le regard du sheikh

Chapitre 4

Voilà la suite !

Quand il me plaqua dos au mur je senti son odeur qui provoqua un désir mal placé vue la situation mais je me reprends très vite.

- Alors que voulez-vous qu'on en finisse ? Dit je d'un ton toujours froid mais tremblent qui apparemment ne passe pas inaperçu vue son expression s'il n'aime pas le ton que j'emploi, alors tant pis pour lui.

- Mademoiselle veuillez changer de ton je vous prie n'oubliez pas qui je suis.

Oh sa je ne l'ai pas oublier mais c'est comme sa quand je panique je demeure froid et sur la défensive c'est la vie qui ma rendu comme cela mais perdu dans mes pensées, j'oubliais presque la distance.

- d'accord mais veuillez reculer s'il vous plaît dit elle en rugissant d'ailleurs c'est quelque chose qu'elle n'aimait pas chez elle rougissait vite du coup ça la trahit à chaque fois.

Le roi se redressa en la délivrant et en admirant ces belles joues qui rougissent.

- veuillez à présent me suivre je veux vous parlez.

Mais elle ne pouvait pas car elle étais en plein service la.

- je ne peux pas je travail,  dit-je d'une voix implorante.

Le cheikh soupira et riva son regard au mien, il se rapproche de moi et me prend le menton.

- très bien alors à la fin de votre service, une voiture viendra vous cherchez et vous n'avez pas intérêt à dire non, sinon je risque d'être très en colère, dit il d'un ton ferme.


- pourquoi ? Demandais-je audacieusement. Là vous n'est pas en colère ? demandais-je ironiquement avec un sourire en coin.

Je me redit compte que cela pouvez passer pour une provocation envers le roi. Je me redresse pour être un peu plus droite, pendant que lui se rapproche et mon souffle se coupe  a cause de notre proximité.

- Faites attention me voir en colère ne sera pas plaisant, surtout si vous ne venez pas là vous risquez de me voir vraiment en colère, me susurrât il a l'oreille.

- c'est une menace dit-je outrée de son ton.

Il se rapprocha d'un coup en mettant sa main sur ma hanche et en me la pressant légèrement.

- 19 h devant la boutique dit-il rapidement en s'en allant d'une démarche rapide.

Mon dieu si le contexte était différent, on aurait dit que cela ressemblerait presque a un scénario érotique.
Mon dieu je pense que je n'est pas le choix c'était clairement une menace.
Je part au toilette me passer de l'eau fraîche sur le visage, une fois mon souffle repris, j'ouvre la porte et sursaute quand je vois Joanna devant la porte je suppose qu'elle a tout vue et que je n'est pas le choix, je dois passer par son interrogatoire.
 
Une fois sortie de la boutique je respire l'air, j'ai faillit perdre le contrôle devant cette femme et son audace, je voulais la faire taire en embrassant sa bouche charnu et mise en valeur par ces lèvres rosé.

Par Allah, j'ai du vraiment prendre sur moi pour pas l'embrasser mais je voulais la toucher et j'en profité de l'audace de la jeune femme pour lui prendre la hanche, notre contact m'a presque brûlé ma main, et a renforcé mon envie d'avoir plus.

J'aurais aimer caresser sa belle silhouette mais heureusement je me suis ravisé à temps avant que je ne puisse plus me contrôler mais une chose est sûr cette divine créature est la première à me faire procurer autant de désir.

Et je suis près à tous pour qu'elle reste à mes côtés et pour qu'elle soit à moi et non à l'homme qui l'a suivi lors de son départ a ma soirée, d'ailleurs j'attends avec impatience de savoir ce qu'il représente pour elle.
Je pense l'amadouer ce soir pour essayer d'avoir un maximum d'informations sur elle et peut-être savoir ce qu'il est, car oui ce soir elle viendra a moi.

Une fois le service terminé, je sort et une voiture noir aux vitres teintées est garée devant la boutique, un homme à la quarantaine bien entamé, vêtu d'un costume noir se présente devant moi.

- bonsoir madame Sanilas, je suis Salim le bras droit de sa majesté, veuillez monter dit il en m'ouvrant la porte.
Porte qu'il referme derrière moi et ensuite il prends place derrière le volant.

- où est ce que vous m'emmenez ? Dit je avec une voix paniquer, d'ailleurs il a du le comprendre pourquoi je paniquais, il me fait un sourire rassurant à travers le rétroviseur.

-  Je vous conduit auprès de sa majesté, il vous attend dans sa propriété privé a l'abri des regards.

Je commence à paniquer, enfaîte se qui m'inquiète le plus c'est de succomber au désir qu'il me procure mais heureusement j'ai cette peur des hommes qui vas m'aider à faire barrage et je suis bien décidé à lui faire comprendre que je ne suis pas du tout intéressée.

Sortie de mes pensées par Salim, je ne m'étais pas rendu compte que l'ont étais arriver.
Salim m'ouvre la porte, je le remercie d'un sourire et il me dirige jusqu'à l'intérieur de cette immense villa.
Mon dieu, je n'est jamais vue une demeure aussi belle que cela, tout et blanc avec des tons gris. Salim me pris de le suivre, il me dirige jusqu'à un salon et il sans va sans dire un mot, en me laissant seul.
Je regarde au tour de moi et je vois une table avec des fleurs et des bougies pendant que je contemple les lieux sans vraiment comprendre tous se cirque car cette endroit dégage une atmosphère très romantique.
Sortie de mes pensées par une voix qui me provoque un frisson inexplicable.

- moi qui penser que j'allais devoir vous tirez par les fesses pour vous ramener jusque ici, dommage j'aurais pas ce plaisir, dit il d'une voix rauque et sensuel.

Que la soirée commence se dit Asmar en dardant un regard rempli de désir sur cette divine créature.