mais VOILÀ

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- Ecoute, soufflé-je à Domingo, tu es d'accord que mon poulet est quand même très bon ?

- Pas au prix où je l'ai payé, grimaça-t-il en se tenant le crâne.

- Attends...Je vais me faire pardonner. J'ai appris à faire de super massages, je combine des techniques qui m'ont été enseignées par de vrais Chinois et par Manuel Ferrara, tu vas voir, tu vas plus reconnaître ton boule...ton bleu. Enfin ton corps plutôt.

- Mon boule ? Non mais laisse mon corps tranquille tu lui as fait assez de dégâts en 20 minutes, gémit le streamer mexicain.

C'était très dommage car j'avais bien envie de lui en faire plus, mais sa protestation n'entama pas ma résolution.

- Allez...tu vas voir, tu pourras faire des lives de 24h après ça.

Le bel italo-mexicano-banlieusard soupira et s'étendit mollement sur le ventre. Je commençai à lui tapoter la nuque.

- Pour bien faire il va me falloir un peu d'eau et aussi que tu enlèves ton T shirt. Je reviens, mets-toi à l'aise.

Quand je revins, le dos de Domingo m'attendait, tout dépourvu de T shirt. Je n'en reviens pas, me dis-je, j'ai convaincu quelqu'un de se déshabiller chez moi et il n'y avait même pas d'alcool. Je suis vraiment médium.

Je commençai machinalement à lui palper le boule.

- Hé ! 

- Désolé, c'est ce qui ressort le plus chez toi (ndlA: c'est vrai) il faut bien s'en occuper. Ne bouge pas.

Je m'assis à califourchon et fis glisser mes doigts et un peu d'eau le long de sa colonne vertébrale.

- Tu es très tendu, fis-je observer en tapotant ses os. ça ne va pas.

Tout était tendu chez lui, mais ce n'était rien en comparaison de ma baguette de sureau. J'éprouvais les plus grandes peines à ne pas passer Domingo avec.

Tout à coup, le streamer italo-albanais tressaillit...

Sardoche x Domingo : C'était sûr en fait  #SardmingoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant