le regard du sheikh

chapitre 12

BONNE ANNÉE !!!! ( en retard ) je reviens avec un nouveau chapitre j'espère qu'il vous plaira, d'ailleurs je tenais a vous remercier de me soutenir sachet que je lit tout vos commentaire et aussi vos message pv !! bon sans plus blablater je vous laisse a votre lecture et a la prochaine !
(Chapitre corrigé)

pendant que je termine de me débarbouiller avec une serviette qu'Ayad ma tendus, je m'assoie sur un tabouret en attendant les pâtisseries finissent de cuire dans le four.

-Elles vont cuire encore quelques minutes pendant ce temps je vais préparer un bon thé.

Halima débarque en cuisine au même moment, elle semble surprise de me voir là.

- Neila que faite vous ici, vous savais que le cheikh c'est inquiété quand il ne vous a pas trouvé dans votre chambre.

- oh il était en colère ? dit je légèrement inquiète

-non vous en fait pas il a arrêté de vous chercher je pense qu'on lui a dit où vous étiez. dit-elle en souriant

-mon enfant vous pouvez retirer les chouquettes du four. me dit Ayad

-oui bien sûr. dit je en mettant le gant

-et moi je vais préparer le plateau avec le café pour le donner à sa majesté. dit Halima

-Halima tu peu m'aider à réparer ce rangement. dit-il

- quoi il coince encore on doit appeler le réparateur. dit-elle en soufflant

-Neila tu peux emmener le plateau à ma place. dit-elle en me tendant le plateau

-  heu non je .... Halima me coupe en me suppliant du regard

- très bien j'y vais. dit je en me dirigeant au bureau du cheikh

je prends un grand souffle et toc sa voix puissante me fait sursauter mais je prends mon courage à deux mains et j'entre 

- Halima tu peut po.... il se tu en me voyant avec le plateau il a l'air surpris de me voir à la place d'Halima

- heu désolé Halima était occupée et je voulais vous faire goûter mes chouquettes dit je en retrouvant soudainement mon enthousiasme, je me dirige vers lui et pose le plateau sur son bureau


Je me retiens de ne pas lui sauter dessus tellement elle est belle et irrésistible, je serre mes poing contre mon siège, son visage rayonne mon dieu je ne peux pas me retenir plus longtemps, je la veux ! pour ne pas l'effrayer je me racle la gorge comme pour revenir à la réalité

- ce sera un plaisir de les goûtés. dit je d'une voix que j'essaye de maîtriser malgré moi

- très bien je vais donc vous laisser ! dit-elle en se retournant

- non attendais, vous avez de la farine sur le visage.

- oh elle épousseté son visage mon dieu quelle est mignonne

- j'ai plus rien ? dit telle en fronçant le nez

- pas vraiment, ne pouvant plus résister je me lève me dirige vers elle et tend ma main vers sa joue.


il me caresse le visage en se rapprochant de plus en plus, il dirige ses doigts sur le coin de mes lèvres et pousse un léger grognement et se rapproche de plus en plus, moi mon cœur bat tellement vite que j'ai l'impression qu'on peut l'entendre résonner dans toute la pièce, je veux qu'il m'embrasse, oh oui mais je me rappelle qu'il avait essayé il y a quelque heure mais son visage étais brisé malgré le désir qui s'installe entre nous, prise de panique qu'il me déteste après m'avoir embrassé je me recule soudainement et change de sujet.

- heu je dois retourner au travail à plus tard. et sans plus attendre je me retourne mais il me prend par le bras

- es ce que ça va ? dit-il l'air chamboulé

- oh oui très bien dit je rapidement en lui souriant pour le rassurer même si ça n'a fait aucun effet, il lâche mon bras et se redresse.

- très bien. dit-il avec une voix neutre comme s'il n'y avait rien eu ; on se retrouve au dîné

- oui donc à toute à l'heure. dit j'en referme la porte je me pose sur cette dernière pour reprendre mon souffle et me dirige vers ma chambre.

je ne comprends pas pourquoi elle est devenue soudainement distante alors que j'étais à deux doigt de l'embrasser, es ce qu'elle pense encore à l'homme qui a couru après elle le jour du gala, d'ailleurs je ne lui ai pas demandé ce qu'il représente pour elle, de toute façon je vais mettre tous cela au claire ce soir et même s'il représenté quelque chose pour elle, jamais je ne la laisse repartir vers lui, elle est à moi !