XLII

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. LATIF .

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Moi: Ecoute , je ne cherche pas à la justifier mais ne traumatise pas les enfants avec cette histoire parce que partir de la maison reviens à le faire .

Ismail : (soupirant) Franchement je n'ai pas envie de la voir .

Moi: Réfléchis cousin , tu n'es plus un gamins , tu as quarante trois ans alors essaie de maitriser ton coeur ça toujours été votre plus grand défaut Bouba et toi . Penses aux enfants, ils n'ont pas à payer pour vos problèmes intimes .

Ismail: Oui

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..Entretemps MAJID....

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Plongé dans mes pensées

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....... Flash back.........

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À peine la réunion finit, entrain de discuter avec les frères, une dispute nous interpella dans le couloir.

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Moi: C'est quoi ces cris et on dirait la voix de Haoussa qui criait.

Bouba : (se hâtant) J'espère que ça n'a pas dégénéré c'est un peu trop tendu à mon goût.

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Arrivés à leur niveau, nous vîmes Keiko avec Fernando dans les bras, Haoussa qui pleurait à chaudes larmes, les cheveux mélangés et les joues rouges avec de traces de mains .

Le visage rouge dans l'ensemble . Derrière moi Keiko expliquait ce qui s'était passé mais je n'y prêta pas attention.

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Haoussa : (en pleures) Kötö Majid tu as vues ce que ta soeur m'a fait, elle m'a non seulement mis une forte paire de gifle qui me fit tomber, elle me tire par les cheveux pour ensuite me verser le thé chaud que je buvais sur le visage.

Moi: (me tournant) Salma pourquoi tu as levé la main sur elle, tu sais que c'est ma femme n'est-ce pas.

Salma : Qu'elle t'explique l'autre partie , laisse moi passer s'il te plait

Moi: (fermement) Je n'ai pas encore fini donc tu restes ici et tu me réponds , pourquoi tu as levé la main sur elle et comment est-ce que tu as été capable de lui verser du thé chaud sur le visage. Regarde dans quel état tu l'as mise.

Salma : La seule chose que je regrette ce qu'elle ne soit pas bouillante

Haoussa : Tu vois ce que je viens de te dire, elles voulaient me tuer avec Keiko je ne les ai rien fait en plus.

Moi : (le regard noir) t'ai demandé quelque chose toi ?

Haoussa : Excuse moi

Moi: Salma tu normale de frapper ma femme à tort

Salma : Oui, ta femme et tu as décidé qu'elle a entièrement raison pendant qu'elle n'a jamais cessé de te mentir.

Haoussa : (se mettant derrière moi) Je ne l'ai jamais menti, qu'est ce que tu vas inventer. Retouche moi encore et tu verras.

Salma : (sourire nerveux) .....

Moi: Si tu l'ouvres encore je quitte entre vous .

Haoussa : .........

15 Ans de Différence : Seconde Génération (Tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant