Chapitre 2 : Le départ

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     Il était 7h20 quand son réveil tenta de le réveiller. Après quelque minute de puissant hurlement, Maxime frappa sur son réveil, se retourna, dos à lui, s'enfouit sous sa chaude couette, puis grogna. Il sortit juste sa tête comme un suricate, s'étira de tous son corps, jeta la couette par dessus lui, s'écrasant au sol, il se leva de son lit, marcha sur sa couette sans aucune compassion, il attrapa sa chemise et son pantalon froissés de la veille. En quelque pas il se retrouva dans la cuisine, mangea en deux boucher une tartine déjà prête et avala en une gorgé son verre de jus d'orange préparé par Greta, Greta c'est sa femme de ménage, une vielle femme grognon, mais avec cœur si tendre, quand Maxime l'avait embauché, Greta était un femme mince, avec de long cheveux brun, elle portait de belle lunettes rondes, elle était plus grande que lui, une démarche des plus féminines, mais depuis la mort tragique de Wilson, son perroquets, Greta avait pris du poids, on avait l'impression qu'elle avait rapetissée, c'est cheveux c'était tinté d'un blanc neige comme on voit un jour d'hiver. Mais elle servirait Maxime jusqu'à sa mort, il ne lui restait plus que quelque années de toute manière. elle ne voyait pas pourquoi elle s'en irait, alors qu'elle est s'y bien traité avec lui. Greta était dans son salon, mais Maxime courut plutôt vers la salle de bain, il ouvra son robinet qui pleurait sa vieillesse. Il se débarbouilla, se brossa les dents à une vitesse fulgurante. Après quelque minutes dans sa salle de bain, il retourna fermer la porte de sa chambre, car la seul règle que devait respecter Greta était de ne pas rentrer dans la chambre de Maxime, sous aucun prétexte. Maxime courrait, de sa chambre à la salle de bain, de la salle de bain à la cuisine, de la cuisine au salon, c'est à ce moment ou il tomba nez a nez sur Greta, durant son activité principale, ranger la maison de Maxime, qui soit dit en passant étais une vrai porcherie.

  - Pourquoi une tel hâte monsieur ?

- C'est aujourd'hui Greta, aujourd'hui !

   Maxime parlait à une vitesse folle, il se dépêchait de mettre ses chaussettes et d'enfiler ses chaussures.

- Mais quoi dont monsieur ?

     Greta continuait de ranger le canapé en enlevant les vieux coussins tout poussiéreux et en les reposant à la perfection sur le canapé. Brusquement Maxime lui pris les mains et la regarda dans les yeux, on pouvait lire la fierté dans ses yeux, quelque chose qu'il n'avait visiblement pas souvent vécu allait arriver, il était excité au simple fait que d'annoncer son projet à sa chers femme de ménage.

- M' enfin, c'est aujourd'hui que je vais savoir si je deviens le prochain directeur d'Exodus. filez donc me chercher ma plus belle veste s'il vous plait ! Vite !

     Greta se déroba des tendres et douces main de Maxime et courra chercher la veste de son maitre, lui donna et Maxime l'enfila, il courut devant la porte d'entrée, tourna sa tête sur la droite, un miroir, il se regarda dans le miroir, on y voyait un homme, grand, environ 1 mètre 85, une puissante carrure, des épaules larges, il caressa ses cheveux, les ébouriffa pour tenter de se coiffer, mais ses cheveux mi-long, qui lui tombait sur les épaules était trop épais pour être coiffée si facilement , il faudrait qu'il utilise un magnéto  à lisser, une machine qui te coiffe sans rien faire, mais cela abimerait ses beaux cheveux châtains, il poussa ses cheveux de son front, il y découvrit pour la énième fois de beaux yeux en amande, avec une couleur qui faisait toute la personnalité de Maxime, des yeux vert, mais pas un vert pelouse, non, un vert émeraude, le jour de sa naissance même la sage femme avait été surprise de ses yeux. Si on descendait un peu on découvrait un nez grec avec une symétrie parfaite, des lèvres douce et soyeuse se trouvait au dessous de son nez. Après quelque secondes a essayer de se recoiffer, sans succès, Maxime pris la décision de mettre un bonnet. Il ouvra la porte, salua Greta dans l'entrebâillement de la porte. Il ferma la porte sortit, et arrivé devant son portillon a quelque mètre de l'entrée, se retournât, pour contempler sa vielle maison, une maison en pierre, avec un toit en ardoise, de prêt elle paraissait simple, mais quand on y entrait on pouvait sentir toute les centaines de vie qu'elle avait vécu, ce n'était pas une maison ordinaire, et cela Maxime le savait.

     Mais pour l'instant Maxime ouvrit sa voiture, une vielle Tesla électrique, il n'y en avait pas deux comme celle ci, mais il l'adorait, c'était pour Maxime son petit joujou, il démarra la voiture, elle ne faisait pas un seul bruit, c'était extraordinaire pour une voiture de son age. Maxime l'avait acheté au début de ses études pour une boucher de pain, elle lui rappelait ses première années d'études, c'est pour cette raison qu'il y étais tant attaché. Il appuya sur la pédales d'accélérateur, sortit de chez lui. Avec une voix forte et assuré il dit

- Un autre jour au paradis.   

La ColonieWhere stories live. Discover now