Chapitre 20 : la reine des VIRMS

158 8 1
                                    

PDV Zero Two

Je me réveille, je ne sais pas quel jour on est, ni quelle heure il est. Mon mari est assoupit à mes côtés, torse nu. Je soupire, si j'avais été de meilleure humeur, j'aurais surement sauté sur l'occasion et fais un peu de sport. Mais aujourd'hui, tout mes enfants ont disparus et je tombe au fur et à mesure en dépression nerveuse. Je déprime de plus en plus et je maigris à vu d'il. Je ne rentre même plus dans ma robe de mariée.

Mes bébés, mes chéris, ils ont disparus. Ils m'ont été enlevés. Mes amours que j'ai moi même couvée et protégée, telle une louve. Ils m'ont été enlevés. Je me sens vide, comme si plusieurs parties de moi m'avaient été arrachés. Comme si mon coeur était une guimauve, qu'on pouvait en arracher un morceau, en faire une boulette et jouer au foot avec. Eh bien, voilà l'état de mon coeur actuellement, remplis de joueur de foot anonyme qui m'arrache mes bébés.

Soudain, j'entend la sonnette de la porte retentir et secoue mon époux pour le réveiller.

Hiro : Hum

Zero Two : Mon amour, on sonne à la porte

Hiro : Pas envie

Zero Two : Amour, s'il te plaît, je ne veux pas me lever, je suis trop faible.

Hiro : Ok t'as gagné.

Mon merveilleux époux se lève, enfile un jean et un tee-shirt.

PDV Hiro

Je descend et ouvre le porte. Je tombe sur notre ancienne baby-sitter avec une petite boîte de chocolat dans les mains. Alpha se trouve derrière elle et aborde un sourire satisfait.

Kiota : Bonjour, je voulais passer plus tôt mais mon père et moi étions assez impliqué dans cette histoire. Je suis assez triste pour vous, je voulais donc vous ramenez ça.

Hiro : C'est gentille Kiota. Je vous en pris entrez.

Ils entrèrent et s'installèrent dans le canapé. Je préparais du café et repartis au salon avec mes deux invités. Je ne vis pas Alpha mais uniquement sa fille.

Hiro : Où est ton père ?

Kiota : Il est parti au toilette. Il revient bientôt.

Hiro : D'accord. Tu veux du sucre ?

Kiota : Avec plaisir.

Je fis un aller-retour et Kiota parut surprise de mon retour aussi rapide. Je sirotais mon café tout en discutant avec Kiota. Au bout d'un quart d'heure, un cri rententit à l'étage, je me levais brusquement mais mon corps ne répondais plus. J'étais paralysé mais tout mes sens étaient en alerte.

Kiota : A enfin, ça fait effet Tu commençais à m'énerver un peu mon vieux

Elle se transforme devant moi, comme dans mes rêves et mes souvenirs de jeunesse. Elle avait désormais, des cornes bleus, la peau bleu clair et des griffes fluorescentes.

Kiota : PAPA ! T'as fini ou pas ça commence a être long ? Boku va pas être contente.

Boku ? Ma fille ? C'est eux qu'ils l'ont enlevé ?

Alpha descendit tenant mon épouse sur son épaule, tel un sac de patate.

Kiota : C'est pas trop tôt ? Alors elle est paralysée, c'est bon ?

Alpha : Oui c'est bon on peux y aller.

On fut trainer dehors jusqu'à un bâtiment sombre. Ils nous déposèrent sur les lits d'hôpitaux et nous assommèrent pour de bon.

Quelques heures plus tard

Je m'éveillai et tombais sur ma famille. Nous étions tous dans une même pièce, en tenue blanche. Ma famille reprend doucement connaissance et soudain, un message retentit fortement dans les haut-parleurs.

" Bonjour à tous ! Je me présente, Boku la reine des VIRMS.

Je suis la descendante de deux puissantes créatures, vous deux mes chers parents.

Oui, toi aussi papa, tu es un VIRM, qui dormait en toi depuis votre retour sur terre.

Quand à toi maman, tu es la fille du précédent roi des VIRMS mais ça tu l'ignore car on t'a effacé la mémoire quand tu étais jeune.

Bon alors pour sortir d'ici, vous allez devoir faire des tests quotidiens pour que je puisse vous étudiez.

Et peut-être que si vous coopérez, je vous laisserais en vie.

Bon allez, le premier à passer, c'est Tsuneki.

Allez grand frère, c'est parti ! "

Deux VIRMS en armure entrèrent par une porte dérobée et empoignèrent mon fils. Il eut beau hurler et se débattre mais ils ne le lâchèrent pas.

Mon fils disparut et le silence retomba, lourd comme une boule de bowling.

**************************************************

Deux chapitres en deux jours, c'est exceptionnel mais je pense que ça suffit à me faire pardonner.

Bisous Juliette

Darling ... (TOME 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant