Prologue

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Samedi 31 septembre 1989, New Jersey.
Je vous présente Maxime, il a 16 ans, issu d'une famille de bourgeois ses parents l'ont éduqués comme un fils de riche selon des religions chrétiennes.  À eux trois ils forment une famille heureuse,  frères et sœurs solidaires, gentils... Comme tous les garçons de son âge il passait le permis à ses 18 ans : le cadeau d'après le bac . Maxime déteste apprendre ses leçons surtout les panneaux de signalisations. Son père lui avait  déjà familiarisé avec la conduite : il lui avait  déjà laissé sa voiture à plusieurs reprises. Une fois passé le permis, la liberté s'offrirai à lui. Ses  parents refusent de lui acheter  une voiture sous prétexte suis est encore trop jeune. Ce soir là Maxime proposa a sa Petite amie une petit virée en voiture seuls.  La nuit est déjà noire  et une pluie froide d'automne mouille la route. Un automobiliste devant le dépasse "il fais chier celui- là".  Être le seul, premier, devant tous le monde me donnais une envie de supériorité. Maxime le double soit disant parce qu' il roule trop lentement c'est à dire à la vitesse maximale autorisée compte tenu de la petite pluie humififiant la route.
Il s'apprête à freiner quand soudain il perdit le contrôle du véhicule. Une sensation d'impuissance l'envahis . La voiture lui échappe complètement sous l'effet de la glissade quittant la route lentement. Le choc l'immobilisa. Maxime arrive à défaire sa ceinture et a ouvrir la porte a coups de pied. Sous la pluie, s'échappe de la fumée, les phares de la voiture éclairent cette scène surréaliste, on a pas envie d'y croire. Ce qui est bien réel en revanche c'est que je n'ai rien pas une seule égratignure. Ouf il était sauvé, cela le rendait fou de joie. Mais il entends aussi des cris proches. Il voit deux hommes sortir d'une voiture.
- Au secours! Venez m'aidez ! Je suis coincée!!
Des cris résonnèrent de plus en plus fort, il s'avançait tout doucement vers la voiture, quand soudain , reconnus la voix de Sarah.
-   Oh mon dieu ! Tu n'a rien ? Accroche toi à moi je vais te sortir de là. - Aie ma jambe ! Portée par Maxime, elle s'échappa de la voiture, un bruit dernière eux les fit sursauter , dehors, deux hommes armés venaient d'apparaître près d'eux.
- Accroche toi !!!! Vite !!! Ils arrivent!
Il y a une forêt à côté. Il y va sans réfléchir.
- Vous ne vous en sortirez pas vivants ! Vous n'avez aucune chance.
Des bruits de pas résonnèrent.
- Cours !! Ils sont juste derrière!!!
- Je suis désolée Maxime mais je ne peux pas continuer, sauve toi !!
Il entendit un bruit sourd derrière lui , maxime se mis à crier.
- Sarah !!!! Non !!!!
Il n'eut pas eu le temps de se retourner qu'une balle lui transperça le corps.
- Allez, emmène la fille.
- Attache la dans le coffre. On s'en occupera après.
- D'accord chef.
L'homme s'éxécuta,pris un bout de ficelle puis l'attacha au bras de la jeune fille encore sous le choc.
- N'ai pas peur tout va bien se passer lui chuchota t-il à l'oreille.
- Prends cette route, je m'occupe de la fille.
Les deux hommes prirent la direction d'une usine désaffectée. Ils arrivèrent dans une pièce sombre, sans fenêtres laissant une ambiance lourde et immobile, le même genre de silence feutré que quand la musique démarre et qu'aucun des deux partenaires n'osent ouvrir la danse. Elle était meublée d'une table graisseuse et degarnie, de trois chaises de paille manquant chacune un pied.
- Assied toi là, ordonna un des hommes à Sarah en montrant une des chaises au centre de la pièce. Il lui tendit des bouts de cordes.
- Mennote toi.
- Qu'est ce que vous me voulez ? murmura d'une voix calme Sarah.
- Pas de mal, nous voulons juste de l'argent.
- J'en ai pas.
- C'est quoi ça alors?? Il se leva et s'avança vers moi et sortis de sa poche vingt milles dollars.
- Je vous assure que c'est pas à moi !
- C'est ça prend nous pour des idiots, ne me dis pas qu'ils sont tombés du ciel !
- Je vous assure que je n'en sais rien !
Il se leva et la gifla à la joue.
- La prochaine fois que tu me mens, je te jure je te tue.
- Je te le répète encore une fois, donne moi cet argent !!!
- D'accord mais libérez moi d'abord.
- D'accord, d'abord l'argent.
- Tenez.
L'homme se dirigea vers moi et se baissa pour me détacher.
Elle se précipita alors vers la porte de sortie, à toute vitesse pour rester en vie.
- Sale petite garce reviens ici !! Tu va me le payer !!!
Après avoir pris un virage à fond la caisse Sarah aperçut au bout la lueur verte d'une issue de secours.
Tandis qu'elle s'élança vers la liberté, le frisson de la victoire l'électrisa. Elle allait réussir à s'échapper!
La porte ne bougea pas d'un millimètre. Elle étais coincée.
Des bruits résonnèrent
- Tu ne t'en sortira pas.
L'homme pointa son arme sur la tête de Sarah.
Elle s' immobilisa au sol.

The nightmareOù les histoires vivent. Découvrez maintenant