Solution soluble

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Les courbes des cils de l'indolence,
Ne font guerre de traîtrise à la destiné et sa corpulence.
Alors j'attends sur les volutes du vaisselier de l'aube,
Là, où la rosée et son espoir se dérobent.

À l'aide de la grammaire des spectres tourmenteurs,
Je tente de d'entrevoir le regard phlegmatique de ce malheur,
Que seuls les soleils bleus savent la réponse,
Et je n'arrive pas à sonder cet espoir noyé sous les ronces.

J'arbore les lentilles de l'ennui.
C'est pour cela que plus personne ne cri derrière les flots passé minuit.
Personne ne veut recoudre les scarifications vagabonde.

Alors que même moi, je n'arrive pas à en discerner les ondes,
De ces vagues blondes désormais vermeilles.
N'étant plus qu'une ombre sur l'argentique de la veille.

Vibrations d'outre-lunesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant