Partie 18 🌌

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Elle gémit, se tortille, elle attrape les draps, elle se met a tremblé, puis elle crie de plaisir. Bah voilà ce que je voulais...

XVIII.

Dans la peau de Ahlam

Je me réveille doucement, j'ai du mal réaliser tous ce qu'il c'est passer hier soir. J'ai offert a cette homme ce que j'avais de plus précieux.
Je suis perdu dans mes pensées entrain de me remémorer la chaude soirée qu'on a passer.

Baasim: Bébé tu dors ?
Ahlam: Non je viens tout juste de me réveiller.
Baasim: Bien dormis madame Ben Rasdad ?
Ahlam: Oui merci et toi ?
Baasim: Merveilleusement bien.
Ahlam: On va déjeuner ?
Baasim: J'ai juste envie de te manger.
Ahlam: Arrête ça.

On c'est levé, on aller quitter la chambre. Quand Baasim m'a dit.

Baasim: Ahlam.
Ahlam: Oui ?
Baasim: Ton drap, tu en fait quoi ?
Ahlam: Je m'en occupe monte je te rejoins.

Je me suis approché du lit et je me suis mise a sourire. Tous ce remue ménage pour ça ! J'ai plié le drap tant attendu par ma mère et l'ai rangé dans l'une de mes valises. J'ai rejoint mon mari sur l'une des terrasses, ou le petit déjeuner est dressé.

Baasim: J'arrive pas a croire qu'une femme comme toi était encore vierge a ton age !
Ahlam: Ah oui et pourquoi ?
Baasim : Juste en te regardant, ta façon de voir la vie, ta manière de t'habiller, on ne peut qu'imaginer le contraire. J'ai étais vraiment surpris !
Ahlam: Et tu t'ai marié avec moi quand même ?
Baasim: Déjà c'est mon père qui t'ai choisi donc je n'avais pas vraiment eu le choix. Mais si je l'avais eu, soit sur d'une chose c'est que je t'aurais épousé quand même.
Ahlam: Même si je n'avais plus était * il me coupe avant que je finisse ma phrase *.
Baasim: Tu ne le sais pas, mais des que mes yeux ce sont posés sur toi lors de notre première rencontre. Je suis tombé fou amoureux de toi. Et puis le passé c'est le passé, faut vivre avec le présent, on est en 2018 c'est devenu très rare.
Ahlam: Le fils de l'émir est très dévergondé.
Baasim: J'aurais aimé n'avoir qu'une femme, ne jamais faire de mal a personne mais les traditions !
Ahlam: Sacré tradition !

Après ce petit déjeuner, nous avons décidé d'aller ne balader dans une petite ville côtière de la République dominicaine. Une fois le centre ville visiter, nous sommes passés par l'un des marché local. Nous avons dégusté toute sorte de met. Nous avons longuement cherché une piscine privée de standing pour qu'on puisse en profiter le reste de la journée.
Apres le repas j'ai décidé d'aller me changer pour enfiler un maillot de bain, et pouvoir aller me baigner. Puis nous avons une belle sieste, au soleil.

On profite de cette sortie sur terre qui sera d'ailleurs la seule de notre lune de miel, on patauge dans la piscine, on se balade le long de la plage et surtout on rigole bien

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On profite de cette sortie sur terre qui sera d'ailleurs la seule de notre lune de miel, on patauge dans la piscine, on se balade le long de la plage et surtout on rigole bien. Baasim s'ouvre a moi, chaque jours de plus en plus. Cette homme est merveilleux, aussi bien physiquement et mentalement.

[...]

Voilà quelques jours que nous sommes sur le yatch. Nous rentrons demain, pour Dubaï. J'essaie de ne pas penser a mon retour, car je sais que Baasim devra me quitter pour sa dernière lune de miel. Si seulement tous pouvais être différent, si seulement mes parents ne m'avait pas imposé cette situation.

Nous sommes entrain de bronzer tranquillement sur le yatch, bras dessus bras dessous, nous sommes comme deux aimants.  Ses mains se baladent sur mon corps et les miennes sur le siennes, on est incontrôlable.

Dans la peau de Soraya.

On est a la maison entrain de regarder un film, quand Kayna rentre avec plein de magazine dans les mains.

Kayna : Voilà a quoi il faut s'attendre avec Ahlam ! Je vous avez prévenu elle ne joue pas dans la même cours que nous !
Soraya : Montre.

Oh mon Dieu, je n'étais pas prête pour ce genre de photos. Je m'attendais a tous sauf a ça ! Karima saisie également un magazine et observe les unes de couvertures avec stupeurs.

Karima : Ils faut les prévenir !
Kayna : Mais non ils rentrent demain pas besoin.
Soraya : Il faut prévenir Baasim.

Je prend mon portable et lui téléphone. Il ne répond pas. J'appelle maintenant Ahlam, qui ne répond pas non plus.

Dans la peau de Ahlam.

Voila au moins deux jours que mon iPhone est éteint. Ça m'a fait le plus grand bien, je ne serais dire la dernière fois que mon portable a était éteint plus de dix minutes. Depuis mes débuts sur Instagram, mon portable me film dans mes moindre faits et geste. Je suis payé pour ça et les gens n'attendent que ça. Depuis mon mariage avec le fils de l'émir mes follows on encore pris plus d'ampleur. A peine rallumer qu'il se met a sonner et ne s'arrête plus de me notifier des notifications.

Baasim: On dirait le président des États Unis !
Ahlam: Je ne l'éteint jamais !

Je n'ai pas le temps de consulter quoi que se soit que je reçois déjà un appel.

Ahlam: Allo
Soraya: Ahlam ça va ?
Ahlam: Oui merci tu veux parler a Baasim ?
Soraya: Non, non c'est a toi que je veux parlerai ! Tu a vu les actualités ?
Ahlam: Non que ce passe t'il ?
Soraya: Je suis gêné de te l'apprendre mais vaut mieux que tu le sache avant de retrouver la terre ferme.
Ahlam: Tu m'inquiète, tous le monde va bien ? Mes parents vont bien ?

Baasim me prend mon portable des mains et met le haut parleurs.

Soraya: Tous le monde va bien, ne t'inquiète pas. C'est juste que Baasim est toi vous faite la unes de tous les magazines du monde.
Ahlam: Ahhhh, ce n'est que ça !
Soraya: Ahlam on t'y voit à moitié nue !
Ahlam: Oh mon Dieu.
Baasim: Les chiens !
Soraya: Je suis désolé...
Baasim: Soraya on vous rappel plus tard, merci pour ton appel.

J'ai foncé sur le moteur de recherche et j'ai tapé mon nom, il y a énormément de photos de nous deux. De notre premier jours sur le yatch, de moi les seins nu, de moi entrain détaler de l'huile sur Baasim.

Dans la peau de Baasim.

Ahlam est déchiré, sur ses joues coulent des larmes.

Baasim: Ne pleure pas !
Ahlam: Comment nous ont il trouvé ?
Baasim: Ils sont partout et du coup même au milieux de l'océan.
Ahlam: Je n'ai jamais eu a faire a ça moi. J'ai une famille, un pere, ils sont malade !
Baasim: Ahlam, je suis désolé.
Ahlam: C'est de ma faute et pas de la tienne.
Baasim: Demain y passeront a autres choses t'inquiète.
Ahlam: Et mon père ? Il va passer a autre chose ? Il va me voir entrain de me faire bouffer les seins du regard, à califourchon sur un mec.
Baasim: Je suis pas un mec, je suis ton mari. Ne t'en fais pas je m'occupe de tous.

Le téléphone de Ahlam ce remis à sonner.

Ahlam: Oh putain c'est ma mère qui apelle. Ohh non non .. Je fais quoi ?
Baasim: répond !
Ahlam: ...

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Cette partie a était supprimé par la plateforme, surement a cause des photos ou autres. Alors j'ai du la réécrire. Vous vous doutez bien qu'elle n'est pas à l'identique, mais elle s'en rapproche. Désolé !

Quatre Femmes Pour Un Seul Homme.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant