Oui, je vous parle à vous.
Celles qui m'ont tellement détruite que je n'arrive pas même pas a imaginer que quelqu'un puisse m'aimer comme il n'a jamais aimé personne.
Celles qui m'ont tellement trahies que j'imagine qu'à chaques moments, mes amis peuvent retourner leurs veste sans aucunes raisons.
Celles qui m'ont tellement insultée verbalement et physiquement que je m'insulte désormais moi-même, et que je me suis déjà griffée tellement fort de rage que j'ai été presque coupée.
Celles qui me rejettent la faute alors que dans l'histoire, je n'ai fait que suivre le courant et que je me suis laissée allé.
Parfois je me faisait mal, et je me disait que je le méritais.
Parfois des gens arrêtaient de me parler, et je pensais que c'était moi le problème.
Parfois... J'était mal, mais elles s'en foutaient.
Leurs vie tellement passionnantes semblable a des dramas, avec leurs "Oppa" et leurs princes charmants qu'elles rencontrent à tout les coins de rues, m'enfoncant encore plus dans ma solitude.
Leurs vies tellement parfaites, avec tout ce qu'elles veulent.
Bien evidemment je ne les enviaient pas,j'en avait juste marre que tout les jours ce soit "moi..." "Moi..." Et encore "moi...".
J'était une suiveuse, un petit chien. Dès que je m'imposait ça parraissait bizarre ("Pourquoi elle parle soudainement, celle-la ?" , "Ah ... Elle était dans ma classe ? Je l'avais pas vue.")
Je me sentais inutile, sans vraie utilitée sur cette Terre, juste vouée à suivre ces filles jusqu'à me mort.
Heureusement que mes amis sont là pour moi, cette année. Je ne saurais comment les remercier, à part d'être là pour eux en retour.
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Le Parallélisme
AcakCela fait désormais plusieurs mois que je n'ai pas écrit, et maintenant plusieurs années que je n'ai pas été sur Wattpad, mais me revoici. Comme on le dit, on renaît toujours de ces cendres. En espérant que cette résurrection ne feras de moi que que...
