L'ADULTÈRE

Chapitre 1

L'infidélité est la cause de tous les soucies.

Benoit Larry est un exécutif dans la compagnie d'assurances Bentley Corp qui est reconnu grâce à ses divisions mondiales dans le marché. Ce qui est une chance pour Benoit de gravir des échelons et prendre du grade s'il fait tout ce qu'il faut. Pouvoir bien se faire voire par les supérieurs. . Pour son mandat professionnel, il doit souvent faire des voyages un peu partout. Mais les nombreux voyages d'affaires ne impressionnaient pas. Entre les réunions, conférences avec les professionnels et quelques lunch, on pouvait s'entendre que ce n'était pas des voyages pour le plaisir. Les affaires sont les affaires après tout, et plus il passait du temps hors de la maison, plus il manquait la présence de ses proches, de sa famille.

Lui tout ce qu'il voulait c'était de retrouver sa famille. De pouvoir passer du temps avec eux, ne pas manquer les moments avec ses enfants surtout. Être physiquement plus présent dans leur vie, mais il vallait bien subvenir à leur besoin aussi étant le seul qui travaillait.

Étant nouvellement papa, de son premier fils Benjamin. Benjamin son premier fils, tout en espérant qu'il ne saurait pas le dernier. Benoit rêvait d'une grande famille. La fierté qu'il avait pu ressentir de voir son fils. Le sentiment encore plus de pouvoir le tenir dans ses bras reste énorme, aucun mot ne peu expliquer tout ce qu'il a pu ressentir. Tout ce qu'il attendait c'est que son fls soit assez grand pour devenir son ami, et être la copie conforme de lui-même. Ce qu'il voulait c'était de ne pas faire comme son père, d'être plus présent avec son fils. D'être un meilleur guide pour lui. De pouvoir le supporter, et être attentif à ses besoins mêmes. Et c'est ce qu'il avait l'intention de faire.

Il était déjà le papa de deux adorables princesses: Christella qui était âgée de treize ans, et Leila de huit ans. Quoi de mieux que de compléter sa famille avec un petit garçon.

Son cœur était partagé entre l'envie de rester avec sa famille.

D'un autre côté la raison qui le poussait à prendre ses responsabilités. Sachant pertinemment qu'il se devait d'être raisonnable dans ses décisions. Après tout c'était bien lui qui apportait l'argent pour faire vivre la famille. Une famille constituée de trois enfants, dont on pouvait compter le nouveau-né. L'argent ne pleuvait pas trop avec la crise économique. En plus son épouse Gabriella avait comme désire de lancer son entreprise de traiteur à domicile.

Un projet qui demandait de l'argent pour mettre de côté pour les investissements,  et ce n'était pas du tout évident. Se lancer dans entrepreneuriat se n'est pas facile, mais il voulait offrir ce cadeau à sa femme. 

Ce qui voulait dire que Benoit devait mettre la bouchée double pour être en mesure d'aider son épouse à se réaliser. C'était son rôle de mari, protecteur après-tout. Pouvoir supporter sa femme, et l'aider à s'épanouir aussi .

On pouvait décrire Benoit comme le mari dévoué, le père aimant.

Ses collègues le voyaient comme celui sur qui on pouvait compter. Ayant grandit dans un foyer que c'était l'homme qui faisait son maximum. C'est comme ça que son père avait été auprès de sa mère. La base de prendre soin de sa famille c'était la base.

Sans aucun doute pour Benoit c'était sa façon de faire. Et rien de plus pour lui. Tout ce qu'il voulait c'est d'être le meilleur de lui-même.

Même son cercle d'amis le voyait comme étant le bon ami.

Ses années passés du lycées, au collège et jusqu'à l'université; c'était le bon gars populaire. Faisant parti des sportif qu'on pouvait mettre le Target de très populaire. Lors d'un match inter-univerrsitaire, il c'était blessé à l'épaule, ce qui avait barré ses projets d'athlète professionnel. Ce qui avait été les moments très sombre dans sa vie. Heureusement qu'à ce moment Gabriella avait été là.

Comment est-ce que la vie peut tout changer d'un coup?

Lui qui avait promut pour un brillant avenir sportif. Plusieurs recruteurs venaient assister à ses matches pour le voir. Oui il avait eu cette influence dans sa vie. Ce n'était pas n'importe quoi.

Étant à la fleur de l'âge que pouvait-il demander de plus?

D'un moment, il venait de vivre le dernier match de toute sa vie. Ce n'était pas n'importe quoi en fin de compte. Pleins de positive et surtout sa croyance spirituelle l'avait aidé à se remonter. C'est dans son moment noir qu'il avait réalisé que Gabriella était la femme de sa vie. Une femme qui continue de voir la lumière en soi, même lorsqu'on ne le mérite pas.

Fonder leur famille ensemble c'était un tout.

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