Chapitre 22 : sans nom

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PDV Katsuki

Je me réveillais doucement, j'essaye de bouger mais je me sens bloquer. Je me rend compte que mes mains et mes pieds sont attachés par des sangles en cuir.

- C'est quoi ça ? Pourquoi je suis attaché ? Où je suis ?

Soudain, les images de la veille me reviennent en mémoire : ma mère et mo père attachaient sur des lits, mon frère tremblant comme une feuille et ma soeur heu si on peux l'appeler comme telle.

- Comment vont mes parents ? Et mon frère ?

Soudain, la porte s'ouvre violement et laisse entrer cinq gardes et ma diabolique soeur. Elle portait une robe horriblement courte avec de multiples armes accrochés sur les bras, les hanches et les jambes.

Boku : cher frère ! Comment vas-tu aujourd'hui ?

Katsuki : Espèce de connasse ! Comment t-as pu faire ça à nos parents ? A ta famille ?

Boku : Ecoute cher frère, je te préviens tout de suite, les hommes qui m'entourent sont mes gardes du corps. Ils sont prêt à mourir pour moi donc ne joue pas au plus malin. Surtout que c'est toi qui m'a abandonné ce jour-là près de la voiture.

Katsuki : Quoi ? Qu'est ce que tu veux dire ? Je ne t'ai pas abandonné, j'ai été agressé tout comme toi. Je n'ai pas pu marcher et j'ai d'ailleurs une jambe de bois.

Boku : Tu te fiches de moi ?! Tu m'as abandonné lachement et tu as reçu toutes les attentions. Alors que moi, on m'a oublié au bout d'une semaine.

Katsuki : C'est faux, les recherches ont continué durant deux mois. Mais quand on a arrêté les recherches, maman et papa ont eu le coeur déchiré en deux.

Boku : Tu parles vraiment de papa et maman ?

Katsuki : Maman n'a pas mangé durant des semaines et papa n'allait plus au travail. Les seules occasions où il sortait été pour récupérer les livraisons des plats à emporter. Ils sont tout les deux tombés en dépression. Tsuneki boit, fume et baise à tout va. Il ne rentre à la maison, que quand sa petite amie le vire de chez elle. Et tu appelles ça allait bien ? On ne t'as jamais oublié ! Tu es toujours rester dans nos curs !

Boku : Comment tu oses crier ? Tu oses me mentir ? J'ai vu les images, de vous quatre, heureux allant à Disney, au cinéma, à la plage, profitant de de la vie. Bon allez les gars j'en peux plus de lui, torturer le jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus.

Katsuki : Boku ! Boku ! Laisse moi t'expliquer ! Non lâchez moi ! Arrêtez !

Les cinq gardes se jetèrent sur moi et me tabassèrent à coups de poing. L'un d'eux sortit un couteau fin. Il s'approcha de moi et fit une légère sur mes mains, sur chacune de mes phalanges. J'hurlais de douleur mais comparé à celle que mes bleus de mon visage me faisait ressentir ça allait.

Soudain un autre de ses armoires à glace, ramena une bassine contenant un produit inconnu mais qui dégageait une forte odeur. Il me fixa de ses yeux bleus inhumains et vida le contenu de la bassine sur mes mains. Je ressentis une vive douleur, comme si on me brulait tous mes doigts un par un. J'hurlai de douleur. Ensuite, ils m'ont torturé durant ce qui m'a paru des heures avant que je m'évanouisse de fatigue.

Quand je me suis réveillé, j'étais dans un lit, attaché comme un animal. Je voulus me débattre mais j'avais trop mal et je ne pouvais plus bouger un seule de mes muscles.

J'espère que mes parents et mon frère va bien

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oui je sais ça fait longtemps

allez promis j'en publie un demain après midi

promis juré craché

juliette

Darling ... (TOME 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant