Marvolo•Tom Jedusor Fanfiction

6》Bitter green

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Après le désaccord inoffensif dans la cachette, j'ai dû rester encore 45 minutes à bouleverser la pièce, espérant trouver quelque chose qui valait mon temps. Comme je le soupçonnais, je n'ai rien trouvé à part de vieilles roches et quelques tasses. Il y avait une chose qui ne se cachait pas exactement ; une porte rectangulaire brune que je n'avais pas remarquée la première nuit ici car elle était écrasée derrière une vitrine.

J'avais essayé de l'ouvrir, mais je n'ai trouvé aucune chance car il était verrouillé par un sort que je ne savais pas inverser. Après 20 minutes d'essayer de le déverrouiller et un autre tour à chaque tirage, j'ai démissionné de nouveau dans mes dortoirs et j'ai décidé d'enquêter plus tard ce soir quand Jedusor ne serait pas là.

Teddy a été très déçu lorsque j'ai inventé une excuse stupide d'avoir été détenu car il déteste le fait qu'il n'ait pas passé de nuit avec moi à la cuisine depuis notre arrivée (« ça ne fait que 2 jours !» Dis-je dans mon la défense).

Et maintenant, c'est à mi-chemin de la deuxième période, qui pour moi est botanique avec Serdaigle et je saute joyeusement dans le confort d'une salle de bain pour filles. Personne ne vient jamais dans cette salle de bain, il est préférable que les jours soient derrière.

Les murs qui étaient autrefois d'un blanc clair sont maintenant une crème trouble, les éviers correspondent aux murs en couleur et en style maintenant que les bords sont tous ébréchés, un seul miroir est laissé sans la moindre fissure mais tient toujours pour la vie chère, tout comme les portes de la cabine vert amer.

Même si ça sent l'acier et les vieux drains, j'aime venir ici quand j'ai besoin de fumer quelque chose. Je sors une cigarette de sa poche et commence à l'allumer quand j'entends un petit reniflement venant d'une des cabines. Le reniflement se transforme en un petit gémissement qui éclate ensuite en un ajustement parfait.

Rapidement, je me dirige vers les étals et vois celui de l'autre côté verrouillé. "Tu vas bien là-dedans ?" Je questionne fort. Cependant, ma question ne semble que déranger la fille alors qu'elle commence à pleurer plus fort. "Hé, ouvre la porte," j'essaye de persuader doucement avec un petit coup à la porte. "Tu peux me parler si tu veux."

La porte de la cabine s'ouvre avec un croassement et une petite fille avec des nattes et des verres bruyants se dandine. "Myrtle ?" Elle recule au son de son nom et serre ses bras plus près de son corps. "Tu pleures encore ?"

Myrtle est une jolie fille, un peu prude mais bonne âme. Cela fait d'elle une cible facile pour quiconque dans ce lieu qui ressent le besoin d'être meilleur que tout le monde. Elladora Black était la pire, dégouline de chaque mot de Jedusor et pense que torturer d'autres filles avec ses mots pathétiques lui rapportera des points de brownie.

Les bras de Myrtle sont solidement fixés autour de son corps et sa tête secoue toujours légèrement sur ses épaules osseuses. Ce n'est pas la première fois que je vois Myrtle pleurer ou que je lui offre son soutien. Elle ne se sent toujours pas à l'aise avec moi.

"Qui était-ce ? Tu veux que je leur jette un sort ? J'en ai appris un cool pour transformer leurs doigts en feu," dis-je, devenant un peu trop excité. J'abandonnerais mon poumon gauche pour voir souffrir Elladora.

"Non ... i-ils ... e-elle a dit que ..." Myrtle éclata soudainement dans une autre crise de larmes et enfouit son visage dans ses mains.

"Qui ?" Je demande à Myrtle qui continue de gémir. Doucement, je pose ma main sur ses épaules maigres mais cela ne la calme pas. "Myrtle !" Mon exagération fait sursauter la fille tremblante mais les pleurs s'arrêtent.