˗ˏˋᴀᴘᴏᴄᴀʟʏᴘsᴇˎˊ˗

°✵ preмιer мoυveмenт .*ೃ༄

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«Cette nuit là, tout était calme.. cependant, un boucan assourdissant provenant d'une maison, ou plutôt d'une boîte de nuit, faisait contraste avec le lourd silence qui pesait sur la ville.»

- ❝Putain tu fais chier Sei' , tu gâches toujours tout.❞

«Ce fut les derniers mots prononcés par cet homme vêtu de noir, qui mit à la porte une jeune femme, qui elle, souhaitait uniquement s'amuser. Ce dernier n'y était pas allé de main morte. La jeune femme s'écrasa littéralement sur le sol, elle lâcha un cri avant de se mettre à injurer de tous les noms son interlocuteur. Mais l'homme n'y prêta pas attention et referma dans un claquement violent, la porte d'entrée. La jeune femme, prénommée Sei', se releva difficilement, après être restée un long moment au sol, appuyant alors avec sa main l'endroit où elle s'était blessée.»

- ❝On peut même plus s'amuser ici. De toute façon j'comptais pas rester une minute de plus dans cette vieille turne.❞

«Seiren, de son prénom sans abréviation, soupira longuement tout en se redressant. Elle était égratignée un peu partout sur son corps. Sa jupe était salie. Ses collants étaient troués à différents endroits. Elle n'avait qu'une seule envie; retourner chez elle après cette soirée trop peu captivante à son goût. Errant dans une des avenues principales de la ville, elle fut marquée par l'absence d'être vivant dans cet endroit. Tout le monde était déjà parti dormir se disait-elle. Il était tard, aussi. Au fur et à mesure qu'elle avançait, la fatigue commençait à faire surface. Il fallait qu'elle se dépêche de rentrer. Quelques instants plus tard elle fit la découverte d'une ruelle assez sombre et étroite, qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Cela ne pouvait être qu'un raccourci pour rejoindre sa maison et son choix fut vite pris. Mais cependant, traversant la ruelle, elle regretta rapidement son choix, ayant entendu des voix et des bruits de pas non loin d'elle.»
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«Autour des remparts de la ville, des créatures plus étranges les unes que les autres, s'agglutinaient de telle sorte que l'on pourrait comparer leur mouvement à celle d'une manifestation. Mais ils ne souhaitaient pas manifester contre la réforme des retraites.. malheureusement. Ils voulaient autre chose, mais quoi donc ? Leurs dires étaient difficiles à comprendre, on aurait dit qu'ils pouvaient seulement s'exprimer en onomatopées. Les remparts étaient situés à plus d'un kilomètre de la ville, ce qui pouvait laisser le temps aux habitants d'anticiper les mouvements de ces viles créatures. En plus de ça, ils étaient lents dans leur déplacements, une chance.»
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