Chapitre 2

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     J'attendais cette soirée avec impatiente. Mes cours se finissaient a dix sept heure quarante cinq et je devais la rejoindre chez elle a dix neuf heure se qui me laissait a peut près une heure pour me préparer. Je voulais être convenable et l'impressionner. Mon dernier cours était celui d'introduction au droit civil. Déjà que je n'aimais pas le prof, l'heure passait encore plus lentement que d'habitude.

     J'arrivais enfin chez moi après avoir couru comme un fou pour être a l'heure. J'avais pris une douche, je m'étais habillé avec un tee-shirt G-Star bleu et noir, un jean sans trou mais un peu usé au niveau du genou gauche. J'avais essayé de mettre mes cheveux mi long en arrière pour dégager mon visage mais plusieurs mèches avaient résisté. J'avais mis un peu de parfum, enfilé ma veste, je sortais de mon appart, je fermais la porte pour pouvoir enfin partir.
Heureusement elle n'habitait pas loin, cela m'empêchait de prendre le bus et de perdre du temps dans les transports.

     Je m'étais arrêté en chemin devant un marchand de fleur. Je me souvenais quelle m'avait parlé de ces petites fleur orange, les souci, elle adore ça. J'avais décidé de lui prendre un bouquet.

     J'étais arrivé devant sa porte. Je toquais. Je sentais une espèce de timidité monter en moi.
  
     Elle ouvrit enfin la porte. Ses joues étaient rouge. Elle souriait un peu bêtement et j'adorais ça. Elle portait un décolleté qui me laissais sans voix. Son jean taille court donnait une vu sur son nombril. En plus d'être belle, qu'es qu'elle était sexy!

     Elle me laissait rentrer et me remerciait pour les fleurs. Sur la table basse une bouteille de vodka de quarante cinq centilitres était posé avec deux feuille de clope, un filtre et un paquet de tabac qui contenait de l'herbe. Je ne pensais pas qu'elle fumait. Elle avait l'air tellement sérieuse tout le temps.

     Elle était parti chercher deux verres, elle versa un fond de l'alcool dans chacun d'eux. Elle me fit signe de m'asseoir et me passa un des gobelets a moitié vide.

     Elle continuait de rouler son joint tout en me racontant combien les profs de cette fac étaient chiant et qu'elle avait passé sa journée a s'impatienter.

     Il y avait une musique de fond. C'était du reggaeton mais je n'arrivais pas a reconnaître l'interprète.

     Son salon était tout petit mais très classe ce qui valait aussi pour le reste de son appartement.
 
     Elle se leva prendre un briquet. Je pensais qu'elle avait fait exprès de trémousser ses hanches devant mon nez. Elle voulait me donner envie d'elle et cela marchait. D'ailleurs elle n'avait pas besoin d'essayer, elle y arrivait sans même s'en rendre compte.

     Chaque minutes qui passaient, la taille du joint réduisait tout comme le contenu de la bouteille de vodka. Elle commençait a rigoler pour rien et fermait les yeux de temps à autre pour des siestes de six secondes puis se réveillait en sursaut comme après le cauchemar que tout le monde a fait au moin une fois... Celui de tomber dans le vide. Elle m'avait fait rire. Elle ne devait pas avoir l'habitude de boire car elle n'avait pris que deux verres a moitié plein.

     Il était une heure cinquante sept et elle s'était endormie pour de bon. La lumière était encore allumé et la baffle chantait toujours.
    
     Je la portais pour l'amener dans son lit après mettre trompé deux fois de porte.
     Sa chambre était petite et sa décoration enfantine, elle allait bien avec son style habituelle.
     Je la posait sur le lit quand elle s'est réveillé. Ses yeux étaient rouge, sa bouche était humide, elle venait de se mordiller la lèvre inférieure tout en regardant les miennes. Sa respiration s'était accéléré. Ses yeux brillaient d'envie et les miens étincelaient également. Sans même que je m'en rende compte, ses lèvres s'étaient posé sur les miennes, sa bouche s'ouvrait pour laissé passer sa langue.
     J'étais tétanisé par cette femme, ce n'était pas la première et pourtant une sensation nouvelle était née en moi.

     Ses lèvres s'écartaient de ma bouche tandis que ses mains s'approchaient de mon corps. Elle souleva mon tee-shirt, déboutonna mon jean et le fit glisser le long de mes jambes. Je fis de même avec le sien. J'avais du mal a dégrafer son soutien-gorge mais, elle y arriva un premier coup. Nos poitrines montaient et descendaient a une vitesse que je n'arrivais plus à suivre. Je lui chuchotais a l'oreille que j'avais envie d'elle. Son corps bougeait sous la couette. En un instant sa culotte se retrouva dans ma main.

Mort PassionnelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant