Mort Passionnelle

Chapitre 3

     Elle dormait dans mes bras, toujours aussi belle. Ses joues toujours autant rougis par ma présence que dans je suis arrivé. Sa bouche mi ouverte donnait l'impression de sourire.

    Je me demandais si elle rêvait de moi au moment où j'ai caressé ses jolie cheveux d'odeur vanille.
 
     Jamais un homme ne l'avait touché avant moi. Son corps bien moulé m'appartenait pour l'éternité. Son amour pour moi transcendait la raison et le mien dépassait largement toute ses attentes.

     Dans ma tête son beau visage souriant passait en boucle, sans arrêt et surtout sans fin. Je ne pensais qu'à elle.

     Sans aucun mouvement brusque, je passais ma main sur sa joue. Celle ci descendait de son visage si doux a ses hanches un peu enrobées pour enfin arriver a ses fesses bien ronde et bien construite. Cette femme était une déesse, tellement belle, tellement a croquer, tellement sexy.

     Elle venait de se réveiller et me regardait avec des yeux ronds, grand ouverts, les pupilles aussi dilatées que la veille après le joint qu'elle avait fumé presque seule.

     Elle remontait la couette jusqu'au cou. Elle avait la chair de poule quand mes mains gelées passaient de sa cuisse a son dos, elle frissonnait mais ne me lâchait pas du regard pour autant. Elle avait envie de moi, sa se voyait dans ses yeux. Elle me mangeait du regard.

     Quelques minutes plus tard elle se leva pour allumer un peu le chauffage. Son corps nu se déplaçait avec une grâce incomparable.

     Elle revenait se blottir dans mes bras. Sa jambe droite se posant sur mon corps étalé, basculant tout le sien a califourchon sur le mien. Ses cheveux noir tombaient sur mon visage alors qu'elle approchait sa bouche pulpeuse de la mienne. Sa langue s'entremélaient a la mienne avant même que nos lèvres se touchent. Nos langues formaient des cercles presque parfait a la limite de nos deux bouches. Nos lèvres s'entrechoquèrent enfin. Avant elle, jamais je n'avais embrassé une fille pour la quelle mes sentiments étaient réel. C'est une toute nouvelle expérience pour moi comme pour elle. Jamais une femme, ni un homme, ne m'avait autant captivité.

     Elle continuait de m'embrasser avec toujours plus de rigueur. Elle n'avait pas la technique mais elle était submergée d'une passion a la quelle personne n'aurait pu résister. Une jambe de chaque côtés de mon corps, nos langues toujours croisées, elle se balançait de gauche a droite, puis de haut en bas. Je n'étais pas indifférent a ces gestes la...
Cette femme me faisait bander comme aucune autre.
Mes mains se baladaient encore sur son magnifique corps sûrement sculpté par les dieux eux même.

     Elle retira doucement sa bouche de la mienne et nos regards se croisèrent l'espace d'un instant avant qu'elle enfouisse sa tête dans mon cou, se mettant a me sucer et a me mordiller lentement la peau.

     Nous étions tous les deux couverts de sueur. Chacun de nous avait une envie débordante de l'autre mais je ne voulais pas faire le premier pas par peur qu'elle me rejette. Je ne voulais pas forcer sa première fois, je voulais, qu'elle garde de moi, le souvenir d'un homme attentionné et aimant et aimant envers elle.

     Elle descendait sa tête m'embrassant le torse et partant toujours plus bas.
Je me trouvais a ce moment dans un état second, une espèce de bulle rien qu'à moi dans laquelle elle avait réussi a s'infiltrer. 

     D'un coup tout s'était arrêté... Les caresses, les baisers, tout... Je la regardais, elle faisait de même. Ses yeux bleu devenaient rouge et se remplissaient de larme mais elle ne parlait plus. Elle avait préféré partir. J'entendais l'eau de la douche couler.
Que c'était-il passé? Pourquoi avait-elle réagi comme cela? Était-ce ma faute? Beaucoup de questions aux qu'elles je n'avais pas de réponses me montaient a la tête. Pourquoi avais-je mal au cœur de la voir réagir ainsi?
Étais-je tombé amoureux?

     J'étais sorti du lit, je m'étais habillé, j'avais récupéré mes affaires qui traînaient au pieds de son lit.
J'avais cherché un stylo dans mon sac et un post-it dans son salon.
J'étais parti dans ma tête tout était resté flou mais j'avais au moins la réponse a une des questions que je posais... L'amour pouvait êtres le plus beau comme les pire des sentiments.