Le monde imaginaire de Céline

Chapitre 5

Céline s'observait un cours instant. Elle se sentait... Fort bien. Elle regardait la créature qui semblait énervée. (On va danser !) Céline fut surprise par cette voix dans sa... Tête ? Mais elle est dans sa tête... Ça n'a pas de sens ! (Tu es qui toi ? Pas le temps ! Esquive !) La créature se penchait avec ses crochets vers Céline, comme pour l'attraper ou la manger. (Ah non !) Céline fit un bond en arrière, comme par réflexe. (Hein ? Pose pas de question ! Bat toi !) LA créature pousuivait Céline en essayant de l'attraper. Céline s'envola et donna un coup de faux sur une tête de bébé qu'elle pouvait atteindre. Ce qui fit faire un crie à la créature, mais elle continuait d'essayer d'attraper la jeune fille. (Attend tu me donne des ordres ? Je dois surtout gérer que tu me laisse pas totalement m'en occuper ! Alors tu reste au placard ! Puisque moi, j'ai du travail !) L'arme de Céline prit d'un coup une aura très sombre, elle eu un sourire malsain, et les yeux emplis d'une envie de meurtre. Elle avait une voix plus grave, semblant être folle, elle avait de la fumée noir qui sortait de sa bouche. 

« On a mal ma pauvre ? J'ai rien sentis moi~! » Elle redonnait des coups dans d'autres têtes, faisant hurler la créature, qui rentre ses crochets. « Un soucis ma petite ? » Des cannons énorme sortir. « Oups... »

Elle se mit à esquiver les balles qui faisait la taille de son torse. (Facile ! Bordel arrête ! Ne t'inquiète pas ma chère, ell est doué quand il s'agit de risquer ça peau --"... Mais vous êtes qui ?? Je suis le séraphin en toi et elle...) Elle esquivait les balles. (Nanan-ère ! C'est ta princesse démone...  Attend, toi qui à une voix hyper doux, calme et féminine t'es un homme et elle c'est un nana alors qu'elle à la voix d'un fumeur ? Bah, la voix n'est pas lié à qui ont est.  Pas faux...)  La créature semblait ne plus avoir d'énergie, un énorme cœur de biche sortait au dessus de ses cannons. (Ah ! Enfin !) Elle donnait un gros coup de faux dans le cœur, le tranchant en deux. La créature s'effondrait et avait l'air de fondre. Céline reprit son air normal et sa faux n'avait plus cette air aussi sombre. 

« Bon... Du coup je vais devoir m'occupé de tout ça? » L'écureuil qui avait réapparu lui répondait. 

« Oui, même si pour l'instant tu n'as pas besoin d'autre chose que ta faux de la mort. Même si te vas devoir utilisé le temps à ton avantage. » Céline regardait l'écureuil d'un air surpris. « Quoi ? C'est à toi d'apprendre à faire en sorte que le temps t'obéisse~. » 

Céline eu un soupir et avançait vers la zone des fleurs. Espérant trouver sa sœur ou son frère. Elle arrivait là où devait se trouver les fleurs. Elles étaient toutes avec des couleur qui semblait délavées.. Leur odeur étaient plus proche d'un être en décomposition que de la belle fleur. Céline était un peu écœurée, mais elle avait connue pire en odeur. Elle cherchait son frère et sa sœur. (Où sont-ils ? Tu les trouveras pas à mon avis... Je conseillerais de faire attention à où tu marche.) Céline soupirait. Elle avança et senti qu'il n'y avait pas de sol, mais un peu trop tard. (Ah non !) Céline s'envolait et se posait à l'extérieur du par terre de fleur. (Je vois... Va falloir voler au dessus de tout ça. Je le sens mal... Soit pas pessimiste ! Aller fonce ma p'tiote !) 

Céline s'envolait au dessus du parterre de fleurs, qui semblait s'étendre sur des kilomètres, tout l'horizon était fait de ce parterre de fleurs. Céline avançait au dessus de parterre, elle sentie comme un changement dans l'air. L'odeur était comme atroce, il y avait en plus de l'odeur de cadavre, un odeur purulente, rebutante, très forte. Elle remarquait qu'il y avait une sorte de gaz de couleur vert perroquet sortant de ce qui rester des fleurs, qui était horrible. Céline voulu s'envolait plus haut mais ne levant la tête elle remarquait qu'il y avait un truc qui n'aller pas. (Pourquoi il y a un bouche géant au dessus de moi ! Faut que j'avance ! On pari combien qu'elle va te suivre ?  C'est trop cool ! Ses mâchoires sont faite en tourbillons! Vas y ! Laisse moi lui défoncé la gueule ! Tu vas te calmer à la fin ?)