La clef désormais, c'est d'être patiente

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Chapitre 27
Tome 2
Pdv Léna

J'attendais. J'attendais en faisant les cents pas.

Je voulais à tout prix savoir ce qu'il allait répondre mais je ne le voulais pas en même temps. Ça me faisait bien trop peur. Je les ai abandonnés...je suis une lâche. Mais bon....

Mon cœur fit un Bon lorsque mon téléphone vibra.

Tout le monde se tourna vers celui-ci et ma sœur le prit afin de voir si c'était lui. Elle me regarde d'un air désolé.

Ana : Ariana Grande vient de publier une photo.

Je souffle, d'un côté soulagée, de l'autre impatiente.

Delfi : Léna...je pense qu'attendre ici ne fera pas avancer le temps. Tu devrai aller te changer les idées. Si on allait chez moi ? A la piscine !

Je la regarde et baisse mon regard en réfléchissant.
Je le lève quelques secondes après vers mon père.

Jack : Delfi a raison. Léna, il te répondra c'est clair et nette...mais ils sont peut-être occupés. Ils ont peut-être une interview ou alors une convention, ils tournent...j'en sais rien. Mais la clef désormais, c'est d'être patiente.

Il se leva et me regarde en souriant.

Jack : Vous voulez que je vous dépose ? Je dois aller avec ton père et celui de Simon.

On bouge la tête négativement et il sourit en s'en allant après nous avoir saluer.

Jack : Léna ! N'oublie pas, la clef !

J'hoche la tête en rigolant et monta préparé mes affaires.

Je fila enfilé mon maillot, en pensant à ce que mon papa m'a dit.
« La clef désormais, c'est d'être patiente. »

Alors, je décide de ne plus y penser et de me détendre.

Je ressors une fois à nouveau habillée et attrape mon sac à dos avec ma serviette de bain à l'intérieur.

Je descend et dit au revoir à ma famille en leur disant que je laisse mon téléphone ici et que je le reprendrai une fois rentrée (en leur précisant de le mettre au-dessus d'un meuble et de ne plus y touché, le mettre en mode avion) oui tout ça. Je crois que je vais devenir folle.

Nous sortons et passons par les chemins les plus discrets. Je revois les belles maisons jaunes et grande. Le bruit des voitures, les chiens errent, les scooter, les vélos avec derrière une petite camionnette à fruits frais. Je respire et un sourire sincère ce forme sur mon visage. Je me sens bien. Mes tongs ainsi que celles de Delfi, claquent sur le sol, faisant un bruit régulier qui nous fait rire.

(NDA : Avouer on veux tous être en été là)

Nous arrivons devant la grande Maison Blanche de Delfi. Nous passons le portail et allons jusqu'à la porte. Elle l'ouvre et je fais un gros câlin à sa maman. Son père n'est pas là. Logique.

Nous montons dans sa chambre afin qu'elle se change et j'ouvre grand la fenêtre. Je me penche légèrement en attrapant le truc à gaz qui fait du bruit des qu'on appuie dessus...je sais plus comment ça s'appel. J'appuie, sous le regard moquer et sous le rire de Delfi.

Soudain, en face, arrive la grosse tête de Simon. Il rigole et ouvre sa fenêtre.

Je ne vous ai jamais expliqué je crois...mais Simon et Delfi habitent dans une graaaaaande cours où il y'a leurs deux maisons. Donc ils ont le jardin en commun, la chambre de Delfi est juste en face de celle de Simon.

Il ouvre sa fenêtre et me crie d'arrêter avec ce truc strident.

Léna : Viens à la piscine !

Il hoche la tête et s'en va tandis que nous partons au jardin.

Nous déposons nos serviettes sur les transats et ne voyant pas Simon arrivé, nous sommes jetée à l'eau.

On ressort en lui lançant des injures mais en rigolant, tandis que lui fait une grosse bombe. Et c'est comme ça que mon après-midi ce commence, dans les rires et la bonne humeur. Mais bien évidemment, cela ne dura pas longtemps.

Quelques heures après nous être bien amusé, nous décidons de s'assoir sur nos transats et de parlé..comme au « bon vieux temps ».

Et nous devions rapidement sur le sujet du message.

Léna : Je stress énormément mais je sais que c'est la bonne décision. Je dois me re montrer. J'ai fais une assez grande pause et j'ai vraiment pu bien réfléchir même si...il me manque quelques réponses à certaines questions. Ce n'est pas grave. Pour une fois, je décide de me jeter à l'eau et ne pas fuir comme d'habitude. C'est vraiment très lâche de ma part et..encore désolé.

Ils soupirent d'agacement en même temps ce qui me fait rire.

Delfi : Arrête de t'excuser, Léna ! On te comprend. Simon a prit plus de temps mais c'est pas grave. Au final, l'important maintenant, c'est que nous sommes à nouveau réunis tout les trois. Et ça fait du bien.

Je souris pendant que Simon hoche la tête.

Le soleil ce couche doucement ce qui fait devenir le ciel bleu, rose, violet. On n'en sait rien. Mais c'est un très beau mélange, mais je sais qu'il restera encore clair pendant longtemps. Je respire et sourit.

On continu de parlé pendant des heures et des heures. On rattrape le temps perdu. On se retrouve, on rigole, se bat, chante, danse, sans voir le temps passé. Le ciel est encore assez clair.

Léna : Bon ! Je dois rentrer !

Au même moment, les mères de Simon et Delfi arrivent.

Mère D. : Devinez quoi ? On est invités chez les Anderson !

Mère S. : Oui, dépêchez-vous les enfants !

Je fronce les sourcils mais fini par hausser les épaules et me dire que c'est normal. Toute façons, tout le monde à l'habitude de débarquer à l'improviste chez tout le monde dans mon entourage alors bon !

Nous nous habillons et nous partons.

Nous entrons dans la voiture de la maman de Delfi et direction ma maisonnnnn !

Une fois arrivés, nous sortons et rentrons à l'intérieur.

Léna : Salut les amis !!!

Mes parents me sourient et je vais faire un câlin à mon grand-père. On se parle un peu avant que je me souvienne du message.

Léna : Euh...le message.

Tout le monde se tourne vers moi et me regarde.

Delfi : Hum...allons au salon. Tu peux le faire, Léna !

Je souris et nous allons donc vers le salon.

Une fois arrivés, je me dirige vers un meuble, celui où a été posé mon téléphone.

Je le prend, en respirant grandement, tremblante.

J'ai si peur. Et si il ne m'a pas répondu ? Si il m'en veut ? Si il me vire définitivement ? Si il ne veut plus de moi ? Si-

Simon : WoW wow wow ! Léna, calme toi ! Tout va bien aller d'accord.

Je le regarde. Oh ! J'ai encore parlé à voix haute ! Faut que j'arrête ça ! Ça me tuera un jour. Je fini par hocher la tête et allumer l'écran.

J'enlève le mode avion et quelques notifications apparaissent jusqu'à ce que je la vois. Elle. Celle qui allait me dire, si oui, je retournerai sur le plateau.

•••

HAAAAAAAAAAA !

SALUUUUUUUT ! Un peu de suspens ahaha !

DONNEZ VOS AVIS LES AMIS ! ❤️❤️

Elisa !

Amour impossible// Noah Schnapp Où les histoires vivent. Découvrez maintenant