CHAPITRE 1

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Affreusement glacial. Voilà le mot qui apparaissait devant mon nom. J'étais le genre de personne froide, renfermée qui ne se mélange pas et qui vit sa vie de son côté. Et croyez-moi, j'étais loin d'être une de ces filles parfaite, super douce et sensible.

Ni sociable, ni accueillante ou ouverte au monde. J'étais tout le temps désagréable, je recalais tout le temps tout le monde. On m'a même dit que je faisais peur et que j'étais inapprochable.

Tout ce que tout le monde déteste. J'étais donc ce genre de personne que personne ne veut approcher. Et je le vivais bien. Je n'avais pas choisi d'être glaciale, je l'avais toujours étais. Depuis ma naissance même, donc depuis toujours. Je ne m'étais jamais au grand jamais entendu avec les êtres humains en étant moi-même un.

Je ne rentrais pas non plus dans les codes. Les filles de cette génération se ressemblaient toutes, étaient toutes fines avec des cheveux claires et des vêtements chic et élégant. Elle avait des routines de vie joyeuse, un trou dans leurs oreilles aussi et elles étaient sociable à des exceptions près bien sûr ne généralisons pas. Et moi j'étais là, avec mes douze trous dans les oreilles et avec tous mes autres piercings un peu bizarre qui sortent de l'ordinaire.

Je frôlais le gotique. C'était un fait et plus que réel. J'aimais les vêtements larges, très large comparé à la mode de maintenant qui était de porter des vêtements près du corps et de tant en tant court. Je n'aimais pas porter des talons, pas à cause de la hauteur non j'aimais ça la hauteur. La plupart de mes chaussures étaient avec plateformes c'était plutôt une question de goûts.

Mes cheveux étaient noirs corbeau et mon visage lui constamment fermé, sans émotions voir neutre. Tout le temps neutre à vrai dire. Au finale, physiquement et visuellement je ne rentrais dans aucun code.

Dans mes vingt ans d'existence je ne m'étais jamais attachée à quelqu'un et je n'avais jamais eu vraiment d'amis. À part Nina, ma seule amie depuis mes années de collège.

Nous étions opposées, affreusement opposées et souvent les gens avaient du mal à se faire l'idée que nous étions amis. Elle était belle, gracieuse et à la fois grotesque et odieuse. Elle avait un style vestimentaire raffinée et était joyeuse. Beaucoup trop pour moi parfois, et ce qui nous différencie au-delà du physique et du style c'était son entourage.

Elle avait toujours était d'ôté d'une capacité à s'entendre avec les autre incroyable. Elle avait un grand cercle d'amis dont moi et s'entendait bien avec tout le monde. C'était un rayon de soleil parmi tant d'autre dans ce monde.

La seule chose un minimum normal chez moi c'était mes études. J'étudiais à l'université de Kyung Hee à Séoul. En première année de médecine pour devenir psychologue. J'ai donc étais acceptée dans cette grande école prestigieuse et au début de l'année scolaire j'ai pris un train d'Incheon à Séoul pour y habiter afin de démarrer mes études.

Ma première année devait se passer en médecine et plus tard d'après mes recherches je pourrais partir dans la branche que je veux. C'était une grande université avec de nombreux choix. Elle avait comme voisine plusieurs complexes et plusieurs grandes écoles qui se démarquaient tous par leurs talentueux élèves.

J'ai eu beaucoup de mal à m'habituer à ce nouveau style de vie. À ces rues toutes animées le soir et à tout ce bruit moi qui étais habituée au calme et au silence. Généralement les étudiants qui venaient vivre à Séoul pour leurs études favorisaient les appartements d'étudiants, les collocations ou même les dortoirs.

J'ai préféré vivre très clairement dans un petit immeuble ou la plupart des habitants étaient des personnes assez âgée. Et je m'en sortais pas mal entre ma bourse et mon travail.

J'avais donc un appartement à une demi-heure de mon université dans un cartier vraiment silencieux.

Une résidence dans l'ensemble vraiment calme et je m'y sentais bien. Mon appartement avait était transformé à ma guise et j'en avais fait un cocon dans lequel je me sentais à l'aise. Je m'habituais petit à petit à cette nouvelle vie qui me convenait.

Personne ne me dérangeait et je ne dérangeais personne. Et c'est ainsi qu'à la moitié du semestre ma routine telle qu'elle la toujours était se déroulait en continu. À une exception près.

La vie avait fait que ma seule et unique amis soit une débouchée de la vie et une énorme fêtarde. Mais surtout elle avait le crane dur. Et pour elle je ne sortais pas assez, et je ne 'm'aérais pas assez le crane' comme elle me le répétait tous les jours.

Elle forçait donc tous les jours pour que je l'accompagne à ces soirées ou toutes les personnes célibataires se regroupent. Des sortes de soirée animées avec des groupes d'amis qui font connaissance. Et j'allais donc céder et accepter d'aller demain à une soirée de ce genre.

Donc j'allais rencontrer dans cette soirée la débauche en personne. Mon contraire que j'allais surement détester.

INEXORABLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant