Dans le cœur d'un PSYCHOPATHE

8.l'Université

Bon je me lève et prend une douche froide je règle mon réveil matin à 7h00 je veux surtout pas être en retard le premier jour.

Quand j'y pense demain c'est la rentré...

L'enfer recommence, la joie des cours pour d'autre, pour les profs le bonheur de torturer leurs élèves et enfin pour les bad boy la joie de se taper toute les nouvelles meuf qu'ils auront et faire chier les gens à longueur de journée.
Et pour les flemmardes comme moi toute une bataille avant de ce réveiller le matin. Pff en bref welcome aux emmerdes.

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Les rayons de soleil me caresse le visage, un léger vent frais matinale souffle sur ma joue je souris puis me lève en baillant, je prend le temps de m'étirée avant de me mettre sur pied.

Quand j'y pense le réveil à sonner et je me suis pas réveiller tellement j'étais fatigué pff. Je prend mon phone je l'allume et reste figer la bouche ouverte j'arrive pas à le croire.

Reviens sur terre chérie c'est pas le moment de rêver.

Il est 07h50 j'suis foutue sérieux et dire que je voulais pas être en retard le premier jour beeh je peux toujours rêver sur ce coups là.

Je me précipite dans la douche prend une douche froide et ressort de la salle de bain en catastrophe, je met les premier fringues que j'ai sous la main ( un jean noir, un pull rouge-blanc, et des baskets blanche) j'ai pas vraiment le temps de m'arranger mes cheveux qui était dans un état plus que lamentable d'ailleurs alors je les cache en mettant une casquette noir qui a pour marque Nike tout comme mes baskets.

Eh bien sûr j'ai toujours le temps pour mettre un peu de mascara et de gloss à lèvres.
Avant de filer en toute vitesse vers la porte.

Je sors je ferme à clé puis décampe en vitesse.

Euh... Dommage que j'ai pas ma voiture ici sinon je serai pas obligée de courir dans les rue comme une folle pff.

Toujours entrain de courir je bouscule accidentellement quelqu'un où plutôt c'est lui qui me bouscule enfin on sait bousculer. En une fraction de seconde je me retrouve les fesses collés à terre me faisant vraiment mal je gémis de douleur.

Oh super il manquait plus que sa non seulement j'suis en retard et il fallait vraiment qu'il débarque comme par magie pour me rentré dedans.

-Oh désolé. Dit-il timidement.

Je relève la tête et regarde cet inconnu plutôt mignon oh c'est un intello, je sais mais j'ai l'impression de l'avoir déjà vue quelque part.

-Vraiment désolé. Dit-il en me tendant la main.

-Non c'est bon. Dis-je.

Je me relève et puis continue ma course.

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J'étais enfin arrivé à l'Université il y'avait presque personne dans les alentours on entendait seulement quelque bruit de mes chaussures vue que je courais dans les couloirs.