Passé

61 1 0
                                    

La rapidité des jours ne cesse de m'inquiéter car le travaille que je mène chaque jours diminue de plus en plus. Tout l'acharnement que je lutte à mener monte en difficulté. Et la motivation que j'ai pu avoir il y a maintenant deux semaines commence à ce faner et ce décomposer. Mais ce qui me désole d'avantage ce sont les différentes pensées obscures que j'ai pu avoir. Il y a quelque jours de cela l'on ne pouvait trouver en moi qu'une immense motivation. Et l'abandon n'était rien d'autre pour moi qu'une chose inimaginable et non envisageable, mais des jours on passes et plus le temps avance plus mon état d'esprit change.

L'on ne voit les valeurs d'une personne que lorsque qu'elle part. Lors de ça disparition, la protection ainsi que l'amour qu'elle m'a donné ont momentanément laissés une place dans ma vie, une place dont la grandeur est d'une immensité que l'on ne peut visualiser. Aussi tôt qu'une larme suintée sur ma joue, une grande inquiétude régner en ma faveur, cette affection qu'elle me portait constamment se fortifiait de seconde en seconde, ce lien intense qui nous rapprochais énormément. Dix-sept ans à rester à mes côtés ainsi qu'à supporter mes nombreuses bêtises. Je me rend enfin compte de cette amour maternelle qu'elle ne cessait de m'envoyer. De cette souffrance qu'elle subissait !

Quand à lui, il ne me porté que trés peu d'affection, l'on ne s'adressait la parole que très rarement. Il était si froid que j'y passais mes journées à l'éviter, son visage n'avait aucune expressions, son insensibilité était d'une telle frayeur que personne n'osais l'approcher, il dégageait une haura si trouble que les gens qui l'apercevaient en étaient angoissées. Petite, l'envie m'est venu de lui venir en aide mais en vînt, je ne pu que le soutenir, ce soutient qui avec le temps c'est estompé. Car pour moi cette fraternité qui nous liée tant, était plus forte que tout. Il ne se passait pas un jour sans qu'il ne se fasse harceler mais cela n'empêchait qu'aucun enfant n'avait l'envie de l'approcher.

Son regard était d'un sang si glacial, d'un bleu céleste si intense que chaque personne  le regardant en était tourmenté. Malgré la peur que j'éprouvais en son égard, je pouvais persuadé cette bonté qu'il dégageait constamment. Les yeux ne peuvent mentir, les siens me fessait par de sa tristesse ainsi que sa détresse...

Serial MurderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant