort a lieu exactement 100 ans après son exécution.
Enfin, dernière anecdote, Bi7RE (le nom de la nouvelle forme de centre pénitencier cérébral) fait référence à Bicêtre. Bicêtre est un ancien domaine français sur lequel fut construit un hôpital, un asile d'aliénés et surtout une prison. Bicêtre est aussi le décor de la nouvelle de Victor Hugo, le Dernier Jour d'un condamné.
La boucle est bouclée...
Enfin presque. De cercle en cercle est aussi le nom d'un album de rock français du groupe Mass Hysteria que j'ai beaucoup écouté en écrivant cette histoire. Je trouvais que le titre était plutôt adapté à mon récit avec ce concept de cycle infernal.
J'espère que cette histoire vous aura plu et que j'aurais réussi à vous surprendre avec la chute.
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Au plaisir de vous lire :-)
* Chiffres sur https://stop-violences-femmes.gouv.fr/les-chiffres-de-reference-sur-les.html
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De Cercle en cercle
Mystery / Thriller« Ce cri atroce, était-ce le mien ou celui d'un autre ? » Cette question hante Jean, assis en sueur au milieu de son lit. Plutôt que de se laisser envahir par la panique, il préfère se réfugier dans l'hypothèse réconfortante d'un cauchemar déjà ou...