EPISODE VII : PRÉJUGÉS

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Kabir : qu'est-ce que tu fais ?
Suari : vous êtes censé m'aider et non posé des questions. Il faut qu'on trouve un moyen de les empêcher.
- qu'est-ce que vous chuchoter là-bas ? Et pourquoi as-tu versé du pétrole partout ?
- tu veux tous nous faire couler où quoi ?
La jeune fille : j'ai fini ma prière madame.
Suari : laisser passer où je me le feu partout ici.
Kabir : Vous n'avez pas entendu à la demoiselle ? Laisser passer !
Prête : personnes ne fera du mal à ces personnes et si vous avez un problème avec le fait que cette pauvre fille pénètre le temps, alors vous n'êtes pas des humains mais monstres. Comment un être peut-il empêcher son prochain de communiquer avec le trait haut. Vous n'êtes pas mieux que cette fille, la seule différence est qu'elle vient d'une famille très pauvre et vous, vous avez des moyens où même riche mais sachez que c'est le même Seigneur Krishna que nous adorons tous.
- mais cependant, il faut être bien vêtu pour pénétrer dans la maison de Dieu.
- vous ne pouvez pas changé la loi.
Prête : ici, c'est avant tout la maison de Dieu et c'est aussi mon temple à moi. Donc je donne accès à toutes personnes de bonne foi de venir prié quand sa leur arrange. Suari, vas-y et raccompagne la petite chez elle.

Après les paroles dit par le prêtre, les gens qui voulaient à battre la petite ont repenser leurs actes et ce sont mis à la place de la petite pour comprendre sa situation et se sentent aussi très mal pour elle. Suari accompagné d'un homme raccompagne la petite fille chez elle.

Suari : comment tu t'appelles ma chérie ?
- Alya..
Suari : moi, c'est Suari et où vis-tu ?
Alya : j'habite à côté du chantier là-bas.
Kabir : Vous avez soif ?
Suari : un peu, oui.
Alya : moi j'ai très faim et soif aussi.

Le téléphone de Kabir sonne et ce dernier décroche à l'appel en chemin en allant vers le marchand qui vend de la nourriture. Suari commence aussi à avoir faim, mais espère déposer Alya chez et rentrer très vite à la maison. Kabir reviens avec de la nourriture emballé dans les sacs et dans un sachet.

Kabir : ça c'est pour toi ma chérie, et tu donneras ça à ta mère aussi.
Alya : merci Mr.
Kabir : appel moi Kabir.
Suari : Je croyais que vous aviez juste soif ?
Kabir : Cet mballage est pour vous. Il contient du pouding et des desserts.
Suari : merci mais ce n'était pas nécessaire.
Alya : nous sommes arrivés. Maman....!

Alya enfin arrivé chez va voir sa mère malade coucher sur la natte. Kabir et Suari était abasourdi de voir l'état de santé de la mère d'Alya. Kabir et Suari s'approche pour salué la femme.

Mère d'Alya : merci de l'avoir raccompagner jusqu'ici. Mais, qui êtes-vous ?
Alya : c'est eux qui m'ont sauvé des griffes de ses horribles personnes. Suari raconte tout ce qui s'est passé jusqu'à ici.
Mère d'Alya : ces gens de la haut classe n'ont vraiment aucune pitié pour les pauvres comme nous.
Suari: je vais rentrer maintenant.
Kabir: oui, moi aussi. Je dois partir !
Mère d'Alya : oh, mais resté boire quelques choses au moins.
Suari: Non, merci. Ça ira.
Kabir: Oui et prenez soin de vous.
Sur ce, Kabir et Suari quitte les lieux.

Mumbai.

Sur le chemin du retour, Sophia faire la rencontre d'un jeune inconnus au nom de Kabir. Ce fut un dispute entre ses deux genres. Sophia revenait du Temple en voiture lorsque la moto de Kabir perd le contrôle et va cogné l'arrière voiture de Sophia. Sophia irrité, descendre de la voiture et commence à se disputer avec le motard.

Sophia : Non mais, vous êtes aveugle ? Vous ne voyez pas où vous roulez où quoi ?
Kabir: Vous n'avez jamais commis d'erreur dans votre vie ?
Sophia : pardon ?
Kabir: Vous êtes sourde ?
Sophia : le seul sourd ici, c'est vous. Des bonnes manières, est-ce que vous la connaissez ?
Kabir: Vous faites une scène pour rien devant tout le monde.
Sophia : c'est votre habitude de créer des ennuis aux femmes hein ?
Kabir: j'aurais bien voulu vous présentez des excuses mais, vue votre arrogance, vous méritez des insultes à la place.
Sophia : il y a certains mère qui désirent avoir un fils, mais à la place, elles reçoivent des malédictions. Apprenez à respecter la femme et vous seriez béni par la femme.

Kabir en colère par la comparaison insultant de Sophia, l'attrape par les bras la serrant fort pour lui faire face.

Kabir: Pour qui vous prenez hein ?
Sophia : lâchez ma main où je vais crié.
Kabir: vous pouvez crié si vous le voulez mais, retenez une chose bien dans la tête, ici est un espace public et si des accidents de circulation vous dérange tant, alors resté enfermé chez vous.
Sophia : lâchez moi, je dis.

Kabir finir par la lâcher et chacun reprennent sa route. Sophia arrive à la maison en colère après sa dispute avec l'inconnu, et viens après Kabir. Mais, que se passe-t-il lorsqu'ils se rendront compte qu'ils devront partager le même toit ?

À suivre.......!

LE DESTIN DES SŒURS JUMELLESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant