Le retour à la vie (HG❤️SS)

Quidditch

Hermione et Severus entretenaient maintenant des rapports purement professionnels. Cela faisait un moi depuis leurs fameuse dispute. Severus détestait la barrière du vouvoiement et la distance que prenait Hermione avec lui, mais il respectait sa décision et ne voulait pas retenter sa chance de suite car il savait qu'il l'avait blessé.
Hermione, elle essayait de garder ses distances avec Severus même si cela la torturais de l'intérieur. Elle voulait qu'il comprenne la portée de ses paroles et de ses actions qui étaient infondées et qui l'ont beaucoup blessé.

De l'autre côté de château en cette fin d'année la directrice était confronté à un dilemme cornélien. En faite le dernier match de la periode de quidditch qui se jouerait demain déciderait du gagnant de la coupe des maisons. Le souci était que ce match opposait les maisons les plus rivales: Gryffondor et Serpentard, les deux attrapeurs de ses maisons étaient à l'infirmerie suite à un match très violent. Ils étaient donc dans l'incapacité de jouer et Minerva savait qu'elle n'avait ne pouvait pas les faire remplacer par n'importe qui. Et puis surtout elle ne voulait pas que la dernière rencontre de l'année se finisse dans un bain de sang. Elle exposa la suituatuon au portrait vivant d'Albus et celui ci lui donna une idée certes oser mais excellente.

Quelques temps plus tard à la fin des cours Hermione reçu un courrier la convoquant dans le bureau de la directrice avec Severus. Elle savait que tout ceci ne voulait rien dire de bon.
-Severus, il faut que vous veniez avec moi la directrice nous attend dans son bureau dit elle d'un ton fatigué. Severus sentit sa fatigue et s'en inquiéta de suite mais ne laissa rien paraître.
-Bien dit il en sortant de la salle accompagné de Hermione. Ils arrivèrent au bureau directorial dans un silence pesant.

-Hermione, Severus! Je vous attendais dit elle le sourire au lèvres et le regard malicieux.
-Bonjour Minerva lui répondirent d'une même voie les deux concernés sans même s'adresser un regard.
-Alors voilà, vous n'êtes pas sans savoir que les attrapeurs de vos maisons respectives ne sont pas en état de jouer le match de demain. Raison pour laquelle je vous demande de les remplacer exceptionnellement.
-Comment? S'écria Hermione totalement effrayé par le fait de voler et en plus en public.
-Avez vous donc perdu la raison Minerva?! Nous sommes des professeurs et .... mais Severus fut stoppé dans sa tirade par Minerva.
-Et vous êtes aussi directeurs de maisons, Severus. N'oublier pas que l'objectif de cette année est d'unifier les maisons  et non de les diviser. Voilà pourquoi je compte sur vous pour leurs montrer le bon exemple!

Hermione ne s'attendait vraiment pas à ça. Elle réfléchissais, elle ne savait que dire. Et puis elle se souvient du serment qu'elle avait fait aux esprits du lac: elle leurs avait promis d'instaurer la paix et d'unifier les maisons et elle se dit que c'était la meilleure manière de le faire.
-J'accepte
Severus ne s'attendait pas à ce qu'elle accepte si vite. Il savait qu'elle avait une peur bleu du fait de voler pourtant.
-Et toi Severus? Demanda Minerva.
-Eh bien... il lança un regard à Hermione et il rencontra son regard suppliant et il se décida sur le champ. J'accepte aussi Minerva.
-Bien, je vous laisse donc vous préparer pour demain et vous reposer. Et que le meilleur gagne.

Sur ce les deux directeurs de maisons partirent. Severus savait que Hermione allait partir et le laisser seul mais il devait absolument lui parler avant le match de demain, il voulait la rassurer.

-Hermione, pourrais je vous parler?
-Oui, Severus dit elle préoccupée.
-Je sais que demain nous serons adversaires mais je sais aussi que le vol vous fait peur... alors sachez que quoi qu'il arrive je serais là, à vos côtés jusqu'à la fin du match. Et sur ce il partit presque en courant retrouver ses quartiers.

Il était vraiment frustré de ne pas pouvoir la prendre de ses bras et la câliner affectueusement pour la rassurer de son tourment. Il aurait d'ailleurs préféré dire toujours à la place de jusqu'à la fin du match. Mais il se l'était interdit et était partit précipitamment en la laissant plantée seule dans le couloir. Il avait peur de ne pas savoir se métriser.