chapitre7 :Une journée près de toi

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Gaïto était toujours allongé sur son lit alors que je lui montait un plateau garni d'une soupe , d'une baguette de pain et d'un jus d'orange fraichement pressé . Je déposa le plateau sur une table près du lit afin de retremper la serviette et de la lui remettre sur le front . C'était avec inquiétude que je constata que sa fièvre n'avait pas baissé ; Il était tout en sueur et balbutait des paroles incompréhensible pendant son sommeil . Je pu tout de même comprendre des bribes de  phrases " Maman ...ne...me laisse...pas...revient ! ". L'expression de son visage changeait pour reflèter  successivement la tristesse et le désarroi. Je me sentais tellement impuissante face à cette situation et à cette fièvre qui s'éternisait . " Mais c'est bien sûre 💡, la mère de neiko " .

En effet la mère de neiko était médecin et pourrait sans aucun doute m'aider. Je me saisi rapidement de mon  téléphone pour lui passer un coup de fil . Je lui exposa la situation et les symptômes de gaïto puis elle me prescrit des médicaments et me demanda de bien les lui faire prendre et qu'il ne devait pas rester seul cette nuit. Évidemment ça je m'en doutait, mais comment pourrai-je rester ici ? Le lendemain il y avait classe et en plus je n'avais pas de tenu de rechange ; j'étais toujours dans ma tenue scolaire . Que faire ?

Alors que je réfléchissais toujours quelqu'un sonna à l'extérieur . Je me précipita à l'entrer et je vis avec surprise que c'était ma meilleure amie qui était au portail . Elle tenait un sac dans ses mains , sac que je reconnu très bien , il s'agissait du sac que j'utilisais pour les soirées pijama .

- Neiko: Alors ! Tu m'ouvres? ou tu préfère rester plantée là comme une BAKA ? Me sourrit - elle

-Moi:  Neiko ! Qu'est-ce-que tu fais là avec mon sac ? Lui demandai-je aprés l'avoir faite rentrer, pourtant je pouvais très bien deviner la raison .

- Neiko: Je me demande toujours  si tu réussira un jour à te passer de moi ? En attendant je t'ai apportée tout ce qu'il faut pour que tu puisse être bien : brosse à dent , serviette, la totale. Et puis maman m'a appelé et m'a dit ce qu'il se passait donc en venant j'ai confiée à kito le soin de rapporter les médocs .

" Oh mon Dieu cette fille est un pur génie , je me dis souvent que je ne m'érrite pas une amie comme elle ".

-Moi:  Mille merci , je te revodrais ça . Maintenant il faut que je trouve quelques choses à dire à kay .

-Neiko: Ne t'inquiète pas je m'en suis chargée . Je lui ai dit que tu dormirais chez moi les trois prochains jours et que si tu n'étais pas là c'était parce-que tu te chargeais d'acheter les boissons .

- Moi: OK oui mais pourquoi trois jours ?

- Neiko : Ah oui ! Tu ne connais pas de meilleur . la tuyauterie et l'alimentation en eau de l'école ont de sérieux problèmes et l'école est fermée le reste de la semaine pour éviter tout incident et règler le problème .

-Moi: Mais c'est génial ! M'exclamais-je débordante de joie . " Je vais pouvoir rester avec avec gaïto à le chouchouter. "

J'étais finalement retournée aux côtés de gaïto après que  kito m'ai apporté les médicaments . Heureusement sa fièvre avait baissée et gaïto se réveillait enfin  .

Pdv de gaïto:

Je venais juste de me réveiller d'un sommeil qui me paraissais avoir duré des siècles , il avait été tourmenté par des tonnes de cauchemars où je voyais ma mère disparaître dans le nean ou se faire jeter d'une falaise par mon père .

Je me souvenais de mettre sentis très mal et faible le matin à mon réveil ; je me souvenais aussi que je n'ai pas eu la force d'aller en cours . puis la dernière chose qui me venais à l'esprit était de mettre traîné pour ouvrir la porte puis plus rien . J'essayais encore de me souvenir du reste de la journée quand je la vis assise sur une chaise face à moi . Sady était dans ma chambre , elle avait l'air fatiguée mais cela ne ternissait en rien sa beauté . Je voulais lui demander ce qui s'était passé mais je n'arrivais plus à ouvrir ma bouche j'étais complètement absorbée par cette fascinante beauté et ce regard si pure et affectueux . Elle finit par briser le silence .

-Sady : Est-ce que ça va tu te sens mieux ? Me demanda t-elle en touchant mon front avec le revers puis avec l'intérieur de sa main . Ouf ! Ta température est à peu près normal maintenant.

-Moi:  Sady ! Qu'est ce qu'il s'est passé? Demandai-je . Elle m'expliqua assez brièvement tout ce qu'il s'était passé . Je du lutter pour que mon visage ne dénonce pas la satisfaction que je ressentais en ce moment précis ; j'étais ému de la façon dont elle s'était occupé de moi , de l'inquiètude qu'elle avait ressenti en ne me voyant pas à l'école ; j'étais heureux qu'elle soit là juste avec moi . Je savais que cette fille me plaisait mais la vitesse des battements de mon coeur en ce instant me réveillait que ce que je ressentais pour elle était bien plus que de la simple attirance .

Elle s'approcha de moi avec un plateaux de nourriture . Maintenant que j'y pense je n'avait rien avalé depuis le matin et j'étais affamé ; de plus ça soupe sentait divinement bon .
Elle pris une cuillère , la plonga dans la soupe et en apporta une part à ma bouche . Je pouvais très bien mangé tout seul mais je n'avais aucune envie d'arrêter ce rêve ; je ne pouvais que bénir cette soudaine maladie qui m'avait permis de me faire ainsi cajolé par cette merveilleuse créature .

Après m'avoir fait mangé , je vis que cette chère Sady  n'en pouvait plus de sa tenue scolaire et avait besoin d'une douche . Elle finit par me demander toute gênée l'emplacement de la douche . Évidement je fini par lui montrer salle de bain la plus proche c'est a dire celle qui était dans ma chambre .

-Moi: Tu peux te servir de celle la . lui dis-je en pointant du doigt ma douche . Elle ne pu s'empêchait de rougir en voyant la proximité de celle-ci . Elle avait peut-être peur que je vienne jeté un coup d'œil ; même si c'est plutôt tentant je la respecte et je ne pourrai pas faire ça , enfin...

- Sady : Euh...il n'y en aurait pas une ailleurs ? Demanda t-elle toujours aussi gênée.

-Moi: Si ....mais c'est la seule qui soit entretenu . Ne t'inquiète pas je ne ferais rien de déplacé. Sur ce elle alla se laver ; je dois avoué que je ne pu m'empêcher d'entrevoir dans mon esprit à quoi ressemblerait son corps dénudé . Je me secoua violemment la tête pour éliminer toutes mes pensées perverse .

Fin du pdv de gaïto

Je venais juste de sortir de la douche; j'avais amener avec moi mon sac et je m'étais changée à l'intérieur . Malheureusement pour moi neiko n'avait pas pris de pantalon . Je m'étais alors vêtu d'un pull-over décoré d'une espèce de noeud papillon et d'une jupe en toute simplicité. Gaïto était toujours dans son lit avec la couverture qui lui venait jusqu'au niveau de la taille ; il y avait aussi le couver de la soupe toujours sur ses jambes, dans ma précipitation je l'avais oublié là . Je m'étais approchée du lit pour débaracer quand mon regard croisa celui de gaïto ; celui ci me regardait avec tellement d'insistance mais dans ses yeux tout ce que je voyais c'était une immense tendresse . Ce regard si tendre et intense à la fois me déstabilisa beaucoup . Je poursuivi quand même mon mouvement pour me saisir du plateau ; mais à ce moment là gaïto se redressa légèrement avançant vers moi l'un de ses bras qui se posa sur l'arrière de ma tête en me faisant basculer vers lui , alors que je déposais mes mains sur le rebord du lit pour garder un certains équilibre , gaïto porta ses lèvres aux miennes et m'embrassa tendrement .

 Je poursuivi quand même mon mouvement pour me saisir du plateau ; mais à ce moment là gaïto se redressa légèrement avançant vers moi l'un de ses bras qui se posa sur l'arrière de ma tête en me faisant basculer vers lui , alors que je déposais mes...

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J'avais gardé les yeux ouvert tellement ma surprise fut grande . Après avoir décollé ses levres jeu un mouvement de recule et gaïto m'agripa par le poigné et me dit .

- Gaïto: Ne t'en va pas reste avec moi .

Note de l'auteur

OK voili voilà le chapitre 7 . Je ne vous remercierai jamais assez de m'encourager ainsi à continuer d'écrire par vos votes et commentaires . Merci et à plus 😘💝

SadyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant