Antonia

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Attention : Ce chapitre est j'avoue un peu trash alors attention aux âmes sensibles et bonne lecture.  

Chère journal,

Aujourd'hui ça a été la pire soirée de ma vie. J'étais allé en boite avec des amies pour fêter mon anniversaire. Quand nous nous sommes retrouvées devant cette boite, je ne sentais pas déjà cette soirée. La musique que l'on entendait de dehors, les odeurs d'alcools ou de cigarettes ne m'avaient pas rassurés je l'avoue.

J'avais demandé à changer d'endroit mais les filles avaient envie d'aventure. Et quand une femme veut quelque chose, elle l'a.

Alala,pourquoi les filles sont-elles si têtues de nos jours ?

Lorsque nous étions enfin rentré dans la boite j'avais eu peur. Les regards des hommes sur nous ne faisaient qu'augmenter le malaise chez moi. C'est quoi ses yeux ? Ils croient que les filles sont du bétail ou quoi ?

Les filles avaient couru comme des folles vers le bar, alors que moi j'étais restée en retrait. J'étais en train de faire le tour de la salle des yeux , quand tout à coup. J'avais croisé un regard vert émeraude. J'étais resté quelques secondes figé comme si on m'avais électrocuter. Les joues en feu j'avais bu mon verre cul sec pour me détendre en oubliant que c'était de l'alcool. Mauvaise idée biens sûr, les seules fois où je buvais de l'alcool c'était avec ma familles aux fêtes de noël, donc autant vous dire qu'avec mon «sex on the bitch » je pouvais voir des licornes sur la piste de danse.

Et puis là, la magie de l'alcool fis sont apparition. Et comme possédé,je m'étais levé d'un seul coup pour montrer mes talents de danse à toute la boite. Sauf que le hic c'est que j'en avais jamais fait.

Mais c'est pas possible, je m'imagine en train de danser comme un verre de terre qui se débat. Non mais la honte quoi. Plus jamais une goutte d'alcool.

Un corps sorti de nul part c'était mis à se rapprocher de plus en plus de moi. Je me rappel que j'avais mise toute ma force pour le repousser. Complètement défoncée j'étais partie au toilette en titubant, car bien sûr on ne peut pas boire d'alcool sans avoir envie de faire pipi tout le temps.

Arrivé aux toilettes, j'avais fait appel à toute ma concentration pour ne pas faire pipi à coté. Toute fière de moi, je m'étais ré-habillé en vitesse avec un grand sourire idiot sur le visage. Mais je l'avais tout suite perdu quand j'avais croisé deux billes vertes en train de me fixer entre l'ouverture de la porte. Un frisson d'effroi m'avais envahit.

La porte c'était ouverte avec un grincement digne d'un film d'horreur,et moi en face figé sur place avec l'alcool qui avait ralentit l'information : « Attention attention, danger danger, je répète danger danger ».

Non mais franchement, qu'est-ce qu'il faisait là ? Avoir des beau yeux ne lui permettait quand-même pas de regarder dans les toilettes des filles, si ?

L'homme était entré dans les toilettes avec un sourire sadique qui m'avait fait tombé à la renverse. J'avais crié sous le coup de la peur quand il c'était jeté sur moi.

J'avais vite compris ses intentions quand il avait commencé à me déshabiller.

Il me déchire mes vêtements. Il est violent. J'ai peur. Pourquoi il fait ça ? Il y a plein de p*** dans la boite.

Il me jette contre le mure et va fermer la porte à clé. Avec l'alcool dans le sang je n'arrive qu'à pleurer quand je vois l'homme se déshabiller. Quand il a fini il coince mes mains au-dessus de ma tête et m'embrasse dans le cou. C'est dégelasse. J'ai envie de mourir.

Puis l'instant que je redoutais le plus arriva. Il me pénétra d'un coup violent.

J'ai mal. Je cris mais il met sa main sur ma bouche. Je le mord de toute mes forces mais lui continuait de me donner des coups de hanche.

Non j'aime pas, mais comme toute femmes faible, les yeux vitreux, je m'étais laissé faite violé.

A un moment j'avais compris que c'était la fin car un grognement sourd c'était fait entendre dans la pièce et un liquide chaud c'était rependu dans moi.

Je me rappelle, j'avais éclaté en sanglot. Je me sens sale.

Il m'avait craché dessus et était parti tout fière.

Je ne m'était levé que 1h après et j'avais pris un taxis pour rentrer chez moi sans le dire à mes amies.

Maintenant ça fais 1 mois que je m'étais faite violé. J'avais fait plusieurs tentatives de suicides mais mes parents m'ont faite enfermer dans un hôpital et je suis suivie par un psy qui ne m'aide pas vraiment.Mais grâce à mes amies et à mes parents je sens que j'arriverais à aimer mon corps de nouveau. Je ne sais pas comment font les autres femmes qui se sont faites violer mais j'espère de tout cœur qu'elles trouverons la personne où une passion pour arriver à s'aimer de nouveau.   

Chère journal,Où les histoires vivent. Découvrez maintenant