De la drogue

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Pdv Léna
Chapitre 115

Je me réveille doucement, avec un mal de crâne horrible.

Je referme directe les yeux, éblouie par tant de lumière. Je les re ouvre doucement et m'adapte à la lueur.

J'entends des bip bip bip. Je regarde autour de moi et vois que je me trouve dans une chambre d'HOPITAL ?! MAIS QU'EST CE QUE JE FOU LÀ ?!

Delfi : Léna..

Je la vois ce lever d'une chaise et venir près de moi.

Delfi : Comment ça va ?

Léna : Ça va...Où est-ce que je suis ?

Delfi : A l'hôpital. Tu étais vraiment pâle, donc nous t'avons apporter ici.

Simon s'approche et je croise son regard.

C'est un regard dur. Il me fait quasi froid dans le dos.

Qu'est ce qu'il a ?

Delfi : T'es parents arrivent bientôt...ils sont à la cafète. Bon euh..je vous laisse.

Elle sort de la pièce et il ne reste que nous deux.

Simon : Léna...dit moi que c'est une blague, que quelqu'un t'as forcé.

Je fronce les sourcils et le regarde.

Léna : De quoi tu parles ?! Pourquoi je suis là ?

Simon : Tu t'es droguer Léna ! Droguer ! Tu te rend compte de ça ?! De la drogue !

Moi ?! De la drogue..?

Oh...soudain tout me revient en tête.

Le courrier, Noah, l'agression, le sorte de médicament, la seringue.

Léna : Écoute. Si je ne t'ai rien dit c'est que tu allais le tuer. Tu allais tuer Noah. Je suis désoler...il m'a forcer à prendre un truc dans la bouche mais je ne l'ai pas fait..je n'ai rien vu venir, il me serrait fort, et il m'a piqué..je suis désoler.

J'éclate en sanglot.

Il se crispe mais ne prend dans ses bras, me disant qu'il ne m'en voulait pas et qu'il allait tout expliquer à mes parents et à mon grand-père.

Léna : Merci.

Simon : Tu sais que je t'aime.

Il me regarde tendrement et me fait un chaste baiser, se décollant rapidement en entendant la porte s'ouvrir.

Delfi revient et Simon sort.

Delfi : Tu vas bien..?

Léna : Oui...je me sens mieux qu'avant en tout cas.

J'essaie de sourire tans bien que mal.

Mes parents entrent quelque minute plus tard et Nico me lance un regard de la mort.

Je sais qu'il ne voudra plus me parler après sa. Ouais, il doit ce dire « une sœur qui se drogue, c'est de la merde » et je sais que même si Simon a tout expliquer, il n'aurai pas écouter.

Ils me regardent et mon grand-père arrive avec les larmes aux yeux.

Abuelo : Ma chérie...Qui est-ce qui te veut autant de mal hein ? demande-t'il.

Je fronce les sourcils, regardant Simon.

Je comprend qu'il ne leur a pas dit que c'était Noah.

Léna : Je...j'en sais rien. J'ai pas vu la personne.

Abuelo : Oui, Simon nous a dit qu'elle était camoufler avec une cagoule...Bon, maintenant tu vas être en sécurité dans quelques semaines.

Je fronce les sourcils, regardant les autres.

Mélissa : On va déménager dans une maison.

J'hoche la tête, sans comprendre.

Une infirmière entre et me dit d'aller me changer, comme quoi je pouvais m'en aller après que mes parents remplissent des papiers.

Je me lève et pars à la salle de bain me rhabiller.

Une fois fait, je sors et nous partons.

**

Le lendemain matin

Je me réveille et me sens plutôt bien.

L'effet de la drogue a passé.

J'espère reprendre un quotidien "normal" maintenant.

Je vais dans la salle de bain et me lave les dents. Hier en rentrant, j'ai été à la douche et j'ai encore un peu les cheveux mouiller/humide.

Je descend ensuite et remarque qu'il n'y a que Simon debout.

Je vais lui dire salut et sent comme une ambiance bizarre..

Simon : Léna...j'aimerai parler avec toi.

Léna : Oui moi aussi mais..toi d'abord.

Il semble pas convaincu mais hoche la tête et commence à parler.

Simon : Écoute..j'ai remarqué que nous deux, en couple, ça le fait pas...je me sens mieux quand on est « meilleurs amis »..

Léna : Oui, je voulais te parler de la même chose..Je préférerai qu'on en reste là.

Simon : Oui, sa aura été une bonne expérience *rire* Mais j'aimerai que rien ne change ok ?

Léna : Oui, t'inquiète pas pour sa.

On rigole avant de ce faire une accolade.

Je crois vraiment que la drogue a remis en place mes esprits, Ahaha.

Mais c'est vrai que enfaite, j'ai été trop ébloui et je pense c'était plus de la tristesse qu'autre chose. Vous allez vous dire « mais c'est impossible de passer à autre chose comme ça » oui, mais je crois que c'était juste de l'attirance car on était triste tout les deux et qu'on ressentais un manque.

Mon cœur fait n'importe quoi en ce moment..

•••

Hello ! Chapitre court, désoler.. Mais c'est parce que...vous verrez dans le prochain chapitre Ahaha ! J'espère qu'il vous a plu et encore DÉSOLER POUR LE RETAAAARD on est plus active avec Anais mais on est en vacances donc voilà. Demain, elle profitera d'écrire car elle part et elle a de la route alors voilà ! Bisous ❤️

Amour impossible// Noah Schnapp Où les histoires vivent. Découvrez maintenant