I - Bonjour le monde

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Hum.. Coucou toi ! Bon je me présente, je m'appelle Clark et j'ai actuellement 21 ans.
En tout cas si tu lis ceci c'est que tu dois probablement être intéressé par mon histoire.. Donc je vais te la raconter. Ne t'inquiète pas elle n'est absolument pas ennuyeuse.

On commence ?

Tout d'abord au moment où je t'écris ceci nous somme le 13 Novembre 2061.

Nous étions le 1er Février 2055 quand ça a commencé. Il était actuellement 10h51. Et ma petite sœur, mes parents et moi écoutions les informations..

Mes parents avaient l'air énormément inquiet et à mon âge je compris tout de suite ce qui se passait, contrairement à ma sœur qui n'avait que 4 ans.

Ils expliquaient comme quoi la nuit du 12 au 13. Dans toute la France, ils avaient implanté une puce dans notre cou. Au début on y croyait absolument pas.

Père - Nous somme des milliers sur c'pays ! C'est impossible quand une nuit ils aient fait ça ! Et pourquoi ? C'est des conneries.

Il était énormément en colère, tandis que ma mère écoutait attentivement ce qu'ils disaient.
Et moi.. Je jouais avec ma sœur.

Puis ils parlaient de puces rouges et vertes puis bleus.. Je n'avais absolument pas compris le sens de ces couleurs jusqu'à qu'ils se mirent à parler de "surpopulation" et là tout était clair.

Le gouvernement voulait supprimer une partie des êtres humains.

Puis ma mère se leva du canapé et se dirigea devant le miroir, puis vit sur le côté de son cou une sorte de rond.. Rouge.
Alors à cet instant, des larmes sont apparues sur ses joues et elle tomba a genoux.

Mon père, dans l'incompréhension totale, rejoignit ma mère en lui demandant ce qui se passait mais elle ne répondait pas alors il devint de plus en plus frustré et commença à hausser le ton.

Ma mère le poussa en criant.

« Regarde mon coup ! Je vais mourir !»

Il commença à paniquer, alors il toucha son coup et sentit cette fameuse puce.. Alors il se regarda dans le miroir et vis le sien, vert.

Le premier réflexe de mon père après ça, a était de voir le nôtre mais le mien était.. rouge. Heureusement que celui de ma sœur était de même couleur que celui de mon père.

Ensuite il prit la décision de nous "cacher"
Mais avant cela une interruption ce fu. À la télé ils disaient que tout citoyen portant une puce rouge était dans l'obligation de se rendre à la fameuse capitale pour le "sacrifice" sinon, les forces de l'ordre viendront les chercher et si quiconque essayait de fuir il se fera abattre immédiatement. Et pour les citoyens portant une puce vert, ils devaient se rendre aussi à Paris en montrant correctement leur coup et assister au sacrifice.

Ils ajoutèrent que certaines bombes seraient envoyées dans des zones comportant trop de puces rouges pour éviter un trop grand nombre de personnes au moment du sacrifice. Ainsi les villes qui se feront bombarder on était listé et mise en avant sur la télévision.

Mes parents regardaient et notre ville était figurée sur l'affiche. Et là, panique totale. Mon père prit quelques nourritures, aidée par ma mère. Qui était sur le point de tout lâcher.
Puis ma sœur et moi somme allés dans la voiture les attendre.
Enfin nous étions sur la route pour je ne sais où puisque mon père n'avait absolument pas envie d'aller à Paris. Puis il s'aperçut que quelqu'un lui avait laissé un message sur sa messagerie. Alors il l'écouta :

« Salut mon vieux, t'as vue s'qui s'passe ? Truc de fou.. Enfin bref j'pense qu'tu es d'accord avec moi pour ne pas y aller ? Alors si tu es d'mon avis. Retrouve-moi dans la forêt de Colmont. Devant mon chalet. »

C'était son frère, alors vous vous en doutiez bien qu'il allait l'écouter. Direction Colmont !

Sur la route j'essayais de détendre l'atmosphère de parler d'autre chose, de rappeler de bons souvenirs.
Ma mère souriait même si c'était pour me faire plaisir. Tandis que mon père rentrait dans mon jeu.
Et ma petite sœur, elle, si innocente de ce qu'il se passait, s'était endormi sur moi, une bouille d'ange malgré que cela sois un vrai petit diable.

Les heures passaient.
J'écoutais de la musique sur mon téléphone. Je n'attendais pas vraiment de messages puisque là où j'étais je n'ai pas eu le temps de me faire des amis et je n'en voyais plus l'internet avec ce qu'il était entrain de se passer.

Évidemment cette catastrophe concernait toute la terre entière mais malheureusement on n'y peut rien.. Ce qui est fait est fait, non ?
Oh je pense que vous vous demandiez comment ai-je fait pour survivre alors que je porte un point rouge ?

Vous le saurez bientôt ...

Le début de la finOù les histoires vivent. Découvrez maintenant