Promis

269 16 4
                                    

Chapitre 23
Tome 2
Pdv Léna

J'attend encore, mais rien.

Elle me regarde et ne fais rien. Elle semble réfléchir.

Léna : Je comprend que vous ne voulez plus rien avoir à faire avec moi. J'aurai probablement réagi pareil...

Mensonge...

Delfi : Non. Non, tu n'aurai pas réagi pareil. Tu nous aurai sauter dans les bras et tu n'aurai même pas eu besoin d'explications pour..comprendre et accepter.

Je la regarde et ne sais plus quoi dire.

Léna : Je...m'excuse encore. Mon but n'était pas de vous inquiétez, loins de là. Tu sais, j'ai eu très honte. Pendant longtemps. J'avais honte de ma décision...honte de tout avoir abandonné. Mais je me suis retrouvée dans une situation..délicate. Je me suis fait insulter de partout sur les réseaux. Apparement, je suis qu'une grosse sal*pe qui ne sait pas montrer ses sentiments pour Noah et qui ne l'aime pas. Qui l'utilise que pour sa célébrité alors que je suis également une personne publique, et j'en passe. C'est complètement de la méchanceté gratuite, Delfina. Je n'osais plus sortir de chez moi. Tu te rend compte ?

Elle hoche la tête et je vois une larme couler sur sa joue.

Léna : Attend, tu..tu pleures ?

Elle rigole doucement et passe sa main sur sa joue.

Delfi : Apparement. Tu m'as manqué, Léna.

Elle me prend dans ses bras et je souris seule. Je la serre fort et ce câlin doit durer bien dix minutes.

Delfi : Ne fais plus jamais ça. Tu m'as fais tellement peur ! On pensait au pire. On faisait les cents pas partout au Fruits et on passait notre temps sur le téléphone pour voir si ta famille, toi, ou les réseaux apporter des nouvelles.

On se sépare et je lui tant ma main.

Léna : Promis.

Elle regarde ma main et vient y enlacer la sienne.

Delfi : Promis.

On les serres ensemble et on se regarde. Il manque quelqu'un.

Soudain, notre point est recouvert d'une grande main que je reconnaitrai entre milles.

Je lève ma tête vers Simon, qui me sourit doucement.

Je souris, super contente et hurle de joie.

Je saute dans les bras de Simon pour le faire un câlin et le serre.

Simon : Je suis désolé d'avoir dit ces choses tout à l'heure...J'ai agis sous l'énervement. Je pensais pas une seule phrase que j'ai dis.

Léna : Y'a pas de soucis...je comprend totalement. Désolé...

On se fait un câlin collectif et je ferme les yeux.

Léna : Je vous aimes tellement. Vous m'avez aussi manqué, les amis.

Après ça, on décide de retrouver le salon et je vais enfin pouvoir m'amuser et profiter de la fête à mon frère. Je vais pouvoir profiter de la nourriture aussi, mais chuuuuuuutttt.

Ellipse

Ça fait exactement 46 minutes que nous sommes devant le buffet pour choisir quoi manger. Oui, 46 minutes. En plus, c'est pas comme si il y avait un énorme choix mais on arrive pas à ce mettre d'accord pour qu'on puisse manger la même chose. Ridicule... je rigole intérieurement.

Mélissa vient me voir et me prend appart.

Léna : Bon, choisissez une fois pour toute ! Quand je reviens je veux mon manger dans mon assiette.

Je pars en rigolant, tout comme eux.

On arrive près d'un coin tranquille et elle me sourit.

Mélissa : Alors ! Je vois que tu t'es expliquée. Ça va mieux ?

Léna : Oui ! dis-je super contente. Mais...je garde quand même dans un coin de ma tête que je vais devoir m'expliquer avec Ben. J'essaie de pas y penser et de profiter mais ça m'angoisse...

Mélissa : Ouais...je comprend. Écoute, Ben va bien réagir. On avait décider que tu allais revenir de toutes façons. Donc il le sait. Il sait que tu vas reprendre contacte avec. T'inquiète pas...

Je sens qu'elle ce force à ne pas me dire quelque chose.

Léna : Quoi ? Dit le. Oui, je sais, ce n'est absolument pas professionnel. Vraiment pas. Et j'en ai vraiment honte. Tu le sais. J'ai agis sur un coup de tête, de colère, de tristesse, de "désespoir", dis-je en mimant des guillemets. Mais...j'en pouvais plus. Comprend moi, s'il te plaît.

Mélissa : Je te comprend, Léna ! Mais...ce n'est pas professionnel, comme tu dis. Tu n'aurai peut-être pas dû laisser ton travail.

Léna : Mais au final, ce n'est pas de ma faute. J'en pouvais plus bas j'en pouvais plus...

Elle se met à rigoler.

Léna : Laisse moi me rassurer comme je peux.

Mélissa : Maintenant tu n'as surtout plus qu'à assumer tout ça.

Elle se fout littéralement de ma tronche.

Mélissa : En tout cas tu as à nouveau le sourire et ça fait plaisir. Ne pense pas à New York et profite de ta semaine à Cancun, ma chérie.

Elle me fait un bisous et s'en va.

Je retourne vers les deux et remarque qu'ils ont décider de manger des Empanadas avec des frites sur le côté.

On part alors a table où sont déjà nos familles et nous nous mettons à côté. Enfin, Delfi et Simon sont à côté et moi je suis en face d'eux.

***

Je vous passe le souper et la fin de soirée.

Je suis maintenant dans mon lit et je réfléchis. Je me sens bien, je me sens apaisé.

Mes yeux se ferment tout seuls donc je tombe dans les bras de Morphée.

Ellipse de la nuit

Je me réveille ce matin et n'arrive toujours pas à croire que je suis à Cancun.

Je vais dans la salle de bain et me lave les dents, visage.

Ensuite, je descend et découvre un petit déjeuné, comme je les aimes.

Léna : Hola mamá!
Salut Maman !

Maman : Hola mi amor !
Salut mon amour !

Elle me fait un bisous sur la joue et je m'assois à table.

Nico arrive de super bonne humeur et s'assoie également après avoir fait un bisous à ma maman et moi. Quand tout le monde est là on commence à manger.

Après manger je vais me mettre en maillot de bain, m'attache les cheveux, prend une serviette de bain, attrape ma planche et descend au jardin.

Je descend les escaliers et arrive sur notre plage.

Je dépose la serviette et court vers l'eau avec ma planche sous mon bras.

C'est parti pour enfin m'évader dans la vague qu'est l'océan.

•••

HELLLOOOOO !

S'ayez on y est, bientot 2020, plus que quelques heures. Si vous faites parti de ses gens qui (qui comme moi) s'ennuie a en mourir, n'aime pas les gens qui sont autour de lui, venez parlez sur Instagram ahaha (itst_cast.fr)

Ps : désoler pour le retard du post

BONNE SOIRÉE ❤️❤️❤️🥳🥳🥳🥳

Amour impossible// Noah Schnapp Où les histoires vivent. Découvrez maintenant