L'esclave Du Passé 🍍 Marco x Oc 🍍[fanfiction abandonnée]

Chapitre 3: Sous le masque de La Renarde

PDV Ace :

Comment pourrais-je faire ? Voilà plusieurs semaines que La Renarde voyageait à nos côtés. Et peut importe l'île sur la quel nous allions et ce nous y fessions, elle trouvait toujours un moyen de fuir avant que j'aille le temps de lui proposer de la visiter avec nous et revenais toujours à la seconde où nous nous apprêtions à partir. Et comme pour ne pas compliquer les choses, elle passait les journées enfermée dans la chambre que je lui avais attribuée vu que c'était la seule femme à bord. Peut importe le nombre de fois où je venais toquer à la porte, cette sale renarde m'ignorait et me snober ! Le pire était que je devinais sans mal au ton malicieux de sa voix qu'elle se foutait de moi. Je donnerais ma main à couper qu'elle accompagne de se ton de voix de peste insupportable un sourire en coin. Ce n'est pas comme si j'avais déjà vu son visage, jamais elle ne quitte son masque. Je me demande bien si quelqu'un a déjà vu son visage. Ho et puis merde ! Je courus jusqu'à sa chambre et donnas un grand coup de pied dans la porte.

Moi impulsif ? Noooon

« La renarde ! Je... heu... »

Dites-moi que je rêve ? Devant moi se tenait une jeune femme ayant sûrement un âge proche du mien, peut-être même un peu plus jeune. Celle-ci avait de longs cheveux châtains s'arrêtant aux reins, les mêmes que ce de la renarde. Seulement il m'était permis de voir un visage cette fois-ci. Alors c'est ça son véritable visage ? De sublimes yeux vairons, marron noisette et bleu ciel. Un visage légèrement arrondi sans l'être trop, lui donnant un côté enfantin. Et pour finir, de mignonnes petites taches de rousseur étaient parsemées sur son nez retrousser. Avant même que je ne puisse reprendre la parole, la châtaine me prit violemment le bras pour me faire une prise de je ne sais quoi, me projetant directement sur le lit. Sans que je ne puisse me redresser, elle ferma la porte et se mit à califourchon sur moi. Ses mains contre mes épaules me plaquaient d'une force... ridiculement faible contre le matelas.

Tant de questions me traversaient l'esprit à son égard, mais par où commencer ?

« Comment peux-tu avoir une prime aussi élevée et être aussi faible ?

-T-tait toi tache de rousseur !

-Toi aussi tu en as.

-Ah oui... bah... alors... tais-toi le pirate !

-Pas très rechercher.

-J't'emmerde !

-Plus de repartis ?

-Mais ! Tais-toi !

-...

-Ne raconte à personne le fait que tu as vu mon visage !

-...

-Compris ?

-...

-Répond idiot !

-Tu m'as dit de me taire, il faudrait savoir. »

Je la vis devenir rouge de colère et sans même que je ne puisse l'arrêter elle me mit une claque.

« Non, mais vraiment comment tu fais pour avoir si peu de force ?

-Il n'y a pas que la force qui compte !

-Tu peux arrêter de crier ? Ta voix par dans les aiguës, c'est insupportable. »

M'attendant à une nouvelle claquent (caresse de chaton) je fermais les yeux. Ce n'est que quand je la sentis descendre de moi que je les rouvris. La vairon c'était décaler pour s'asseoir de l'autre côté du lit, le visage baisser et rouge. Je vais sûrement me répéter, mais comment une fille aussi fibrille peut avoir autant sur sa prime ?