Afin de laisser libre court à mon imagination, et parfois m'échapper de la société.
Bonne lecture. ☆彡
Commandes fermées.
Je ne suis pas du tout fière des premiers, mais je les laisse pour leur symbolique de mes débuts dans l'écriture ?
Commencé le 1...
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La pluie tambourinait sur les carreaux de la voiture, l'eau ruisselait le long du par choque. La plus par des habitants courraient se mettre à l'abri et essayaient de ne pas se mouiller.
La pluie était aussi synonyme de renouveau et cela tu le savais parfaitement. Chaque étape de la vie était rythmée par différentes choses et une étaient la pluie.
L'on pourrait dire que la pluie n'est pas agréable et ne sert qu'à nous tremper, pourtant non c'est une vertu de la nature, elle nourrit les plantes, si on la filtre et que l'on utilise un processus spécial on peut alors la boire, et surtout elle rassemblait les personnes les plus éloignées.
Pendant que tu la contemplais à travers la vitre quelqu'un à côté de toi dis :
« - Tu ne veux pas rentrer ? Je n'ai pas envie de rester dans une voiture toute ma vie.
- D'accord, dis-tu en continuant de regarder à travers la vitre. »
Une fois arrivé chez toi ou plutôt devant tu pris tes affaires et sortis, la pluie coulait le long de ton visage, tes (l/c) d'un (c/c) éclatant furent mouillé. La sensation que cela te procurait était belle mais tu n'étais pas au bout de tes surprises malgré le fait que tu pensais que si.
Un jour où le soleil resplendissait dans le ciel de ses grands et beaux rayons lumineux, les gens en avaient marre de voir que de la pluie, enfin tous non, toi cela ne te dérangeait pas, au contraire.
Lorsque tu sortis de chez toi une grande lumière t'éblouie de toute sa splendeur, jamais le soleil ne t'avais paru si beau et majestueux.
Lors de ta contemplation tu ne remarqua le jeune homme aux cheveux rouges se trouvant devant toi et tu lui rentra dedans, tu t'excuses mais il te sourit et dit :
« - (T/n) ce n'est rien tu sais. »
Lors de ta contemplation tu n'avais pas remarqué que c'était Eijiro Kirishima un garçon de ta classe te connaissant très tête en l'air il ne prêtait plus d'attention à ce genre d'incident.
« - Qu'est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ? »
Il te sourit.
« - Rien, reste juste comme tu es et ne change jamais, c'est tout ce que je souhaite. »
Tu écarquillas les yeux et restas bouche bée aucun sons ne sortaient de ta bouche tant il t'avait surpris.
Il te salua en souriant et parti en direction de chez lui.
On peut dire que ce jour-là le soleil avait pris une place plus importante dans ton cœur à jamais.
