chapitre huit

3K 70 7
                                    

Lucas Hernandez

Je regarde Lucy qui dort profondément dans son lit et laisse les larmes roulés le long de mes joues. Ma fille va grandir avec juste un père et connaîtra peu sa mère de ses propres yeux. Je me haïs toujours de l'avoir laissé partir à cette soirée et quand j'ai reçu l'appel de l'hôpital, je me suis écroulé dans les bras de ma mère qui était venue pour la soirée. J'arrive pas à croire que c'est de la faute de connard bourrée au l'ont tuée, personne ne le voit mais je suis si brisé que je n'arrive plus à pleurer. Ma mère a été tous le long avec moi et ma fille et je la suis très reconnaissante, tous le monde sait que Noane est morte et avec Jesse, Mia, Eva et tous les joueurs dont elle était proche nous nous sommes soutenus pour garder le sourire. Je croit que j'ai pas réussit à faire mon deuil et je ne veux pas le faire pour pas l'oublier, je suis tellement accro à elle que même des fois j'arrive a lui parler comme si elle était encore en vie. J'aimerais tellement revenir en arrière et vraiment l'empêcher d'aller à cette putain de soirée qui devait être nul vue à qu'elle est partie une heure après son arriver.

Début du flashback

Noane Lingard Hernandez

Je quitte cette soirée juste nul à chier, il y a trop de monde, la musique est nul et ma fille et mon mari me manque donc je décide de partir pour aller rejoindre Lucas.

Je monte dans ma voiture et active directement la musique pour pouvoir m'ambiancé le temps du trajet.

Je conduit tranquillement quand d'un coup j'aperçoit une voiture foncé sur moi, ma voiture fait plusieurs tours sur elle même avant de me retrouver droite. Je ne sens plus ma jambe et ma tête me fait affreusement mal, mes pensées se dirigent vers Lucas et Lucy puis ma vision de trouble en me sentant partir petit par petit.

Lucas je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais.
Lucy je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerais.

Je pense rapidement à Jesse ou plus tôt sont sourire qui fait craqué des centaines de filles et je pense ensuite à Anais que je vais rejoindre dans quelques secondes mais essaye de tenir éveillé. La douleur est trop dur à supporter et m'endors à tous jamais en pensant aux gens que j'aime.

Fin du flashback

J'essuie mon visage et sort de la chambre de Lucy et décroche à mon téléphone qui sonne depuis quelques minutes. Je décroche sans regarder le nom et retiens mes larmes en entendant la voix de Mia, brisée serte mais chaleureuse.

- Lucas j'y arrive plus, m'avoue Mia en éclatant en sanglot. Je pensais pas mettre autant attaché à elle mais elle me manque tellement que je veux en finir.

- Nan Mia tu peux pas faire ça, dis-je en la rassurant comme je peux. Tu es plus forte que tu ne le penses et je ne pense pas une seule seconde que Noane soit d'accord avec ça. Je veux que tu relèves la tête en te disant que tu fais ça pour elle, pour ton amitié envers elle que tu n'oublieras jamais. Si tu veux passer à Munich la porte est grande ouverte.

- Merci Lucas je ne sais pas ce que je ferais sans toi, répond Mia.

- Moi non plus je sais pas ce que je ferais sans toi, rajoute ai-je.

Elle raccroche quelques minutes plus tard après avoir pris des nouvelles de moi et de Lucy. Je pose mon téléphone et me dirige vers la salle de bain et devant mon miroir je me regarder avant d'éclater en sanglots et de la voire apparaître à côté de moi.

- Pourquoi pleures-tu ? me demande t-elle inquiète.

- À cause de toi, répondis-je froidement. Tous ça c'est juste à cause de toi ! Mia veut se suicidée, Eva est tombé en dépression et je ne parle même pas de l'état de Jesse qui parle mal à tous le monde et qui haïs tous le monde. Puis il y a moi qui suis au bout du rouleau à parler à une illusion en me disant que c'est toi peut-être par peur de t'oublier et tu sais quoi ? Je te déteste. Tu me bousilles la vie alors que tous ça c'est à cause de toi, si tu m'avais écouté en te disant de rester avec moi rien de tous ça ne serrait arriver car maintenant je n'arrive même plus a regardé une femme dans les yeux par peur de te trahir alors maintenant sors de ma tête Noane s'il te plaît.

Je tourne le regard et quand je regarde une nouvelle fois vers l'endroit où elle se trouvait il n'y a que quelques secondes au paravant, et constate qu'elle a disparue. Je souffle soulagement et m'assoie par terre en souriant.

Il faut que je passe a quelque chose d'autre mais sache que Noane, que je t'aimerais toujours, tu resteras à jamais gravé dans les mémoires de tous ce qui on eu la chance de te connaître.

Je t'aime, Noane.
Je t'aime.

INSTAGRAM  LUCAS HERNANDEZOù les histoires vivent. Découvrez maintenant