Sous L'océan

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Je t'observe depuis déjà bien longtemps. Aussi longtemps que la première fois où j'ai regarder en dehors de notre "ciel". Le soleil perçait l'eau bien sombre dans laquelle je me cache. Les profondeurs sont ma maison. Je le sais. Mais toi, tu es ma vie. Ma raison de vivre. Je ne sais comment j'étais avant de te voir pour la première fois. Étais-je joyaux ? Jovial ? Triste ? Inexistant ? Je ne sais dire.

C'était il y a longtemps. Ou peut-être pas. Mais j'étais triste. Seul. Et j'avais besoin de m'enfuir, et j'ai nager de plus en plus haut, de plus en plus vite, de plus en plus précipitamment. Puis je suis arriver à la surface. Je sentait pour la première fois les larmes sur mes joues. C'était la première fois que je sortait la tête de l'eau pour observer votre ciel. Bleu, dont notre océan reflétait les couleurs chatoyantes.

J'avais levé les yeux. Tu étais la. Assis sur le bord de la falaise. Réfléchissant sûrement. Les yeux dans le vague. Tu as les cheveux d'un noir magnifique, les yeux de cette même couleur charbon. Ta beau d'albatre faisait tant sortir le noir dont tu étais vêtu. Je ne connais pas ton prénom. Je ne sais qui tu es. Je ne sais si toi-même tu m'as remarqué. Moi. Une sirène parmis d'autres.

Alors que mes larmes s'étaient taries. Tu partais déjà. Me laissant avec mon cœur battant.

Oui. Je suis revenu. Je venais t'observé. Tout les jours, pendant des années, ou peut être était-ce moins ? Je ne sais toujours pas. Mais tu es tout le temps présent.

Une jour, j'ai entendu part certains d'autres de ton espèce, que tu partais. Mon cœur s'étais bien entendu brisé. Mais, ce désespoir c'est transformé en peur quand j'ai entendu que tu partais par bateau le jour où notre océan est le plus violent.

Oui j'aurais voulus leurs crier de ne pas le faire mais. Je suis une sirène. Seule la mort m'aurait attendus si j'avais fait sa. Alors, terrifié par ton départ, je l'attendais, sans pouvoir ne rien faire, sauf espérer que tu ne rencontre aucun soucis lors de ton voyage.

Hier était ton départ. Tu es partis, et comme je m'y était attendu. Ton bateau a coulé. Éventré par un récif plus tôt, vous avez couler. Et je t'ai vu tomber. Tu t'enfoncais de plus en plus profond. Je t'ai regarder. Je t'ai pris dans mes bras. Je ne pouvais pas te laisser mourir. Tu es ma vie. Mon cœur. Mon amour interdit. Tu étais un ange au moment où ton visage inconscient était si proche du miens. Je t'ai remonter, et ramener à la rive de la où tu venais. J'ai attendu ton réveil pendant des heures jusqu'à que tu daignes ouvrir tes yeux si profond. Avant que tu me vois, je me suis enfuit.

Aujourd'hui, j'attends. J'attends de tes nouvelles. De savoir si tu vas bien. Allonger sur une pierre, à demis émergé de l'eau. J'observe la plage. J'aurais sûrement dû faire attention. Quand j'eus entendu "ATTRAPEZ LA SIRÈNE" je n'avais déjà plus le temps. Et je perdus connaissance.

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J'ouvre les yeux. Et la première chose que je vois sont des yeux avide sur moi. J'ai peur. Moins que quand tu es partis. Mais j'ai peur. Je suis enfermer dans une sortes de boîte transparente, et nombres d'hommes et de femmes me regardent, me scrutent.

Je veux pleurer, et je le fait. Je me sent si mal. Seule. Comme une bête de foire. Je sais que les hommes sont vils, et j'aurais dû être plus prudent, même si je t'attendais.

Ils se mirent à frapper contre les murs de ma cage en criant de bouger, de je ne sais quoi. Je ne veux pas comprendre. Puis, il apparut et cria sur tout les autres de sortir immédiatement de la pièce. il s'approche de moi. Il ouvre le haut de ma cage et j'émerge ma tête. Je voulais savoir si tout allais bien. Si il n'était pas blessé. L'homme sourit. Mais d'une manière que je n'avais jamais vu. Une manière horrible et dedaigneuse. Comme si j'étais rien qu'un monstre, le même regard que tout ces hommes.

Sous L'océan Où les histoires vivent. Découvrez maintenant