Chapitre 1 Un étrange réveil

21 1 0
                                    

Rejoindre les élus... Dans mon rêve, je voler. Je voler dans l'obscurité... Je me réveillais dans une étrange grotte.
Des rayons de soleil percaient l'obscurité depuis les hauteurs, tachetant de lumière les imposantes chaînes parcourant le sol de la caverne.
Avec un cri de surprise, je vis que je n'était pas seul. À mes côtés se trouvait une immense bête mangeuse d'hommes...

Je ne savais pas comment, pourquoi, ni quand c'etait arrivé...mais ma peau était couverte de dessins étranges.
-Où suis-je...?
Je pensais encore rêveais ... je pensais m'éveiller bientôt...
Tout en me levant je ressentait des petites douleurs mais pas bien persistantes.

Des papillons luminessant virevoltent aux dessus de la bête, ignorant l'énorme animal entravé par ces chaînes et l'imposant harnais autour de son cou. La créature est encore étendue, blessée, et deux lances dépassent d'une forêt de plumes tachées de sang rouge vif.

Elle à deux petites cornes vertes qui semble abîmés, des yeux noirs profondes accentués par un pelage tout aussi noir. Sa tête et son ventre sont gris ou brun pâle. Celle-ci est couverte de poils tandis que des plumes noires recouvrent son corps. L'animal à des ailes petites et abîmés, il a aussi une queue comme celle des chats.
Il me regarde à moitié somnolent.

Je m'approche, mais à ma vue la bête est tout à fait mécontente.
Celle ci n'est pas morte. Tandis que je m'approche lentement d'elle, celle-ci dresse sa tête et s'agite, émet un cri lorsque je l'approche de front, et cherche à me garder dans son champ de vision lorsque je tente de la contourner.
Elle semble vraiment souffrir, je décide donc de prendre mon courage à deux mains et d'escalader le bas de son dos, près de l'endroit où la lance à été plantée, juste en dessous de ce qui s'apparente à une armure brisée.
Je tire et tire encore jusqu'à ce que la lance soit libérée. La créature hurle de douleur puis se déchaîne, me saisissant à l'aide de l'une de ses griffes et m'envoyant valser contre le mur de la caverne. Je perds connaissance.

À mon réveille c'etait le soir.
A mon grand étonnement je n'avais pas faim!
Je songeai que la bête voulait peut-être manger quelque chose... Des bidons était posé sur une construction en pierre. Une substance verte, une sorte de purée fermenté était à l'intérieur, j'en mangé un peu. Je saisi le bidon et lui ammena. La bête semblait hésiter à manger alors que j'était si proche d'elle... Souffrante, la pauvre bête était méfiante.
Il me semblait que le plus sage était de reculer.

Je me dirigeait à nouveau vers le mur de la caverne. En abaissant une trappe, une grille s'ouvrait et puis tombait un autre bidon avec un liquide vert-bleu luminescent que l'on apercevait à l'interieur.
Mes offrandes semblaient avoir satisfait l'appétit de la bête, avec satisfaction, elle les ingurgités et repprenait ainsi des forces. Mais elle souffrait toujours et ne pouvait se lever, malgrès ses quelques tentatives.

-"Tu as encore mal ?" lui demandais-je.
En m'approchant délicatement de son cou je vit qu'un pieux enfoncée dans son épaule droite qui l'empêchait de se lever. Je devais l'arracher. En tirant de toutes mes forces la lance partie ; et la bête hurla de douleur et me réenvoya sur le mur de la cavene. je m'endormit jusque au lendemain.

L'animal de son nez énorme vint me réveiller en me sentant doucement. Il était debout sur ses quatre pattes.

Le Dernier Gardien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant