Comme Tous Les Matins

Not Happy...Yet

J'en ai marre de vivre.

Chaque seconde que je passe en état de conscience est un supplice.

Je suis mort de l'intérieur.

Ace..

J'arrive pas a vivre sans toi.

J'y arrive tout simplement plus.

Ça me pèse sur le système, pourquoi il a fallu que tu parte..?

J'aurai du crever à ta place.

Je mérite pas de vivre.

Heureusement que luffy est là... Pour me garder en vie.

...

...

Qu'est ce que je fous à parlez tout seul devant cette porte ? Je perd vraiment la tête.

Faudrais peut être que je pense à la réouvrire un jour.

Levé le bras, tendre la main, Décollé mes doigt, sentir cette sueur froide coulée sur mon front, mes oreilles commence à siffler, ma vue deviens flou, ma respiration s'accelaire.Touché la poingné et revenir à la réalité.
Je vais faire un malaise.

Rien que d'imaginer que toute ses affaires soient posées là, depuis des semaines, sans bouger de leurs place.

Et dire qu'il n'y a pas si longtemps que ça, je faisais que des aller retours dans cette chambre.

Et dire qu'il n'y a pas si longtemps je dormais avec quelqu'un dans cette chambre.

Et dire qu'il n'y a pas si longtemps il y avait quelqu'un... Dans cette chambre.

Quelqu'un que j'aimais, quelqu'un pour qui je mourrai d'amour, quelqu'un qui, oui, est aujourd'hui mort.

Je pleure, encore, encore et encore. Mes sanglots résonnent dans la maison, mais heureusement n'atteignent pas les oreilles de luffy, il est sortie.

Ma main qui lâche la poignée de bois, et laisse mon bras retomber le long de mon corps.
Qu'est ce que ace penserait de moi si il me voyait ? Que je suis pathétique. Je t'ai même trompé..

Je regarde mes bras un instant, qu'est ce que j'aimerais le voir dedans, son corps chaud contre le miens me manque tellement. Un sourire né sur mes lèvres malgré que les larmes continue de coulées le long de mes joues.

Je les sèche rapidement et descide d'enfin ouvrir cette porte.
Mes doigt brûlant et moites de stresse s'enroule autour de la poignée que j'agrippe doucement, mon poignée tourne tout aussi lentement et le "clique" que produit la porte m'indique que je ne n'ai qu'à poussé et je reverrais toutes les choses qu'il a vue, touché, entendu et senti... Peut être que son odeur est toujours là dedans.

[pov externe]

Le froid de la pièce le frappa de plein fouait, il failli en tomber. Ça vue ce fit un peu flou avant de devenir tout aussi claire que les rayon de la lune qui passait par les trous des volés fermer donnant une lumière étrangement bleue qui rendait la pièce de toute beauté. Il en avait le souffle coupé.

Ses étagère remplis de livre et de figurine en tout genre, son lit défait comme s'il venait d'en sortir, sa chaise légèrement tourné vers la porte, son bureau où y traînait crayons, feuilles, stylos et cahiers.

Il se décida à faire, avec ses jambes tremblantes, un pas, puis un autre, encore un. Il re-découvrait la chambre de son cher et tendre amant. Il prit entre ses doigt, eux aussi tremblant, un livre. un livre qu'il affectionnait beaucoup. Une pièce de théâtre pour être précis. Elle était bien connus des personnes, qui n'avait jamais entendu parler de Roméo et Juliette ?