À cette époque elle avait 18 ans elle était sympathique.
Une jeune fille d'une beauté splendide, rayonnante, très pieuse, et la seule voilée de sa famille, un vrai dévot.
Brillante dans ses études, Sadia venait de décrocher son baccalauréat au lycée Kennedy, majore de sa promotion.
À point E où elle vivait avec son père Ibrahim, un vieux très conservateur des cultes africains, enseignant dans une école Primaire.
Diariétou, la mère phobophobie, qui gérait un très grand restaurant à mariste.
Sa grande sœur Khadija 23 ans très attachée à elle, étudiante en sociologie tout aussi belle et brillante dans ses études.
Et enfin son grand frère et ainé de la famille Amadou Horst âgée de 28 ans surnommer Kunta par ses copains qui a très tôt arrêté les études pour comportement jugé répréhensible.
Il fut menuisier et se saoulait le plus clair de son temps en compagnie de mauvaises personnes.
Ce qui le rendait violent et cruel comme un lion blesse malgré la fraternité.
Il lui arrivé de détruire meubles et décore pour exprimer sa soif de liberté à l'exemple des anarchistes.
C'était une famille très réservée et dans laquelle les tabous gardent encore leurs places et le silence dans certaines situations, exigé.
Durant sa première année universitaire, tout allait bien comme sur des roulettes et elle s'était même émancipée des contraintes parentales et environnementales.
Un samedi d'été avec la fraîcheur du matin, les oiseaux chantes, le soleil se lève et les rayons qui transperce les rideaux réveillèrent Sadia. Après avoir fini de prendre son bain, seule dans la maison de ces parents, elle était habillée d'une de ses anciennes robes noires assortie d'une voile blanche. Elle dégager quelque chose de fort un magnétisme, un charisme quasi-palpable un petit truc en plus, comme un rayonnement : une aura particulière notamment composée d'assurance et d'enthousiasme ; quelque chose qui imposée le respect aux autres. De la bonté, de la noblesse, de la force et de la puissance. Un joli sourire sincère, elle rit facilement sans trop faire de chichis avec un regard intense ; elle était très joyeuse d'une telle vivacité, une telle sérénité, une telle harmonie, une telle élégance jamais égalée.
Quelques instants après toilette et déjeuner, esseulée dans la maison, elle commença à méditer son avenir qui s'annonçait très radieux.
Ces en ce moment que quelqu'un toqua à la porte de la maison avec insistance. C'est le Frère Amadou Horst, mais Sadia ne comprenait pas, mais elle s'imaginait que ce comportement ne pouvait être que son frère où un de ses cliques. Un peu flippée, elle demande sans ouvrir :
Qui est là ?
Sans réponse, elle retourna sur son canapé, vaguement inquiétée.
Mais devant l'insistance de l'inconnu elle se décida à ouvrir pour stopper le tapage.
Arrivée près de la porte elle reconnaît la voix de son frère Amadou Horst bien que celle-ci lui semblait trop étrange.
Sadia : C'est bien Horst ?
Amadou Horst : ohhh ferme là et ouvre la porte, c'est kunta
Elle exécute dédaigneusement sans trop faire d'histoire.
À peine rentrée dansla maison les jambes complètement alourdies, les yeux rougies et mine malfagoté, l'odeur nauséabonde et écœurante de l'alcool décelable dans son haleineet sur ses vêtement nul doute il est ivre-mort.
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Vivre la tue !!!
Historical FictionTerrible et émouvante est la longue histoire sans accalmie de la belle p'tite Sadia, violée par son sang, elle n'arrivant pas à balancer son porc. Un récit qui est inspiré de faits réel et fictif. BONNE LECTURE,