XLVII

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........ SALMA............

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Stanley: On a un ami en commun
Moi je ne vous ai pas oublié et à chaque fois comme par magie vous disparaissez je n'ai même pas eut le temps de demander votre véritable prénom juste votre nom de famille que je connais , et un prénom qui ne me sonne pas vraiment .

Moi: Vous avez pris la peine d'enquêter sur moi ?

Stanley: Vous me plaisez bien , jamais une femme ne m'avait fait autant d'effet , disons que je suis votre admirateur secret je vous ai même envoyer des fleurs et une invitation dans votre filiale de New York mais je vois que vous ne les aviez pas reçu, dommage .

- vous chercher quelqu'un , je peux vous aider ?

Moi: Oui , mon mari (lui montrant l'alliance)

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Me déplaçant un peu plus loin me rappelant plus exactement où j'étais arrêté, il me suivit qu'à même

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Stanley: M'accordez-vous cette danse ?

Moi: Non,

Stanley: ( sourire) Vous me plaisez bien , du caractère directe le genre de femme que je cherche avec qui partager ma vie .

Je vous ai observait les fois qu'on s'était vu , la manière dont vous présentiez vos projets et tout , vous avez beaucoup forcé mon admiration .

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Moi: 😒

Stanley : Je suis d'ici mais ma mère est suissesse.

- Ne me dites pas que vous êtes le genre de femme qui fait bonne figure au près de son mari devant le monde extérieur mais maltraité de l'intérieur.

Moi: Non je suis le genre de femme qui a été conquise par son mari et qui n'a pas besoin d'un autre homme.

Stanley: (me pointant du doigt) Bingo, vous savez que en général toutes ont un amant tout autant que les hommes aussi. Ça toujours été comme ça dans la haute société.

Moi: L'argent n'achète pas tout monsieur Stanley, si vous voulez bien m'excuser.

Stanley : Stan tout court

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me tendant la main que je refusai de serrer ce qui le fit sourire en me regardant de manière un peu excentrée.

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Je me dirigeai vers une pièce où il y'avait des oeuvres d'art et d'autres objets anciens, une fois de plus il m'y rejoignit.

Je me dis, bon Dieu Latif où est ce que tu peux être.

La demeure étant très grande je commençais à perdre mes repères alors j'appuyai sur mon pendentif que je portais en bas de mon collier afin d'activer la géolocalisation espérant que mon mari avait de quoi le faire.

J'avais reconnu Stanley faisant semblant que non, mon mari m'avait dit que c'était un deuxième prénom et contrairement à ce qu'il prétendait, sa mère était moscovite et il y avait grandi, ancien soldat servit avec le grand frère aîné de Damian qui était mort au cours d'une mission à part qu'il avait eu à travailler avec mon mari et sa team compagnie un temps et qu'il avait fait fortune dans les oeuvres d'art et la location des voiliers dont il possède un grand nombre rien d'autre, il était aussi copropriétaire de plusieurs clubs de golf .

15 Ans de Différence : Seconde Génération (Tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant