Maxime - appartement 5

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Le soleil se lève tranquillement, étirant toute sa lumière sur le plancher poussiéreux couvert de vêtement et de déchet de ma chambre. Lorsque le soleil me toucha, se fut le début d'une autre redondante journée dans la vie de ce majeur et vacciné, gay célibataire et vierge.
Bref, je m'appelle Maxime j'ai dix-huit ans et je ne sais toujours pas quoi faire plus tard, quoique j'aime bien écrire toute sorte d'histoire.
Je me lève, enfile une paire de jeans que j'ai pigé au hasard dans mon tiroir et fais la même chose pour le t-shirt. Dans la salle de bain, je replace mes cheveux blond, me brosse les dents et vérifie en quête d'éventuels envahisseurs facial et je suis déjà prêt en moins de cinq minute.
J'attrape un muffin au vol et sors de l'appartement, le sac à dos à l'épaule en direction de l'étage supérieur. Je cogne trois coup à la porte affichant le 6, puis entre sans attendre de réponse. Sandrine ma meilleure amie était dans la salle de bain en train de brosser ses cheveux emmêlée après sa nuit de sommeil.
Après une dizaine de minutes, elle libéra enfin la salle de bain et on sortit de l'appartement en direction de l'arrêt d'autobus.
Dans l'autobus elle me parle de ses nouveaux mangas et de ses fanfictions et moi je lui parle de mes nouvelles idées d'histoires.
On s'est connus en secondaire trois, tout à commencé dans notre cours de piscine, pendant le temps libre, on se parlait et elle m'a dit qu'elle écrivait des histoires. J'en fut aussitôt intéressé et elle m'a apporté son oeuvre que j'ai lu avec avidité. J'ai tellement fantasmé que le lendemain je suis arrivé à l'école avec quinze pages d'un début de roman avec une idée semblable à la sienne que j'avais écrit la veille même. Elle était évidemment fâchée qu'une personne qu'elle connaissait à peine lui vole son idée. Mais après excuse et débat, elle a finalement acceptée que je collabore avec elle pour ce roman. Depuis on est inséparable, comme des jumeaux avec presque les même goûts, les même passe-temps, mais pas du tout le même objectif de carrière.
Je commence en français avec un prof d'une humeur massacrante qui ne fais que critiquer ses élèves et les traités d'incultes et d'illetrés.
Le temps passe, où le prof s'acharne à faire comprendre à la moitié de la classe les règles de participe passé tandis que l'autre moitié ont la tête ailleurs, soit par foutisme, soit parce qu'ils le savent déjà. Je fais partie de cette dernière catégorie et je texte mon amie et correctrice durant tout ce temps.
A la fin du cour le prof nous donna un devoir, un texte a rédiger de 500 mots.

122 chemin des oublis - Le début de toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant